Nicolas Sarkozy reprend la main. Le Président recevra ce lundi midi les représentants de l'Union syndicale des magistrats (USM), le syndicat majoritaire de la profession, après la journée de mobilisation des juges jeudi contre la politique de Rachida Dati.
L'invitation a provoqué la colère du Syndicat de la magistrature (SM, gauche), qui n'a pas été convié alors que cette journée d'actions avait été organisée conjointement.
Un «choix arbitraire»
«Sarkozy divise pour régner», affirme dans un communiqué le SM. «Par ce choix arbitraire, le président de la République fait la preuve qu'il n'est pas le garant de l'indépendance de tous les magistrats», écrit-il.
«On ne refuse pas une invitation du président de la République, même si les autres syndicats ne sont pas invités», a réagi le président de l'USM, Christophe Régnard.
Avec agence
L'invitation a provoqué la colère du Syndicat de la magistrature (SM, gauche), qui n'a pas été convié alors que cette journée d'actions avait été organisée conjointement.
Un «choix arbitraire»
«Sarkozy divise pour régner», affirme dans un communiqué le SM. «Par ce choix arbitraire, le président de la République fait la preuve qu'il n'est pas le garant de l'indépendance de tous les magistrats», écrit-il.
«On ne refuse pas une invitation du président de la République, même si les autres syndicats ne sont pas invités», a réagi le président de l'USM, Christophe Régnard.
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