Les étudiants sont de plus en plus nombreux à toucher un salaire. Le fait que les formules pour faciliter le travail se soient multipliées n’y est sans doute pas étranger.
Aux classiques bourses et prêts à taux bas se sont ajoutés les statuts d’étudiant-salarié ou d’étudiant-entrepreneur. Et la formation en alternance gagne également du terrain.
Le statut d’étudiant-salarié
Il permet de concilier études et activité professionnelle. Les jeunes éligibles ne relèvent pas de la sécurité sociale étudiante, mais du régime général des salariés. Ils peuvent obtenir un aménagement de leur emploi du temps scolaire. Certains suivent des cours le soir et le week-end, d’autres sont dispensés d’assiduité, d’autres encore effectuent une année d’études en deux ans. Le contrôle terminal remplace parfois le contrôle continu. Les avantages accordés diffèrent selon les établissements, les cursus et l’année de formation. Pour bénéficier de ce statut, l’étudiant doit travailler tout au long de l’année universitaire, au moins cent vingt heures par trimestre.
Le statut d’étudiant-entrepreneur
Il a été créé pour encourager les bacheliers de moins de 28 ans à réaliser leur projet de création d’entreprise pendant leur cursus. Ce statut est délivré sur demande par les vingt-neuf pôles étudiants pour l’innovation, le transfert et l’entrepreneuriat (Pepite). Ceux-ci vérifient tant la réalité et la qualité du projet que le profil de celui qui le porte. Chaque bénéficiaire du statut est accompagné par un enseignant et un entrepreneur. Celles et ceux qui le souhaitent peuvent s’inscrire au diplôme d’établissement étudiant-entrepreneur (D2E), une formation sur mesure à la création et à la gestion d’une société. Autres avantages : l’accès à l’espace de bureaux partagés du Pepite et la possibilité de substituer le projet entrepreneurial au stage ou au projet de fin d’études.
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Aux classiques bourses et prêts à taux bas se sont ajoutés les statuts d’étudiant-salarié ou d’étudiant-entrepreneur. Et la formation en alternance gagne également du terrain.
Le statut d’étudiant-salarié
Il permet de concilier études et activité professionnelle. Les jeunes éligibles ne relèvent pas de la sécurité sociale étudiante, mais du régime général des salariés. Ils peuvent obtenir un aménagement de leur emploi du temps scolaire. Certains suivent des cours le soir et le week-end, d’autres sont dispensés d’assiduité, d’autres encore effectuent une année d’études en deux ans. Le contrôle terminal remplace parfois le contrôle continu. Les avantages accordés diffèrent selon les établissements, les cursus et l’année de formation. Pour bénéficier de ce statut, l’étudiant doit travailler tout au long de l’année universitaire, au moins cent vingt heures par trimestre.
Le statut d’étudiant-entrepreneur
Il a été créé pour encourager les bacheliers de moins de 28 ans à réaliser leur projet de création d’entreprise pendant leur cursus. Ce statut est délivré sur demande par les vingt-neuf pôles étudiants pour l’innovation, le transfert et l’entrepreneuriat (Pepite). Ceux-ci vérifient tant la réalité et la qualité du projet que le profil de celui qui le porte. Chaque bénéficiaire du statut est accompagné par un enseignant et un entrepreneur. Celles et ceux qui le souhaitent peuvent s’inscrire au diplôme d’établissement étudiant-entrepreneur (D2E), une formation sur mesure à la création et à la gestion d’une société. Autres avantages : l’accès à l’espace de bureaux partagés du Pepite et la possibilité de substituer le projet entrepreneurial au stage ou au projet de fin d’études.
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