Tout ce que tu dois comprendre c'est que les salariés ont leurs interets propres qu'ils défendent malheureusement pour eux très mal.
Sondage: faut-il diminuer le temps de travail?
- Initiateur de la discussion madalena
- Date de début
C'est déjà possible,
Et même ne plus travailler du tout et être payé par les contribuables qui triment.
Sinon si tu veux bosser moins, tu prends un 4/5 ou un 1/2 mais tu perdras un peu d'argent. On a rien sans rien.
Et même ne plus travailler du tout et être payé par les contribuables qui triment.
Sinon si tu veux bosser moins, tu prends un 4/5 ou un 1/2 mais tu perdras un peu d'argent. On a rien sans rien.
C'est juste un point de vu capitaliste défendu par la classe capitaliste, cette vision des chose ne va pas dans l'interet des salariés.
Avant la première guerre mondiale en Europe la plupart des travailleurs prestaient plus de 60 heures de travail par semaine, n'avaient pas de congé annuel et avaient une espérance de vie avoisinant les trente-quarante ans. Dans l'après guerre, quand on a commencé à diminuer le temps de travail et instaurer des congés annuels, les journaux et le patronat tenaient exactement le même discours qu'aujourd'hui : "ça va ruiner le pays face à la concurrence, c'est nuisible dans l'intérêt même des travailleurs". Les archives des journaux, consultables par tous à la bibliothèque royale sont là pour en témoigner.
Bien heureusement, en partie grâce aux syndicats, le temps de travail a été diminué, les salaires ont augmenté et on a instauré des congés payés... et ça n'a rien ruiné du tout. Toutes les crises socio-économiques du XXème siècle ont été dues à des mouvements spéculatifs ou des aberrations d'investissements des patrons et des rentiers. Jamais aux victoires syndicales ou à des erreurs d'employés.
Contrairement à la propagande déversée plus haut, le patronat et les rentiers n'ont pas et n'ont jamais eu les mêmes intérêts que leurs employés. Y a un moment, faut arrêter de prendre les gens pour des c...
Ces intérêts divergents apparaissent d'autant plus criant qu'on a quitté, probablement pour longtemps, la période de forte croissance de l'après guerre. Les PNB (= richesses nationales) européens n'ont jamais été aussi élevés qu'aujourd'hui et devraient permettre à tous de vivre très correctement si on rééquilibrait un peu la croissance des patrimoines (5%) avec celle des salaires (0,6%). La responsabilité de l'augmentation des inégalités, du chômage et de la très grande pauvreté incombent entièrement au couple patronat-politique désireux de préserver leurs rentes à tous prix. Diminuer le temps de travail et le redistribuer, augmenter les bas salaires, diminuer l'impôt sur le revenu, augmenter les impôts sur les rentes, instaurer une taxation sur le capital... Ce ne sont pas des "discours populistes", ce sont des nécessités pour lesquelles plaident aujourd'hui la plupart des économistes et même... le très libéral Fonds Monétaire International.
Bien heureusement, en partie grâce aux syndicats, le temps de travail a été diminué, les salaires ont augmenté et on a instauré des congés payés... et ça n'a rien ruiné du tout. Toutes les crises socio-économiques du XXème siècle ont été dues à des mouvements spéculatifs ou des aberrations d'investissements des patrons et des rentiers. Jamais aux victoires syndicales ou à des erreurs d'employés.
Contrairement à la propagande déversée plus haut, le patronat et les rentiers n'ont pas et n'ont jamais eu les mêmes intérêts que leurs employés. Y a un moment, faut arrêter de prendre les gens pour des c...
Ces intérêts divergents apparaissent d'autant plus criant qu'on a quitté, probablement pour longtemps, la période de forte croissance de l'après guerre. Les PNB (= richesses nationales) européens n'ont jamais été aussi élevés qu'aujourd'hui et devraient permettre à tous de vivre très correctement si on rééquilibrait un peu la croissance des patrimoines (5%) avec celle des salaires (0,6%). La responsabilité de l'augmentation des inégalités, du chômage et de la très grande pauvreté incombent entièrement au couple patronat-politique désireux de préserver leurs rentes à tous prix. Diminuer le temps de travail et le redistribuer, augmenter les bas salaires, diminuer l'impôt sur le revenu, augmenter les impôts sur les rentes, instaurer une taxation sur le capital... Ce ne sont pas des "discours populistes", ce sont des nécessités pour lesquelles plaident aujourd'hui la plupart des économistes et même... le très libéral Fonds Monétaire International.
ca va rien apporter a l economie ca va diminuer le pouvoir d achat c est tout, c est ridicule tout ca,