Sondage pour qui allez-vous voter ? si l'élection avait lieu aujourd'hui

Pour qui allez-vous voter

  • Hollande.

    Votes: 6 14.6%
  • Sarkozy.

    Votes: 1 2.4%
  • Marine le pen.

    Votes: 6 14.6%
  • Melenchon.

    Votes: 9 22.0%
  • Alain Juppé

    Votes: 15 36.6%
  • Autre

    Votes: 4 9.8%

  • Total des votants
    41
Ton cerveau est vraiment une épave, une démocratie ça se définit pas seulement par un vieux plouc qui devient président tous les X années
La démocratie cubaine est à mille lieux devant les fausses démocraties où l'on met une croix devant un nom tous les 4 ans.
Dans chaque quartier, il y a des comités où les gens peuvent dire leur avis, proposer des amendements qui sont votés

oui avec un dictateur à vie pour diriger le pays....
tous les pays communistes ont ete de grand modèles démocratiques... oh oui

http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20150512.OBS8825/cuba-est-il-encore-une-dictature.html

"Refus d'élections libres", "enfermement des dissidents"
Cuba possède les attributs d'une "démocratie participative", mais les élections n'ont aucun enjeu, assurait Arte sur son site en janvier 2013. "Les candidats sont tous membres du Parti communiste cubain, aucun opposant ne peut se présenter."

C'est un exercice de la démocratie sans pluralisme", résumait Olivier Dabène, chercheur au Centre d'études et de recherches internationales, auprès de la chaîne.
Aux élections de 2008, 96 % de la population en âge de voter s'était rendue aux urnes. En 2013, 91,27%. Voter est "un rituel, une habitude sociale", affirme le chercheur. Arte insistait aussi, à l'époque, sur le rôle des Comités de défenses de la révolution, accusés "de surveiller et de contrôler la population, et de dénoncer d'éventuels dissidents".

Avec l'arrivée au pouvoir de Raúl Castro, Cuba a pourtant signé les deux pactes des Nations unies relatifs aux droits civils et politiques, ainsi qu'aux droits économiques, sociaux et culturels, témoignant d'une volonté de se conformer au droit international. Mais sans les ratifier.

Si l'accession de Raúl Castro à la tête du pays avait suscité des espoirs en termes d'ouverture, ils ont été contredits par le renforcement de la répression depuis 2011, dénonce de son côté Reporters sans frontières.

Bien sûr, le récent dégel s'est accompagné de progrès dans le domaine des droits de l'homme, avec notamment la libération de 53 prisonniers politiques en janvier 2015.

#lol, une démocratie avec des prisonniers politiques

On n'envoie plus en prison, comme auparavant, des dissidents pour 10 ou 15 ans", reconnaît Robin Guittard, le chargé de campagne d'Amnesty international pour la zone Caraïbes, dans les colonnes de "Libération".
"En revanche, la pression sur les opposants s'accentue, ils sont harcelés, arrêtés et interrogés plusieurs fois par mois. En 2014, il y avait en moyenne 700 arrestations de courte durée par mois. En mars de cette année, il y en a eu plus de 600. […] Sur le plan des libertés d'expression, de réunion et d'association, rien n'a évolué, le système répressif reste le même : pas de presse ni de syndicats indépendants, aucune association possible hors des structures officielles."

Actuellement, l'ONG, qui est interdite à Cuba depuis 1988, défend un seul prisonnier politique à Cuba : Ciro Alexis Casanova Pérez, condamné à un an de détention pour "trouble à l'ordre public" : "Il avait organisé à Placetas, dans le centre de l'île, une manifestation contre le pouvoir, dont il était le seul participant."

Pourtant, selon l'Elysée, le président français n'a été saisi d'aucun cas de prisonnier politique à Cuba. Le premier geste de François Hollande lundi matin a toutefois été de remettre la légion d'honneur au cardinal Jaime Ortega, qui a notamment joué un rôle de médiation pour la libération de prisonniers politiques en 2010.

Robin Guittard relève un autre point positif récent : la réforme migratoire de 2013 et l'abrogation de la "tarjeta blanca". Cette "carte blanche", "nécessaire à toute sortie du pays", qui était couramment refusée aux dissidents et opposants politiques.

"Censure" et liberté de la presse
Au cours de sa visite, François Hollande devait remettre à Raúl Castro un stylo, symbole de la liberté d'expression, très limitée sur l'île. Un geste insuffisant pour la romancière cubaine Zoé Valdés, interviewée par Europe 1 :

Je ne pense pas que Raúl Castro comprenne le symbole du stylo. Ce n'est pas un écrivain ! Et sous son régime, vous ne pouvez pas crier ce que vous voulez dans la rue, sinon vous allez en prison. Il y a encore pas mal de journalistes et d'écrivains en prison aujourd'hui. Je pense que Raúl Castro va s'en foutre, il va rigoler comme il l'a fait avec le Pape. C'est quelqu'un qui aime se moquer des symboles."
"La situation de la liberté de l'information demeure extrêmement problématique à Cuba, où seuls les médias officiels sont autorisés", déplore également Reporters sans frontières : une télévision, une radio, deux quotidiens (Granma et Juventud Rebelde) et leurs déclinaisons locales, qui servent avant tout à relayer la propagande du régime. "La répression à l'encontre de ceux véhiculant des idées critiques à l'encontre du régime se poursuit, sous la forme de détentions arbitraires ou encore de menaces. L'utilisation d'Internet reste étroitement contrôlée."

L'association assure que deux journalistes sont actuellement emprisonnés à Cuba : le correspondant du quotidien officiel "Granma", José Antonio Torres, depuis le 1er mai 2011, et Yoeni de Jesús Guerra García, depuis le 13 mars 2014. Ainsi que le blogueur et "net-citoyen" Ángel Santiesteban-Prats, depuis le 28 février 2013.

Les journalistes et blogueurs cherchant à informer de façon indépendante sont toujours condamnés à diffuser leur production de l'information à partir de supports extérieurs, assure également RSF, qui pointe aussi une réglementation "draconienne" pour les médias étrangers. "Une clause établit notamment qu'un journaliste étranger dont le traitement de l'actualité serait jugé 'trop négatif' par le régime encourt une expulsion immédiate."
 
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Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
Montebourg drague l’extrême‑gauche : nationalisme, protectionnisme, retour du service militaire obligatoire, clientélisme de classe, mythe du retour du plein‑emploi, tout y est.
 
Sur le plan international Chirac à était de loin le meilleur président qu'a connu la France.

Je voterai écologie, sauf si une nouvelle tête intéressante se présente, on veraBien.

sur le plan international en dehors de la reprise des essaies nucléaires c'est difficilement contestable ... par contre politique intérieur il n'a rien fait.
 
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