Eloigné de la medina, des cafés , des hanouts
Je dormais, assis sur tes solides genoux
Rassasié de tes succulents makrouts ,
Par un jour de vacances dété si doux
Je rentrais à la ville le soir même
Te laissant en peine sur ton palier.
Ta maison dans le3robiya que jaime
Navait pas dendroit où se vider .
Caprice de zmagri, je préfèrais le trône
Que nous avions dans notre demeure.
Pour des considérations aussi connes
Je blessais ton incroyable grand cur.
De tes poules bavardes, qui tôt le matin,
Rompaient le silence plaisant de la campagne,
Je mangeais les meilleurs ufs avec du cumin
Assis sur le tapis que tu avais tissé de lianes.
Tant de fois tu mas montré ton amour
Et je nai jamais été avec toi très bavard,
Jusquà ce quAlzheimer te fasse la cour,
Jai enfin compris que jétais un gros *******.
La maladie ta rongé au fur et à mesure
En quittant la campagne dun cinglant Au revoir.
Vivre en ville nétait pas la même aventure
Que de toccuper de tes agneaux ,de tes canards.
Eloignée de tes troupeaux , de tes poulaillers,
Nous tavions porté , ta tête dans mes fragiles mains
Nous descendions en larmes les escaliers,
Par un jour de vacances dété sans lendemain.
Je dormais, assis sur tes solides genoux
Rassasié de tes succulents makrouts ,
Par un jour de vacances dété si doux
Je rentrais à la ville le soir même
Te laissant en peine sur ton palier.
Ta maison dans le3robiya que jaime
Navait pas dendroit où se vider .
Caprice de zmagri, je préfèrais le trône
Que nous avions dans notre demeure.
Pour des considérations aussi connes
Je blessais ton incroyable grand cur.
De tes poules bavardes, qui tôt le matin,
Rompaient le silence plaisant de la campagne,
Je mangeais les meilleurs ufs avec du cumin
Assis sur le tapis que tu avais tissé de lianes.
Tant de fois tu mas montré ton amour
Et je nai jamais été avec toi très bavard,
Jusquà ce quAlzheimer te fasse la cour,
Jai enfin compris que jétais un gros *******.
La maladie ta rongé au fur et à mesure
En quittant la campagne dun cinglant Au revoir.
Vivre en ville nétait pas la même aventure
Que de toccuper de tes agneaux ,de tes canards.
Eloignée de tes troupeaux , de tes poulaillers,
Nous tavions porté , ta tête dans mes fragiles mains
Nous descendions en larmes les escaliers,
Par un jour de vacances dété sans lendemain.