Taza: retour des violences

madalena

Contributeur
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j'aime bien petitbijou qui dialogue avec elle méme toute la journé ou avec madalena , qu'est la méme , seule change , déconnexion et connexion avec autre pseudo.
Bonjour,

Tout a fait
excellente remarque..
Surtout ils ont le meme style meme smileys.. !!!

c vraiment bizaaaaar ques qu'il ressemble ces 2 là !!
salam

mdrrr

t'as vu petitbijou il pense que nous somme une seule personne:D

n'empêche je prend ça pour un compliment:D
 

petitbijou

Casablanca d'antan
VIB
Affrontements entre forces de l'ordre et jeunes à Taza
Le gouvernement promet de traiter les "causes sociales"

Après le retour au calme dans la ville de Taza, la priorité est désormais accordée au traitement des causes sociales qui ont alimenté les derniers évènements, a affirmé mardi le ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement, Mustapha El Khalfi.

Dans un point de presse à l'issue du conseil de gouvernement, le ministre a indiqué que les efforts seront focalisés à cet effet sur le règlement des questions se rapportant à l'emploi et aux “factures exorbitantes” d'électricité.

Le dialogue demeure le moyen idoine pour régler ces problèmes, a insisté M. El Khalfi, mettant l'accent sur les conditions socio-économiques “difficiles” que connaît la ville.

En ce qui concerne les dégâts occasionnés aux biens publics et privés, il a indiqué que le parquet ouvrira des enquêtes en cas de plaintes à ce sujet. Il sera également procédé à la réparation des dommages et dégâts causés aux biens dans le cadre d'une action participative impliquant l'ensemble des parties concernées, a ajouté le ministre.

Enquêtes et poursuites

Et le ministre de mettre en garde, affirmant que la préservation de la sécurité est une question centrale pour le gouvernement qui ne montrera point de complaisance à cet égard.

Dans le même temps, le tribunal de première instance de Taza a reporté à jeudi prochain le procès de treize individus poursuivis pour leur implication présumée dans des actes de vandalisme survenus dernièrement dans la zone El Koucha lors de ces troubles. Le procès d'un autre fauteur de trouble présumé, poursuivi devant la Cour d'appel de la ville, a été reporté au 14 février.

Les mis en cause sont poursuivis pour jets de pierre contre les forces de l'ordre, destruction de biens publics et atteinte à l'ordre public lors d'incidents survenus au début du mois.

Au Fait
 

petitbijou

Casablanca d'antan
VIB
Report du procès des auteurs d'actes de violences à Taza


Treize personnes impliquées dans la vague de violence la semaine dernière dans la localité de Taza seront jugées jeudi, a-t-on appris mardi de source judiciaire.

Les personnes interpellées sont notamment poursuivies pour jets de pierre contre les forces de l'ordre, destruction de biens publics et atteinte à l'ordre public, ajoute-t-on.

Quelque 150 personnes, des policiers et des civils, ont été blessées lors d'affrontements violents la semaine dernière entre membres des forces de l'ordre et manifestants à Taza sur fond de malaise social et de chômage.

Cette vague de violence a fait d'importants dégâts dans les édifices publics, et conduit à plusieurs arrestations.

"Après le retour au calme dans la ville de Taza, la priorité est désormais accordée au traitement des causes sociales qui ont alimenté" ces violences, a déclaré mardi le ministre de la Communication, et porte-parole du gouvernement Mustapha El Khalfi.

Selon lui, "les efforts seront centrés sur le règlement des questions relatives à l'emploi et aux +factures exorbitantes+ délectricité+" reçues par des habitants de cette ville qui connaît des conditions socio-économiques "difficiles".

La lutte contre le chômage, notamment celui des jeunes et contre les inégalités sociales figurent parmi les priorités du nouveau gouvernement de l'islamiste Abdelillah Benkirane.

"Le dialogue demeure le meilleur moyen pour régler ces problèmes", a insisté le porte-parole du gouvernement.

Au Fait
 

petitbijou

Casablanca d'antan
VIB
Taza: La tension se propage à d’autres quartiers
DNES, Youness SAAD ALAMI

El koucha se calme…médina, centre-ville et Taza Assoufla prennent la «relève»
Des manifestants d’autres villes pour soutenir, voire s’approprier ces mouvements
L’audience des «émeutiers» reportée au 9 février

LA 1ere audience des «émeutiers» du quartier El koucha, prévue hier, a été reportée au 9 février. Un report de deux jours qui intervient alors que le climat est toujours tendu dans la ville de Taza. Hier, une centaine de diplômés chômeurs ont manifesté au quartier Aherrach, puis devant le siège de la province. Sur place, ils ont été rejoints par les familles des personnes inculpées lors des derniers événements du 1er février. Demandant la libération immédiate de leurs proches, les manifestants ont été dispersés par les forces de l’ordre après une course poursuite. De l’autre côté de la ville, 150 personnes environ réclamaient, à proximité du tribunal de première instance, situé à Taza Assoufla, la liberté des jeunes incarcérés. Des jeunes pour la plupart issus des quartiers Al Gaada, El Koucha, Douar Ayyad, Douar Jdid, El Kodss et Al Massoudia. «Incarcérez nous tous ou libérez les 18 jeunes», scandaient à tue tête les manifestants. En face du tribunal, il aura fallu également une intervention musclée des forces pour dégager la voirie. «Le bilan de cette intervention fait état de deux blessés chez les manifestants», d’après Mohamed Belachkar, président de l’Instance nationale de protection des biens publics au Maroc (INPBPM- antenne de Taza). «Les gens ont le droit de manifester d’une manière pacifique, sans qu’on les provoque», explique-t-on. Une provocation aussi dénoncée par bon nombre d’associations, dont l’OMDH ou encore le CNDH….

http://www.leconomiste.com/article/...age-d-autres-quartiersdnes-youness-saad-alami
 

petitbijou

Casablanca d'antan
VIB
Taza, ô rage, ô désespoir…

Taza, vous connaissez Taza ? Une ville que les Tazi ont désertée en leur temps pour faire fortune à Fès, puis à Casablanca, à en croire Gad El Maleh…

Et bien Taza, est d’abord connue pour sa « trouée », ce passage d’Est en Ouest qui, depuis des millénaires, était le seul point d’entrée vers les riches plaines marocaines pour les envahisseurs dont les derniers en date furent les troupes coloniales françaises emmenées par un certain colonel Lyautey au début du 20è siècle…

Autre référence à Taza, sa célèbre grotte du Friouato, située à 25 kilomètres de la ville et découverte en 1935. Cette grotte est la caverne la plus profonde du continent africain, mais les Tazi n’en ont cure, parce que personne au demeurant n’a jamais compté sur cette curiosité pour « vendre » la ville aux touristes et autres tour-opérateurs…

Taza, c’est aussi ses remparts, longs de 3 kilomètres et construits au XIIè siècle par le Sultan Abdelmoumen et sa grande mosquée d’abord almohade, elle-même consacrée en 1135.

Taza, enfin, c’est une ville de garnison, parce qu’il fallait, de tous temps, des troupes pour sécuriser « la trouée ».

Voilà ce qu’on peut dire aujourd’hui de cette petite ville qui, en l’espace de quelques semaines a été secouée par des manifestations violentes, essentiellement animées par une jeunesse désoeuvrée et sans avenir.

Ni plus riche, ni plus pauvre que d’autres villes marocaines de même importance, Taza est une ville où l’on s’ennuie, où l’activité est réduite, dépourvue d’industries, dédiée au commerce et aux services de proximité, à quelques transactions agricoles, peuplée de Marocains et de Marocaines majoritairement Amazighs.

Comment expliquer donc ces «bouffées» de colère qui l’ont subitement prise, notamment après la défaite du Onze national face au Gabon lors de la récente CAN ?

La première et plus facile explication réside sans doute dans l’exacerbation d’un sentiment de ras-le-bol qui étreint aujourd’hui nos cohortes de jeunes et de moins jeunes sans emploi et sans perspectives un peu partout dans le pays.

La seconde, également compréhensible, c’est que «les masses populaires», inspirées par les mouvements nés des Printemps arabes, sont plus promptes qu’avant à la mobilisation spontanée, non encadrée et non organisée, laquelle est toujours porteuse de débordements, de violences gratuites, d’atteintes aux biens publics et privés, et partant, de répression par les forces d’autorité et de maintien de l’ordre.
http://www.lnt.ma/actualites/taza-o-rage-o-desespoir-26585.html
 

petitbijou

Casablanca d'antan
VIB
Contestation. Quand Taza se rebelle



Depuis le début de l’année, Tazaouis et forces de l’ordre s’affrontent au quotidien, faisant à ce jour plus de 200 blessés. Retour sur une révolte d’une violence sans précédent.


Il est 16 h dans le quartier Al Koucha situé sur les hauteurs de la ville de Taza. On est loin de l’image courante des quartiers délabrés qui ceinturent les villes du Maroc. Les ruelles sont propres et les maisons bien entretenues malgré les conditions de vie modestes des habitants. En ce vendredi 3 février, la température, qui ne dépasse pas les deux
degrés, ne semble pas dissuader la foule rassemblée sur le terrain de football du quartier. A un jet de pierre se trouve le siège de la province de Taza où sont retranchées pour l’occasion les unités du BLIR (Brigade légère d’intervention rapide). La tension est encore palpable après les violences qui ont duré plus de 10 heures deux jours auparavant. Pas moins de 5000 personnes entament une marche vers les quartiers bas de Taza. Des individus par centaines se joignent à la manifestation pour scander des slogans contre l’intervention musclée des forces de l’ordre du mercredi et contre le gouverneur. Aucun dérapage ni slogans extrémistes ne sont à déplorer. De retour au quartier Al Koucha, une partie des manifestants se disperse, mais quelques centaines de jeunes décident, au grand dam des militants de l’AMDH et autres activistes du Mouvement du 20 février, de porter la contestation devant les portes du siège de la province. “Faites attention, ne jetez pas de pierres, ils vont vous charger”, prévient Mohamed Chbairi, président de la section locale de l’AMDH. Arrivés à destination, les manifestants d’un côté et les forces du BLIR de l’autre se regardent en chiens de faïence. Finalement, la raison prendra le dessus sur la colère des manifestants qui se dispersent dans le calme. La marche du jour s’est déroulée sans heurts, ce qui n’a pas toujours été le cas tout au long de ce mois.

Les racines du mal
Tout commence le mercredi 4 janvier. Ce jour-là, 70 membres de l’Association nationale des diplômés chômeurs décident d’organiser un sit-in devant le siège de la province et demander une audience avec le gouverneur. Mais ne réussissant pas à arracher des promesses d’embauche du gouverneur, certains parmi eux décident d’investir les locaux de la préfecture, avant d’être délogés rapidement par les forces de l’ordre. “Certains témoins affirment qu’un femme enceinte aurait été blessée lors de cette opération, ce qui a provoqué la colère des habitants du quartier Al Koucha, qui n’ont pas hésité à se joindre aux manifestants”, se rappelle Mohamed Boudiki, militant du Mouvement du 20 février. Une bataille rangée entre les forces de l’ordre et les manifestants va faire plusieurs blessés et occasionner de nombreux dégâts matériels. La spirale de la violence est enclenchée et, rapidement, cet événement va réveiller les frustrations quotidiennes des Tazaouis.
Avec une population estimée à 300 000 habitants, la ville a longtemps servi de réservoir de recrutement pour les forces armées royales ou de candidats à l’émigration vers l’Europe. Mais avec la crise, les transferts de fonds se sont raréfiés et l’armée recrute peu ou plus du tout dans la région. “La ville subit une vague d’exode rural depuis 15 ans.

http://www.telquel-online.com/509/actu_maroc1_509.shtml
 

Voila en somme comment le tyran et sa milice percoivent le peuple marocain , tant qu'il est docile et se laisse faire tranquilement y'a pas de problemes mais des qu'il manifeste contre les agissement du taghia et ses exces il ne sont bon qu'a se faire ecraser sans plus .. comme des insectes ..
 
salam

seuls les plus bornés ne veulent pas encore croire que certaines mains invisibles sèment la zizanie dans le pays et se contente de regarder toujours dans la même direction..al makhzen :prudent:

ces individus dans les videos qui cassent les biens publiques, les voitures : une minorite hassan 2 jabhalihome : las9a : AL AWBACH
chaque pays a son awbach ce mot est d origine du mot : Riff Rough
certains mzayrine ,qui s exitent par l anarchie, la destruction des biens publiques aiment faire mn l7eppa 9eppa
exemple le titre : Taza s en flamme donne l impression que c est toute la ville , la verite est que qlq s disaines d Awabch de Taza diriges et financies par des separatistes et ces awbachs ne representent pas les habitants de cette ville
7outa wa7da tatkhnez chwari .
 

petitbijou

Casablanca d'antan
VIB
Taza: Ça chauffe à nouveau
La mort d’un jeune ravive les tensions
Entre 10.000 et 15.000 personnes ont manifesté dimanche
La police parle d’un décès accidentel

ÇA chauffe encore à… Taza. Cette fois-ci, ce n’est pas la facture d’électricité qui «rallume» la vague de contestations. En effet, la population est sortie en masse, dimanche dernier, pour les funérailles du jeune Nabil Zouhri, décédé après une course poursuite avec la police. Un jeune de 21 ans que ses proches qualifient de «clean» et qui d’ailleurs, la veille de son décès, avait publié, sur le mur de son compte Facebook, un message lourd de sens: «Je ne suis pas à vendre… et toi?».
Une fois n’est pas coutume, les autorités ont annoncé, samedi (jour du décès) tard dans la soirée, qu’un «individu fuyant la police en campagne de ratissage est décédé après avoir chuté accidentellement du haut d’une colline». Le lieu du drame étant situé dans la localité de Bouzakri, près de la commune rurale Bab Marzouka, est-il indiqué. Sans préciser toutefois que cet endroit se trouve à une centaine de mètres du domicile du jeune Zouhri, logé dans l’une des ruelles du quartier El Koucha.
Le communiqué officiel a noté que «l’individu atteint de fractures a été évacué par la Protection civile vers l’hôpital provincial Ibn Baja de Taza, puis vers le CHU de Fès où il a rendu l’âme vers 20h00».

http://www.leconomiste.com/article/892497-taza-chauffe-nouveau
 
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