Tony Blair juge improbable un accord final de paix israélo-palestiniens d'ici la fin de l'année
AP | 16.07.2008 | 10:55
L'émissaire international pour le Proche-Orient, l'ancien Premier ministre britannique Tony Blair, se dit pessimiste mercredi et juge improbable un accord final de paix israélo-palestiniens d'ici la fin de l'année.
Dans les colonnes du quotidien palestinien Al-Quds, Blai souligne que l'incertitude sur l'avenir politique d'Ehoud Olmert, impliqué dans une affaire de corruption, est venue compliquer les efforts de paix.
"La situation politique en Israël nous empêche de continuer à nous montrer optimistes sur la conclusion d'un traité de paix entre Israéliens et Palestiniens d'ici la fin de l'année", insiste Tony Blair en soulignant toutefois la détermination des deux parties à oeuvrer en faveur de la paix.
Ces commentaires sont publiés au lendemain de l'annulation pour des raisons de sécurité d'une visite prévue de Tony Blair dans la Bande de Gaza. Blair déclare cependant rester déterminé à se rendre dans l'étroite bande côtière désormais contrôlée par le Hamas. AP
AP | 16.07.2008 | 10:55
L'émissaire international pour le Proche-Orient, l'ancien Premier ministre britannique Tony Blair, se dit pessimiste mercredi et juge improbable un accord final de paix israélo-palestiniens d'ici la fin de l'année.
Dans les colonnes du quotidien palestinien Al-Quds, Blai souligne que l'incertitude sur l'avenir politique d'Ehoud Olmert, impliqué dans une affaire de corruption, est venue compliquer les efforts de paix.
"La situation politique en Israël nous empêche de continuer à nous montrer optimistes sur la conclusion d'un traité de paix entre Israéliens et Palestiniens d'ici la fin de l'année", insiste Tony Blair en soulignant toutefois la détermination des deux parties à oeuvrer en faveur de la paix.
Ces commentaires sont publiés au lendemain de l'annulation pour des raisons de sécurité d'une visite prévue de Tony Blair dans la Bande de Gaza. Blair déclare cependant rester déterminé à se rendre dans l'étroite bande côtière désormais contrôlée par le Hamas. AP