Un Mozambicain exige le mariage pour un coït avec sa chèvre(26/02/2010)
Le procureur du district, Leonides Mapasse, a indiqué qu'ils seraient jugés, sans doute pour tentative de vol car l'animal avait été emmené à l'écart
MAPUTO Deux jeunes Mozambicains arrêtés pour avoir forniqué avec une chèvre risquent bien plus que l'amende prévue par la loi: le propriétaire exige réparation sous la forme d'un mariage traditionnel avec l'animal. Les deux satyres ont été pris sur le fait par la police, près du village de Mbucuta (centre), a rapporté vendredi le site web de la radio publique Radio Mozambique.
"L'un des deux jeunes était nu et tenait la tête de la chèvre, tandis que l'autre forniquait avec l'animal", a déclaré un témoin de la scène à la radio.
Le procureur du district, Leonides Mapasse, a indiqué qu'ils seraient jugés, sans doute pour tentative de vol car l'animal avait été emmené à l'écart.
Mais l'amende, voire la peine de prison, semble le moindre des soucis des joyeux drilles: selon un membre de la famille du propriétaire, celui-ci veut que les deux hommes payent la "lobola", dot dont la cérémonieuse remise aux parents de la fiancée initie le mariage traditionnel.
© La Dernière Heure 2010
Le procureur du district, Leonides Mapasse, a indiqué qu'ils seraient jugés, sans doute pour tentative de vol car l'animal avait été emmené à l'écart
MAPUTO Deux jeunes Mozambicains arrêtés pour avoir forniqué avec une chèvre risquent bien plus que l'amende prévue par la loi: le propriétaire exige réparation sous la forme d'un mariage traditionnel avec l'animal. Les deux satyres ont été pris sur le fait par la police, près du village de Mbucuta (centre), a rapporté vendredi le site web de la radio publique Radio Mozambique.
"L'un des deux jeunes était nu et tenait la tête de la chèvre, tandis que l'autre forniquait avec l'animal", a déclaré un témoin de la scène à la radio.
Le procureur du district, Leonides Mapasse, a indiqué qu'ils seraient jugés, sans doute pour tentative de vol car l'animal avait été emmené à l'écart.
Mais l'amende, voire la peine de prison, semble le moindre des soucis des joyeux drilles: selon un membre de la famille du propriétaire, celui-ci veut que les deux hommes payent la "lobola", dot dont la cérémonieuse remise aux parents de la fiancée initie le mariage traditionnel.
© La Dernière Heure 2010