"une france soumise" ça va ruer dans les brancards

Ahava

Bénis soient ceux qui doutent !
VIB
Mal nommer les choses, c'est ajouter aux malheurs du monde.

A quoi je répondrais " Nommer, c'est perte de temps" .... une citation sortie de son contexte veut tout et ne rien dire à la fois.

Sur ce, concernant ce cher Bensousan :

Dans quelques jours, nous serons au tribunal face à Georges Bensoussan. Dans l'émission Répliques diffusée le 10 octobre 2015 sur France Culture, l'historien avait soutenu, à l'issue d'un raisonnement qui se voulait construit et rationnel, que "dans les familles arabes, en France, et tout le monde le sait mais personne ne veut le dire, l'antisémitisme, on le tète avec le lait de la mère*". Il avait également prononcé une phrase au sens tout aussi lourd: "Aujourd'hui, nous sommes en présence d'un autre peuple au sein de la nation française qui fait régresser un certain nombre de valeurs démocratiques". Georges Bensoussan faisait référence à un peuple arabe qui phagocyterait la nation française. Cette sortie valut à la station une "mise en garde" du CSA. Après signalement, le Parquet, estimant que ces propos étaient de nature à alimenter la haine et le racisme, a décidé de poursuivre Georges Bensoussan. SOS Racisme a décidé de se porter partie civile au procès.

http://www.huffingtonpost.fr/domini...-ne-veut-pas-laisser-passer-les-propos-de-ge/
 
quand des sioniste écrivent un livre sur eux ou les autres c'est toujours malhonnête
à tel point que des gens, à la simple vu des noms des auteurs d'articles, d'invitation dans les médias, zappent
 

Tancredi

Moramora
VIB
Que sa Seigneurie veuille bien me pardonner...la France est blanche comme une colombe : pas d'antisémistisme, pas de déportation, pas de collabos, pas de fascistes....

Et bien sûr, faut pour cela se comparer pour minimiser les faits....
Et bien sur, tout cela qui peut minimiser ça fait c.hier, c'est pas de tout compatible avec le discours d'haine anti-France ! :rolleyes:
 
Le plus ne peut malheureusement pas émaner du moins de même que le supérieur ne peut être créé par l'inférieur.
Ainsi qu'attendre d'un peuple qui symbolise l'indigence la plus totale sur le plan intellectuel.
S'il faut bien accorder un "crédit" à la "démocratie" (dans son acception moderne), c'est de consacrer une similitude entre peuple et représentants sur le plan de l'incapacité, de l'incurie, de l'infériorité.
Comment donc espérer, dans un tel système, que la direction des affaires puisse être prise par quelqu'un d'autre qu'un homme ou une femme se caractérisant par sa très grande incompétence puisqu'ayant été désigné(e) par une masse d'incompétents.

Comme le signifiait René Guénon, le pouvoir vient d'en bas et s'appuie essentiellement sur la majorité, ce qui a pour corollaire l'exclusion de toute véritable compétence puisque celle-ci est une supériorité relative qui constitue l'apanage de la minorité.
En socio,on parle de minorités actives
 
La France à besoin d'un(e) grand(e) chef(e) comme elle en a eu le secret ds le passé pour rassembler tout le monde...c'est un pays qui a des atouts immenses, et une richesse humaine incomparable.

Il est illusoire d'imaginer que cette responsabilité démesurée puisse reposer sur une seule personne.

J'y vois une forme de déresponsabilisation des citoyens, qui se déchargent sur le dirigeant du pays pour tout régler, et ainsi pouvoir éventuellement lui imputer aussi la responsabilité d'un échec.

Chaque citoyen a le devoir d'être acteur dans la collectivité, de participer au changement et à la construction d’une société plus juste. Et tant pis si le voisin ne semble pas s'y mettre ...
 
A

AncienMembre

Non connecté
Il est illusoire d'imaginer que cette responsabilité démesurée puisse reposer sur une seule personne.

J'y vois une forme de déresponsabilisation des citoyens, qui se déchargent sur le dirigeant du pays pour tout régler, et ainsi pouvoir éventuellement lui imputer aussi la responsabilité d'un échec.

Chaque citoyen a le devoir d'être acteur dans la collectivité, de participer au changement et à la construction d’une société plus juste. Et tant pis si le voisin ne semble pas s'y mettre ...

Merci. Merci du fond du coeur.
 
Comment donc espérer, dans un tel système, que la direction des affaires puisse être prise par quelqu'un d'autre qu'un homme ou une femme se caractérisant par sa très grande incompétence puisqu'ayant été désigné(e) par une masse d'incompétents.

Comme le signifiait René Guénon, le pouvoir vient d'en bas et s'appuie essentiellement sur la majorité, ce qui a pour corollaire l'exclusion de toute véritable compétence puisque celle-ci est une supériorité relative qui constitue l'apanage de la minorité.

Un concept intéressant mais ...
Ces incompétents seraient toutefois compétents à identifier un incompétent pour les représenter? :confused:
 
Ces incompétents seraient toutefois compétents à identifier un incompétent pour les représenter? :confused:
Ou alors ces incompétents seraient toutefois incompétents pour identifier un compétent pour les représenter.
Ou encore, ces incompétents seraient toutefois incompétents pour identifier un incompétent pour les représenter.
Ou, ces incompétents seraient toutefois compétents pour identifier un compétent pour les représenter.

Serons-nous compétents pour compléter ces phrases ? :bizarre:
 
Ou alors ces incompétents seraient toutefois incompétents pour identifier un compétent pour les représenter.
Ou encore, ces incompétents seraient toutefois incompétents pour identifier un incompétent pour les représenter.
Ou, ces incompétents seraient toutefois compétents pour identifier un compétent pour les représenter.

Serons-nous compétents pour compléter ces phrases ? :bizarre:
On trouvera toujours du "com" et du "pédants" pour nous faire comprendre qu'on a pas le niveau pour comprendre.
 
Le décret Crémieux (du nom d'Adolphe Crémieux) est le décret no 136 qui attribue d'office en 1870 la citoyenneté française aux « Israélites indigènes » d'Algérie, c'est-à-dire aux 35 000 « "Juifs »ou « juifs" » du territoire Il est complété par le décret no 137 portant « sur la naturalisation des indigènes musulmans et des étrangers résidant en Algérie » : pour ce qui les concerne, la qualité de citoyen français n’est pas automatique puisqu’elle « ne peut être obtenue qu’à l’âge de vingt et un ans accomplis » et sur leur demande. En pratique, selon l'historien Gilles Manceron, la naturalisation n’est que rarement attribuée aux indigènes musulmans[3] qui restent sous le régime de l'indigénat. Une loi similaire de naturalisation massive et automatique, portant cette fois sur les étrangers résidant en Algérie, est promulguée le 26 juin 1889.
 
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