droitreponse
Initium ut esset homo creatus est
Pas des milliers , des millions. Et cette décision du csa est loin de faire l'unanimité , même sur des forums pas pro bourdin.
Dernière édition:
"valls sous influence juive?": carton jaune du csa pour bfm tv et rmc
- Initiateur de la discussion Scoco
- Date de début
C'est aussi fun que de poser une question dont on a la réponse. Vous avez youtube, faîtes une recherche sur les déclarations de Valls.
droitreponse
Initium ut esset homo creatus est
Je n'ai pas la réponse , et le but d'un thread c'est de partager de l'info.
Sur un autre thread on est suppose savoir ce que pense dsk au sujet d'israël quand il se lève, etc. Si vous avez une source mettez là, c'est une bonne base d'échange .
Sinon tout le monde sait ce que pense Anne gravoin. Je dis cela je ne dis rien.
« Influence juive » – Invité de l’émission C à vous, le blanc de maison Jean-Jacques Bourdin a tenté de s’expliquer face à l’esclavagiste Patrick Cohen suite à la mise en demeure de RMC survenue après l’émission du 14 février 2015 dans laquelle l’animateur recevait Roland Dumas.
« Influence juive » : le blanc de maison Jean-Jacques Bourdin face à l’esclavagiste Patrick Cohen | Quenel+
« Influence juive » : le blanc de maison Jean-Jacques Bourdin face à l’esclavagiste Patrick Cohen | Quenel+
droitreponse
Initium ut esset homo creatus est
Commentaire manquant cruellement de modération pour un modérateur , mais excellent post. Bourdin y exprime ce qu'y a déjà été dit sur ce thread, bourdin ne cherchait qu'à démasquer Dumas qui n'arrivait pas à exprimer pleinement sa pensée .Il a fait son boulot, ça change.
Le modo n'a fait que relayé une information en citant la source. Tu commentes l'info en t'adressant à la source et pas à moi.
Bon débat.
droitreponse
Initium ut esset homo creatus est
Alors mes excuses. Mais l'interview se trouve sur d'autres sources , moins connotées. Admettez que de fait l'erreur était possible.
Je corrige donc : le commentaire sur quenel+ est pourri à souhait , mais nous n'en attendions pas moins , mais excellente interview.
dans l'hémicycle, on fait mieux :
Quand un Premier ministre prétend gouverner les opinions d’un philosophe
Ce n’est pas la première fois que Manuel Valls manifeste, comme des accès qui le saisiraient à intervalles réguliers, un extrémisme démocratique dangereux pour la liberté d’expression et l’autonomie des citoyens.
Intrusif à l’égard d’une société qui n’a pas besoin d’être houspillée en permanence par les injonctions, prétendues républicaines, d’un totalitarisme pédagogique prescrivant à chacun ce qu’il a le droit de voir, de regarder, de lire, comment il doit réfléchir et ce qu’il peut se permettre de dire, sur qui et à qui.
Mais pour Michel Onfray, de quoi s’est-il mêlé ? Etait-il vraiment nécessaire qu’il perde son crédit – alors qu’il reprochait au philosophe de « perdre les repères » – en s’opposant à cette évidence intellectuelle et démocratique proférée par Michel Onfray qui soutenait « préférer une analyse juste d’Alain de Benoist à une analyse injuste de Minc, Attali ou BHL » et, bien sûr, précisait-il, un propos pertinent de BHL à une absurdité d’Alain de Benoist.
Où est le malaise sinon dans le fait qu’un Premier ministre, sans se cacher et avec bonne conscience, prétende gouverner les opinions d’un philosophe, selon lui, « connu, apprécié par beaucoup de Français » en le blâmant parce qu’il place la vérité au-dessus de la gauche, l’équité avant le clientélisme, la pertinence avant la connivence ?
Quelle sera la légitimité politique de Manuel Valls, aujourd’hui et demain, avec un passif faisant douter de sa rectitude et de son honnêteté ? Avec un culte tellement ostensible de l’affichage idéologique et de l’étiquette « de gauche » que ces données devraient l’emporter sur tout, et d’abord sur la justesse et la sincérité ?
.Quelle étouffante conception de la vie intellectuelle et culturelle que celle de Manuel Valls !
[…] À l’exception de la réplique décisive de Michel Onfray à cette attaque (Figaro Vox) – en synthèse, Valls est « un crétin » -, je suis frappé de voir le peu d’écho que suscite cette controverse pourtant tellement signifiante sur le rapport du socialisme directif avec les intellectuels et le souci trop rare de liberté éprouvé par ceux-ci.
Imaginons un Premier ministre de droite s’étant abandonné à de telles dérives offensant à la fois le bon sens et l’obligation de demeurer dans sa sphère de compétence : la polémique aurait duré. Il aurait été vilipendé sur les plans politique et médiatique.
Avec Manuel Valls, à peine un clapotis.
Philippe Bilger
mam