Le mystère du vol MH370 de Malaysian Airlines, disparu depuis le 8 mars 2014 une heure après son décollage de l’aéroport de Kuala Lumpur en Malaisie vers l’aéroport internationale de Pékin en Chine semble plus épais que jamais et suscite un nombre croissant d’interrogations mais aussi de non-dits.
Je ne suis pas partisan des théories du complot. Encore moins d’une éventuelle intervention d’extra-terrestres ou l’établissement d’une sorte de triangle des Bermudes près du Détroit de Malacca. Mais mes discussions avec des membres de think tanks chinois m’ont moins amené à explorer une nouvelle piste qu’à constater le degré de méfiance qu’entretient la Chine vis-à vis des Etats-Unis d’Amérique.
Selon la thèse chinoise non-officielle mais néanmoins propagée par des experts connus pour leur proximité avec les centres de décision du Gouvernement chinois, on ne retrouvera jamais les débris de l’appareil parce qu’il a été détourné de sa trajectoire par une unité de cyber-guerre relevant des armées des Etats-Unis avant d’être dirigée dans une zone précise de l’Océan indien et détruit.
D’après cette thèse, les Talibans d’Afghanistan aurait abattu par hasard au moyen d’un obus de mortier une sorte de drone d’un genre nouveau et inconnu jusque là. Le drone s’autodétruit et des avions de combat US bombardent les lieux où le contact a été interrompu mais les insurgés parviennent à récupérer les débris. Une partie de ces débris attire la curiosité d’agents de trois pays voisins d’Afghanistan. Un morceau du fuselage est revendu à prix d’or à un homme d’affaire Chinois. Un débris est envoyé à un représentant de NORINCO ou China North Industries Corporation, le géant chinois des industries de défense. On arrive pas à reconnaître le matériau composite dont il est fait. C’est l’alerte générale. Une délégation formée par des cellules dormantes d’agents en Ouzbékistan, en Afghanistan et au Pakistan contacte des intermédiaires Pachtounes afin d’acquérir les autres débris de l’épave. Un courtier connu dans la région arrive à persuader des chefs de tribus proches des Talibans et l’ensemble de ce qui a subsisté de l’épave est vendu aux chinois.
Des experts chinois sont dépêchés de Pékin en Malaisie afin de récupérer les débris. Une autre équipe est envoyée au Pakistan. Les débris arrivent à Kuala Lumpur où ils sont acheminés dans les locaux d’une filiale d’une grosse multinationale chinoise pour y être inspectés. Les expert évaluent les débris et n’y retiennent que 5 % du total afin de les acheminer à Pékin en cargo à bord du vol MH370 de MAS (Malaysia Airlines) du 8 mars 2014. La cargaison d’une capacité de 8 kilogrammes est accompagné à bord du Boing 777 200ER par cinq experts et une douzaine de spécialistes appartenant à divers instituts de recherche sur les nouveaux matériaux en Chine.
Je ne suis pas partisan des théories du complot. Encore moins d’une éventuelle intervention d’extra-terrestres ou l’établissement d’une sorte de triangle des Bermudes près du Détroit de Malacca. Mais mes discussions avec des membres de think tanks chinois m’ont moins amené à explorer une nouvelle piste qu’à constater le degré de méfiance qu’entretient la Chine vis-à vis des Etats-Unis d’Amérique.
Selon la thèse chinoise non-officielle mais néanmoins propagée par des experts connus pour leur proximité avec les centres de décision du Gouvernement chinois, on ne retrouvera jamais les débris de l’appareil parce qu’il a été détourné de sa trajectoire par une unité de cyber-guerre relevant des armées des Etats-Unis avant d’être dirigée dans une zone précise de l’Océan indien et détruit.
D’après cette thèse, les Talibans d’Afghanistan aurait abattu par hasard au moyen d’un obus de mortier une sorte de drone d’un genre nouveau et inconnu jusque là. Le drone s’autodétruit et des avions de combat US bombardent les lieux où le contact a été interrompu mais les insurgés parviennent à récupérer les débris. Une partie de ces débris attire la curiosité d’agents de trois pays voisins d’Afghanistan. Un morceau du fuselage est revendu à prix d’or à un homme d’affaire Chinois. Un débris est envoyé à un représentant de NORINCO ou China North Industries Corporation, le géant chinois des industries de défense. On arrive pas à reconnaître le matériau composite dont il est fait. C’est l’alerte générale. Une délégation formée par des cellules dormantes d’agents en Ouzbékistan, en Afghanistan et au Pakistan contacte des intermédiaires Pachtounes afin d’acquérir les autres débris de l’épave. Un courtier connu dans la région arrive à persuader des chefs de tribus proches des Talibans et l’ensemble de ce qui a subsisté de l’épave est vendu aux chinois.
Des experts chinois sont dépêchés de Pékin en Malaisie afin de récupérer les débris. Une autre équipe est envoyée au Pakistan. Les débris arrivent à Kuala Lumpur où ils sont acheminés dans les locaux d’une filiale d’une grosse multinationale chinoise pour y être inspectés. Les expert évaluent les débris et n’y retiennent que 5 % du total afin de les acheminer à Pékin en cargo à bord du vol MH370 de MAS (Malaysia Airlines) du 8 mars 2014. La cargaison d’une capacité de 8 kilogrammes est accompagné à bord du Boing 777 200ER par cinq experts et une douzaine de spécialistes appartenant à divers instituts de recherche sur les nouveaux matériaux en Chine.