Bonjour, Salam, Azul....
« Il faut sans cesse et sans cesse passer par toutes les étapes de la désillusion, se retrouver seul et toucher le fond de sa détresse. Choisir le difficile, l'impossible, la nuit, ce qui n'est pas dit. Ecrire est à ce prix. Vivre aussi. » Hélène Ouvrard
"Si nous savions ce quest lIllusion, nous saurions par opposition ce quest la Vérité. Et la Vérité nous affranchirait. " Boris Mouravieff
Extrait " Lexpérience de la désillusion est de celles qui sont communes à tous. On peut dire à coup sûr qu'à un moment ou un autre, chaque être humain a fait lexpérience de croire en quelque chose qui au final sest avéré faux. Le choc initial qui survient lorsque sa propre perception du monde savère ne pas concorder avec les faits bruts de la réalité peut aller de la légère déception au sentiment dun traumatisme psychologique écrasant, et toute la gamme entre les deux.
Quel que soit le degré de déception, réaliser quon a cru à un mensonge est une expérience douloureuse, pas seulement psychologiquement mais aussi physiquement. Comme un coup à lestomac, on peut en avoir le souffle coupé. Et parce que nos croyances à propos du monde sont inter-connectées avec dautres croyances ancrées dans nos cerveaux, la destruction dune croyance peut souvent mener à un effondrement en cascade de nombreuses autres croyances.
Quand une personne est confrontée à des faits qui contredisent des systèmes de croyance tenus alors pour vrais, elle na que deux options. La première est de passer en mode « déni » en rejetant les faits comme étant faux afin de maintenir intact son système de croyance choisi et continuer à vivre comme avant. La seconde est daccepter les nouvelles données et dessayer de reconstruire un nouveau paradigme interne, ou une nouvelle carte de réalité, qui concilie les nouvelles informations, ce qui peut signifier remettre en question toutes les autres croyances associées à lancien modèle.
Le second choix est difficile et demande énormément de force, car il faut abandonner ses idées préconçues et accepter les nouvelles données factuelles. Le premier choix est facile car il nécessite peu deffort, de douleur, de tristesse ou de ré-agencement de sa vie ou de ses valeurs. Il est aussi plus confortable et, parce que les humains préfèrent généralement le confort à la douleur, le premier choix est souvent loption par défaut." (http://etat-du-monde-etat-d-etre.net/du-reste/presse-libre/la-necessite-de-la-desillusion)
Alors les bladinautes-ettes, votre plus grande désillusion?
A vos claviers.
Sur l'amour.
J'avais une vision idylique de l'amour et de la relation de couples.