Vous les hommes

panseur

Belle vie, les gens !
pourquoi panseur es tu déçue ?

Par le sujet...

Je n'arrive pas à comprendre l'intéret d'une femme à savoir si les hommes de bladi préfèrent les sveltes ou les grosses, les belles ou les moches, les édentées ou les liftées...

Qu'un homme y trouve matière à rire, à dénigrer, à fantasmer... Je les sais sans grande matière cérébrale... Alors, ok :cool:

Mais toi, qui trouves-tu ?
 
Par le sujet...

Je n'arrive pas à comprendre l'intéret d'une femme à savoir si les hommes de bladi préfèrent les sveltes ou les grosses, les belles ou les moches, les édentées ou les liftées...

Qu'un homme y trouve matière à rire, à dénigrer, à fantasmer... Je les sais sans grande matière cérébrale... Alors, ok :cooll:

Mais toi, qui trouves-tu ?

:eek:toi tu vas finir vieille fille a dire des choses comme ca sur les hommes
:)D)
 
y'a aussi des femmes belles, bien faites, raffinées, classes, élégantes, qui se trouvent au bras des monsieur à la bidoche pendouillante, petit, mal fagottée....mais qu'est ce qui les unis.....peut être l'amour, le respect, juste le regard de l'autre et pas des autres et surtout : ce qui se faite entre 4 murs ! ;)

On doit pas vivre dans le meme monde!!

Si je suis beau,je me dirige automatiquement vers une belle femme,selection naturelle des especes oblige.
 

baabyy

VIB
J'ai remarquer un truc,souvent les femmes qui sont grosses ont des maris qui sont petits et rachitiques,
y a qu'a se ballader dans les centres commerciaux le samedi pour voir ce type de casoss.
Chariot blindé,madame qui pousse et le petit nain a coté qui tient les mains de ses multiples progenitures.

:D tu n'aime pas bcp les enfants toi! lol
 
On doit pas vivre dans le meme monde!!

Si je suis beau,je me dirige automatiquement vers une belle femme,selection naturelle des especes oblige.

tout est donc dans le paraître , l'enveloppe estérieure ?

Je vis en efftet, à des années lumières de ce monde

Toi qui négliges les femmes en chair.

Toi qui ignores ces hors pair.

Ces formes rondes et opulentes.

Ces rondeurs extravagantes.

Cette Poitrine plantureuse,

Ces cuisses et hanches volumineuses,

Ce postérieur proéminent,

Faire un câlin avec une « forte »,

C'est connaître la jouissance, abondante.

Se caler contre son corps florissant,

Pour y goûter tous ses recoins possédants,

Et se réchauffer par son feu brûlant.

Maintenant, n'es-tu pas un homme gourmand ?

Toi qui es prétentieux

Toi qui croyais être malicieux.

Tu deviens plus que fiévreux.

Ton corps plus que nerveux.

Alors, tu m'implores, furieux.

Pour te ramener aux cieux.



Tu veux être aux anges.

Et goûter à cette sensation étrange.

Tu veux me sentir contre toi !

Tu as juste envie de moi.

Tu veux savourer mon décolleté.

Tu veux soulager ton corps accablé.



Alors, je glisse ma main sur ton dos,

Et, féline, je t'accroche sans un mot.

Je te sens frêle et fiévreux

En maternelle et miséricordieux,

Je te traite comme un enfant.



De mon tissu, tu fais jaillir

Ma poitrine et tu suces mes mamelons.

Je regarde ton visage rougir et pâlir.

Et je t’autorise mon petit enfant.

Déguster le bonbon de maman.

--------------------

La vie est un sommeil, L'amour en est le rêve, et vous aurez vécu si vous avez aimé ... (Musset)
 
tout est donc dans le paraître , l'enveloppe estérieure ?

Je vis en efftet, à des années lumières de ce monde

Toi qui négliges les femmes en chair.

Toi qui ignores ces hors pair.

Ces formes rondes et opulentes.

Ces rondeurs extravagantes.

Cette Poitrine plantureuse,

Ces cuisses et hanches volumineuses,

Ce postérieur proéminent,

Faire un câlin avec une « forte »,

C'est connaître la jouissance, abondante.

Se caler contre son corps florissant,

Pour y goûter tous ses recoins possédants,

Et se réchauffer par son feu brûlant.

Maintenant, n'es-tu pas un homme gourmand ?

Toi qui es prétentieux

Toi qui croyais être malicieux.

Tu deviens plus que fiévreux.

Ton corps plus que nerveux.

Alors, tu m'implores, furieux.

Pour te ramener aux cieux.



Tu veux être aux anges.

Et goûter à cette sensation étrange.

Tu veux me sentir contre toi !

Tu as juste envie de moi.

Tu veux savourer mon décolleté.

Tu veux soulager ton corps accablé.



Alors, je glisse ma main sur ton dos,

Et, féline, je t'accroche sans un mot.

Je te sens frêle et fiévreux

En maternelle et miséricordieux,

Je te traite comme un enfant.



De mon tissu, tu fais jaillir

Ma poitrine et tu suces mes mamelons.

Je regarde ton visage rougir et pâlir.

Et je t’autorise mon petit enfant.

Déguster le bonbon de maman.

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La vie est un sommeil, L'amour en est le rêve, et vous aurez vécu si vous avez aimé ... (Musset)

Wow t'as écris ce poème mnt ?
 

locachica

¡ caliente !
J'ai remarquer un truc,souvent les femmes qui sont grosses ont des maris qui sont petits et rachitiques,
y a qu'a se ballader dans les centres commerciaux le samedi pour voir ce type de casoss.
Chariot blindé,madame qui pousse et le petit nain a coté qui tient les mains de ses multiples progenitures.

ça me fait penser à cke jai constaté avec une amie lors de mes vacances de cet été

il y avait bcp de couples, de toute sorte
parmis tout les couples présent, il y avait un qui se distingait, qui était LE plus beau
elle était très très grosse, et lui mince
mais cétait le plus beau couple, car ils étaient A-MOU-REUX, et cétait flagrant!i
il la dévorait du regard cétait beau à voir
et, elle avait une classe terrible
 
A

AncienBladinaute

Non connecté
ça me fait penser à cke jai constaté avec une amie lors de mes vacances de cet été

il y avait bcp de couples, de toute sorte
parmis tout les couples présent, il y avait un qui se distingait, qui était LE plus beau
elle était très très grosse, et lui mince
mais cétait le plus beau couple, car ils étaient A-MOU-REUX, et cétait flagrant!i
il la dévorait du regard cétait beau à voir
et, elle avait une classe terrible

Toi t' es grosse. .
 
“COEUR ET CORPS LOURDS…”

Mon amour, fait moi un rempart de tes bras

Fais moi oublier tout ce que je ne suis pas

Fait moi croire que je puis devenir ce que je veux

Laisse moi rêver d’avenir à la lueur de tes yeux

Dis moi ce que je veux entendre, fait moi voler

Etourdis moi de mensonges que je voudrais vérité

Panse les plaies que j’ai reçues en cours de route

Même si, sans le vouloir, tu me les donnerais, sans doute

Permet moi de croire que je peux vivre sans m’apercevoir

Que ce que tu éprouve n’est pas ce que je voudrais voir

Ne m’éveille pas de mon songe, laisse moi oublier tout

Tout ce que je ne suis pas, tout ce que je suis surtout…

Trop souvent la réalité m’éclate aux visage, brutalement

Même si mes yeux sont faibles, je me vois amplement

Le miroir me dit ce que je suis, et je ne peux le supporter

Je me déteste, comment croire que tu puisses m’aimer?

Je peux comprendre ce que tu ressens, je sais ton dilemme

Ça me déchire, me fait mal, car je le ressens moi-même

J’aimerais me cacher de la face du monde, m’anéantir

Mais au contraire, je me force à foncer, à sourire…

Jouant le rôle de celle à qui cela indiffère complètement

Alors qu’en moi, je souffre de savoir ce que pense les gens

J’ai tant de peine à réussir à me donner une estime de moi

Qu’un petit commentaire me mets dans tout mes états..

Mais je le cache, je serre les dents, je me dis que c’est normal

Que tant que je n’aurais pas retrouvé une allure plus banale

Je devrais apprendre à vivre avec le poids du regard d’autrui

Et comprendre que l’homme que j’aime en souffre aussi…

Je veux oublier, ne plus penser, oublier cette sourde douleur

Car qui le croiraient, sous cette masse immonde, ce cache un coeur

Qui lui ne se sent pas alourdi et laid, mais frais et prêt à s’envoler

Mais qui reste enchaîné au sol par le lourd joug des préjugés…

Cache moi dans tes bras, je me sens si fragile, si vulnérable

Aime-moi comme je suis, sans que je t’en sois redevable

Fais moi croire en tout ce que je veux croire, et qui sait…

Peut être finirais-je un jour par moi-même m’aimer……

Poème de Madame G
 
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