4 fonctionnaires mis en examen

Source: http://www.maroc-hebdo.press.ma/ind...e-archive/4903-4-fonctionnaires-mis-en-examen

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Ce mercredi 2 mai 2012, le procureur général du Roi près la cour d’appel de Casablanca, Abdallah Alaoui Belghiti, a procédé à l’audition des quatre fonctionnaires du Conseil de la ville, mis en examen dans une affaire de détournement d’argent public. Il s’agit du directeur de la Division des Travaux et des Routes, Mohamed Bricha; de son adjoint, Noureddine Abdelkhalek; du responsable des recettes municipales, Noureddine Chetioui; et de son adjoint, Jamal.

Poursuivis en état de liberté, les quatre mis en cause ont fait l’objet d’une enquête ouverte par la Brigade nationale de la Police judiciaire (BNPJ) sur la base d’une plainte déposée par un ancien fonctionnaire de l’arrondissement de Aïn Chock, Mohamed Ben Fares, en charge de la gestion des recettes. Lequel Ben Fares, né en 1964, est aujourd’hui employé dans l’arrondissement de Bouskoura où il a atterri depuis seulement deux ans après avoir passé plus de dix ans dans celui de Aïn Chock.

Dans sa plainte, Mohamed Ben Fares accuse les quatre fonctionnaires du Conseil de la ville d’avoir protégé un promoteur immobilier à Casablanca, Haj Bensalem Benkirane. Propriétaire d’un lotissement de terrain de 8 hectares dans le quartier Californie, sur lequel il devait bâtir un complexe résidentiel (Jenane California) de R+4 au lieu de R+3 autorisé dans cette zone (il a obtenu une dérogation de la part de l’Agence urbaine de Casablanca), Haj Bensalem Benkirane a bénéficié de travaux d’aménagement et de voirie réalisés par le Conseil de la ville.

Règlement de comptes
Coût de ces travaux : environ 2 millions de dirhams. Somme que M. Benkirane n’a pas honorée jusqu’à ce jour, alors que son projet, dont le budget est estimé à 16 millions de dirhams, a déjà reçu toutes les autorisations nécessaires. Ce qui est contraire à la procédure en vigueur.

Mohamed Ben Fares fait l’objet, à son tour, d’une plainte déposée cette fois-ci par la gouverneure de Aïn Chock, Fouzia Imansar. Celleci l’accuse notamment d’avoir accordé des exonérations fiscales illégales à des promoteurs immobiliers, lorsqu’il était responsable des recettes communales à Aïn Chock.

Parmi les bénéficiaires, la Société générale des Travaux marocains (SGTM), appartenant à Ahmed et M’hamed Kabbaj. Mohamed Ben Fares aurait accordé à la SGTM, dont le chiffre d’affaires est estimé à 3 milliards de dirhams, une exonération de la taxe sur les terrains non bâtis (TNB) de l’ordre de 1,76 million de dirhams.

Les pertes en taxes immobilières non-perçues pour le compte du Conseil de la ville s’élèvent à plus de 50 millions de dirhams. Ces dossiers judiciaires, qui mettent aujourd’hui en cause des fonctionnaires du Conseil, et, probablement, demain des élus, commencent à sortir et traduisent la crise profonde dans laquelle se trouve le Conseil de Casablanca depuis quelque temps
 
Bonsoir,
Encore un article qui déroge au code de la presse et de l'honneur ...
Primo, Al Haj Bensalem BENKIRANEest décédé, Allah y Rehmo ...
En second, lieu Al Haj Bensalem BENKIRANE ne menait pas d'opération en nom propre, mais toujours au nom d'une société ...
Il engageait des opérations avec des associés, pour 9aria Al Jama3a le groupe Laghrari et d'autres. Il avait son bureau sous la Mosquée et avait une réputa
 
Bonjour,
Al Haj Bensalem Benkirane avait ses anciens bureaux sous la Mosquée de 9ariat Jma3a, il avait une solide réputation d'intégrité et avait contribué à l'édification de plusieurs Mosquées de ses propres deniers.

Il est nécessaire de rendre honneur à la mémoire d'El Haj Bensalem BENKIRANE, qui le premier, juste après l'indépendance, pour combattre la cherté des prix des terrains à Casablanca, lança une opération de lotissement en banlieu, facilitant l'accès au moyen de ligne d'autobus, permettant aux plus défavorisés, d'accèder à des prix bas au logement individuel. C'est ainsi que les quartiers Jamila naquirent et fleurirent. A terme plus de 650 000 casablancais vivaient sur le lotissement ainsi réalisé par la société, de 1952 à 1982.
Par ailleurs, pour la dérogation, au cas ou elle existerait, c'est un acte juridique légal, et si elle a été attribuée, elle l'aurait été à une société immobilière et non à une personne physique ..
Une société qui aurait du être citée, au lieu de viser spécifiquement l'un des actionnaire en particulier.
Alors, pourquoi tente-t-on de salir la mémoire et le nom d'un défunt digne d'éloge et du plus grand respect ?
Pour se protéger et se prémunir de poursuites et chefs d'accusation dans d'autres affaires ?
Parce qu'il s'agit du demi-frère de l'actuel Chef de Gouvernement ...
Quelles qu'en soit les raisons elle ne peuvent qu'être basses et viles ...
Enfin, même du point de vue juridique, on ne conçoit pas la citation du nom de défunts.
Ce simple fait, atteste les mauvaises intentions de ceux qui en salissant la mémoire de Al haj Bensalem Benkirane, Allah y Rehmou, tentent d'atteindre par ricochet le Chef du Gouvernement ...
C'est bas ...
De quelle liberté de la presse parle-t-on ?
Liberté de diffamer, de déshonorer, de salir la mémoire de morts ?
 
Source: http://www.maroc-hebdo.press.ma/ind...e-archive/4903-4-fonctionnaires-mis-en-examen

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Ce mercredi 2 mai 2012, le procureur général du Roi près la cour d’appel de Casablanca, Abdallah Alaoui Belghiti, a procédé à l’audition des quatre fonctionnaires du Conseil de la ville, mis en examen dans une affaire de détournement d’argent public. Il s’agit du directeur de la Division des Travaux et des Routes, Mohamed Bricha; de son adjoint, Noureddine Abdelkhalek; du responsable des recettes municipales, Noureddine Chetioui; et de son adjoint, Jamal.

Poursuivis en état de liberté, les quatre mis en cause ont fait l’objet d’une enquête ouverte par la Brigade nationale de la Police judiciaire (BNPJ) sur la base d’une plainte déposée par un ancien fonctionnaire de l’arrondissement de Aïn Chock, Mohamed Ben Fares, en charge de la gestion des recettes. Lequel Ben Fares, né en 1964, est aujourd’hui employé dans l’arrondissement de Bouskoura où il a atterri depuis seulement deux ans après avoir passé plus de dix ans dans celui de Aïn Chock.

Dans sa plainte, Mohamed Ben Fares accuse les quatre fonctionnaires du Conseil de la ville d’avoir protégé un promoteur immobilier à Casablanca, Haj Bensalem Benkirane. Propriétaire d’un lotissement de terrain de 8 hectares dans le quartier Californie, sur lequel il devait bâtir un complexe résidentiel (Jenane California) de R+4 au lieu de R+3 autorisé dans cette zone (il a obtenu une dérogation de la part de l’Agence urbaine de Casablanca), Haj Bensalem Benkirane a bénéficié de travaux d’aménagement et de voirie réalisés par le Conseil de la ville.

Règlement de comptes
Coût de ces travaux : environ 2 millions de dirhams. Somme que M. Benkirane n’a pas honorée jusqu’à ce jour, alors que son projet, dont le budget est estimé à 16 millions de dirhams, a déjà reçu toutes les autorisations nécessaires. Ce qui est contraire à la procédure en vigueur.

Mohamed Ben Fares fait l’objet, à son tour, d’une plainte déposée cette fois-ci par la gouverneure de Aïn Chock, Fouzia Imansar. Celleci l’accuse notamment d’avoir accordé des exonérations fiscales illégales à des promoteurs immobiliers, lorsqu’il était responsable des recettes communales à Aïn Chock.

Parmi les bénéficiaires, la Société générale des Travaux marocains (SGTM), appartenant à Ahmed et M’hamed Kabbaj. Mohamed Ben Fares aurait accordé à la SGTM, dont le chiffre d’affaires est estimé à 3 milliards de dirhams, une exonération de la taxe sur les terrains non bâtis (TNB) de l’ordre de 1,76 million de dirhams.

Les pertes en taxes immobilières non-perçues pour le compte du Conseil de la ville s’élèvent à plus de 50 millions de dirhams. Ces dossiers judiciaires, qui mettent aujourd’hui en cause des fonctionnaires du Conseil, et, probablement, demain des élus, commencent à sortir et traduisent la crise profonde dans laquelle se trouve le Conseil de Casablanca depuis quelque temps

Ces petites escarmouches entres voleurs ne sont rien comparer aux affaires dans lesquelles est impliqué le voleur en chef Sajid.
 
Bonjour,
Al Haj Bensalem Benkirane avait ses anciens bureaux sous la Mosquée de 9ariat Jma3a, il avait une solide réputation d'intégrité et avait contribué à l'édification de plusieurs Mosquées de ses propres deniers.

Il est nécessaire de rendre honneur à la mémoire d'El Haj Bensalem BENKIRANE, qui le premier, juste après l'indépendance, pour combattre la cherté des prix des terrains à Casablanca, lança une opération de lotissement en banlieu, facilitant l'accès au moyen de ligne d'autobus, permettant aux plus défavorisés, d'accèder à des prix bas au logement individuel. C'est ainsi que les quartiers Jamila naquirent et fleurirent. A terme plus de 650 000 casablancais vivaient sur le lotissement ainsi réalisé par la société, de 1952 à 1982.
Par ailleurs, pour la dérogation, au cas ou elle existerait, c'est un acte juridique légal, et si elle a été attribuée, elle l'aurait été à une société immobilière et non à une personne physique ..
Une société qui aurait du être citée, au lieu de viser spécifiquement l'un des actionnaire en particulier.
Alors, pourquoi tente-t-on de salir la mémoire et le nom d'un défunt digne d'éloge et du plus grand respect ?
Pour se protéger et se prémunir de poursuites et chefs d'accusation dans d'autres affaires ?
Parce qu'il s'agit du demi-frère de l'actuel Chef de Gouvernement ...
Quelles qu'en soit les raisons elle ne peuvent qu'être basses et viles ...
Enfin, même du point de vue juridique, on ne conçoit pas la citation du nom de défunts.
Ce simple fait, atteste les mauvaises intentions de ceux qui en salissant la mémoire de Al haj Bensalem Benkirane, Allah y Rehmou, tentent d'atteindre par ricochet le Chef du Gouvernement ...
C'est bas ...
De quelle liberté de la presse parle-t-on ?
Liberté de diffamer, de déshonorer, de salir la mémoire de morts ?

La politique c'est moche, on le sait.

Le nom Benkirane sonnait bien dans l'article.
 
Moi j'ai bien aimé:

Mohamed Ben Fares fait l’objet, à son tour, d’une plainte déposée cette fois-ci par la gouverneure de Aïn Chock, Fouzia Imansar. Celleci l’accuse notamment d’avoir accordé des exonérations fiscales illégales à des promoteurs immobiliers, lorsqu’il était responsable des recettes communales à Aïn Chock.

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C'est l'histoire de l'arroseur arrosé.
Bien fait pour sa gueule. J'imagine qu'il était juste un pion dans cette gueguerre.
 
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