DSK fait toujours tourner la tête des Marocains et surtout des Marocaines!
DSK à Washington le 1er septembre 2011. AFP/TOBY JORRIN
L'AUTEUR
Ali Amar
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TOPICS
Carlton* Casablanca* DSK* FMI* Marrakech* Nafissatou Diallo* sofitel*
Cest au Maroc que Dominique Strauss-Kahn a fait son come-back. Invité à une conférence économique, il a parlé de la crise et fait son habituel numéro de charme. Les ennuis pour DSK semblent sans fin, et les palaces du monde autant de théâtres grivois de ses frasques sexuelles. Hier, cétait le Sofitel de New York, aujourdhui le Carlton de Lille.
Dans ce dernier, il aurait participé à des parties fines avec de jeunes escort-girls, ce qui lui vaut aujourdhui une garde à vue pour complicité de proxénétisme et recel d'abus de biens sociaux. Son audition devra déterminer si l'ancien directeur du FMI savait que les femmes qui venaient à ses rendez-vous de charme étaient des prostituées, et s'il se doutait de la provenance de l'argent qui servait à les financer.
DSK en terrain conquis
Quelques semaines plus tôt, cest dans autre hôtel de luxe quil avait fait son come-back à la vie publique: le Hyatt Regency de Casablanca. Mais là, pas de visite en catimini pour lenfant du pays, ni de prète-nom pour réserver une suite avec jacuzzi, magnum de champagne, pas plus que de porte dérobée pour échapper aux paparrazzi: DSK y était reçu en guest speaker dune conférence de haute volée et surtout en idole des femmes. «Toutes les occasions pour venir au Maroc sont bonnes, celle-là était particulièrement bonne» a-t-il lancé dentrée lors de son discours.
Régulièrement réfugié dans son magnifique riad de Marrakech depuis le début de ses démêlées judiciaires américains, DSK est donc revenu à la vie mondaine à Casablanca par la grande porte. «La nouvelle vie de DSK» titrait le magazine marocain Actuel qui lui consacrait sa couverture et un reportage haut en couleur.
DSK à Washington le 1er septembre 2011. AFP/TOBY JORRIN
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Cest au Maroc que Dominique Strauss-Kahn a fait son come-back. Invité à une conférence économique, il a parlé de la crise et fait son habituel numéro de charme. Les ennuis pour DSK semblent sans fin, et les palaces du monde autant de théâtres grivois de ses frasques sexuelles. Hier, cétait le Sofitel de New York, aujourdhui le Carlton de Lille.
Dans ce dernier, il aurait participé à des parties fines avec de jeunes escort-girls, ce qui lui vaut aujourdhui une garde à vue pour complicité de proxénétisme et recel d'abus de biens sociaux. Son audition devra déterminer si l'ancien directeur du FMI savait que les femmes qui venaient à ses rendez-vous de charme étaient des prostituées, et s'il se doutait de la provenance de l'argent qui servait à les financer.
DSK en terrain conquis
Quelques semaines plus tôt, cest dans autre hôtel de luxe quil avait fait son come-back à la vie publique: le Hyatt Regency de Casablanca. Mais là, pas de visite en catimini pour lenfant du pays, ni de prète-nom pour réserver une suite avec jacuzzi, magnum de champagne, pas plus que de porte dérobée pour échapper aux paparrazzi: DSK y était reçu en guest speaker dune conférence de haute volée et surtout en idole des femmes. «Toutes les occasions pour venir au Maroc sont bonnes, celle-là était particulièrement bonne» a-t-il lancé dentrée lors de son discours.
Régulièrement réfugié dans son magnifique riad de Marrakech depuis le début de ses démêlées judiciaires américains, DSK est donc revenu à la vie mondaine à Casablanca par la grande porte. «La nouvelle vie de DSK» titrait le magazine marocain Actuel qui lui consacrait sa couverture et un reportage haut en couleur.