Une ode à la secrétaire de ma période de lycéen :
Ô toi qui trône au secrétariat, déesse du fonctionnariat
Pour un sourire de toi je pourrais mourir deux fois
C'est toi qui m'a convoqué, un problème de papier
Soi-disant, mais sans vouloir être médisant,
Le coup de la sécu, c'est vu et revu...
Je sais que tu m'as fait venir pour ton plaisir
Mais jamais je n'oserais bouder ton désir
Mon nom qui retentit dans la classe, plusieurs fois
Je me demande ce qui se passe, encore une fois
Et arrivé à bon port, il m'a fallu bien des efforts
Pour ne pas céder à ton air faussement désintéressé
J'ai bien essayé de te parler, je n'ai pas démérité
Il m'a fallu crier, tes oreilles sont-elles bouchées?
Ta bouche clouée? A peine as-tu daigné les yeux lever
Ô luxuriante, Ô mécréante, veux-tu mon bien?
Quand tu me regardes, avec ton air de Rintintin
Je t'ai cru sourde-muette, que suis-je bête
Tu es timide, mais tu m'as trouvé moi intrépide
Pour t'arracher quelques mots, il faut se lever tôt
Mais je ferai des nuits blanches, pour que tu sois franche
Avec moi, avec toi, avec nous, loin de ta collègue,
(Je ne te cache pas qu'elle a pourtant l'air moins bègue)
Je m'égare je m'égare, je pense à ton air hagard
Je suis bavard alors que chez toi les mots se font rare
Et quand tu oses enfin me regarder me parler
Moi le convoqué, j'ai l'impression de déranger
Mais quand cesseras-tu de jouer avec moi
Regarde moi, tu le sais que je suis fait pour toi
Bientôt viendra ton heure, bientôt nous trouverons le bonheur
Loin de la paperasse, j'aimerais que tu m'aimâsses
Loin de la cour d'honneur, je t'offrirai des fleurs"
Ô toi qui trône au secrétariat, déesse du fonctionnariat
Pour un sourire de toi je pourrais mourir deux fois
C'est toi qui m'a convoqué, un problème de papier
Soi-disant, mais sans vouloir être médisant,
Le coup de la sécu, c'est vu et revu...
Je sais que tu m'as fait venir pour ton plaisir
Mais jamais je n'oserais bouder ton désir
Mon nom qui retentit dans la classe, plusieurs fois
Je me demande ce qui se passe, encore une fois
Et arrivé à bon port, il m'a fallu bien des efforts
Pour ne pas céder à ton air faussement désintéressé
J'ai bien essayé de te parler, je n'ai pas démérité
Il m'a fallu crier, tes oreilles sont-elles bouchées?
Ta bouche clouée? A peine as-tu daigné les yeux lever
Ô luxuriante, Ô mécréante, veux-tu mon bien?
Quand tu me regardes, avec ton air de Rintintin
Je t'ai cru sourde-muette, que suis-je bête
Tu es timide, mais tu m'as trouvé moi intrépide
Pour t'arracher quelques mots, il faut se lever tôt
Mais je ferai des nuits blanches, pour que tu sois franche
Avec moi, avec toi, avec nous, loin de ta collègue,
(Je ne te cache pas qu'elle a pourtant l'air moins bègue)
Je m'égare je m'égare, je pense à ton air hagard
Je suis bavard alors que chez toi les mots se font rare
Et quand tu oses enfin me regarder me parler
Moi le convoqué, j'ai l'impression de déranger
Mais quand cesseras-tu de jouer avec moi
Regarde moi, tu le sais que je suis fait pour toi
Bientôt viendra ton heure, bientôt nous trouverons le bonheur
Loin de la paperasse, j'aimerais que tu m'aimâsses
Loin de la cour d'honneur, je t'offrirai des fleurs"