Abou Bakr al-Baghdadi, le chef de Daech, aurait été tué en Syrie, selon les médias américains

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
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Vu du Royaume-Uni.

La mort d'Al-Baghdadi ne résout en rien le chaos régional provoqué par l'EI

Face à l’assaut mené par les forces spéciales américaines le 26 octobre, le chef de Daech a déclenché sa ceinture d’explosifs. Mais sa mort, analyse The Guardian, n’aura aucune répercussion sur l’ordre régional enfanté par l’État islamique.

On a souvent annoncé sa mort, à tort. Mais pas cette fois. Alors même que les forces américaines transféraient en Irak par la voie des airs les restes d’Abou Bakr Al-Baghdadi, le chef de l’État islamique, tué en Syrie aux premières heures du 26 octobre, le débat sur sa postérité commençait. Pendant plus de cinq ans, Al-Baghdadi, de son vrai nom Ibrahim Awad Ibrahim Ali Al-Badri, a été l’homme le plus recherché de la planète – un personnage qui avait transformé l’insurrection irakienne post-invasion, déjà redoutable, en un terrifiant colosse du terrorisme qui a bouleversé le cours de l’histoire.

Aux commandes de son groupe, Daech, Al-Baghdadi a réussi à réduire en miettes l’autorité des gouvernements irakien et syrien et à remettre en cause les frontières dans tout le Moyen-Orient – tout en échappant aux plus puissants services de renseignements et forces armées du monde. Les ténèbres se sont répandues à une vitesse fulgurante tandis que se déployaient sur la région les bannières noires de l’État islamique. Les États autoritaires n’étaient désormais que des carcasses sans substance incapables de résister aux terribles séides d’Al-Baghdadi, qui se sont emparés des villes les unes après les autres, imposant à quiconque osait rester ou n’avait pu fuir leur vision implacable du monde digne du VIIe siècle.

Chute de dominos

Mossoul a été la première à tomber, et sa prise a permis à Al-Baghdadi de proclamer l’avènement d’un nouveau califat dans le nord de l’Irak. Peu après, ç’a été au tour de Raqqa, puis Daech a atteint les faubourgs orientaux d’Alep, en Syrie. Le groupe avait alors dans sa ligne de mire Erbil, capitale des Kurdes d’Irak, de même que la métropole

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https://www.courrierinternational.c...ut-en-rien-le-chaos-regional-provoque-par-lei
 

Drianke

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Daech : la sœur d’Al-Baghdadi est aux mains des Turcs

Rasmiya Awad, 65 ans, a été interceptée avec son mari, sa belle-fille et cinq enfants, lundi soir à Azaz, en Syrie.


Une sœur d'Abou Bakr al-Baghdadi, le chef du groupe Etat islamique (EI) mort lors du raid d'un commando américain le 27 octobre, a été arrêtée lundi soir en Syrie par les forces turques, a affirmé mardi un haut responsable turc parlant sous couvert d'anonymat à plusieurs agences de presse.
Fahrettin Altun, porte-parole de la présidence turque, a confirmé la nouvelle sur Twitter. « L'arrestation de la sœur d'Al-Baghdadi est une preuve de plus du succès de nos opérations anti-terroristes », a-t-il écrit.

« Rasmiya Awad, née en 1954, a été capturée lors d'un raid contre un campement près d'Azaz », dans le nord-ouest de la Syrie, a indiqué le responsable turc, parlant sous couvert d'anonymat. Selon lui, la sœur de l'ancien chef du groupe djihadiste Etat islamique se trouvait en compagnie de son mari, de sa belle-fille et de cinq enfants. Les trois adultes seraient en cours d'interrogatoire.

Une zone contrôlée depuis trois ans par les Turcs

L'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), une ONG basée à Londres qui dispose d'un vaste réseau sur le terrain, a confirmé l'arrestation de la sœur de Baghdadi, son mari, sa belle-fille, et ses « cinq petits-enfants », dans un camp près d'Azaz. « Quatre autres Irakiens ont été arrêtés », a ajouté le directeur de l'OSDH, Rami Abdel Rahmane.

La ville d'Azaz se trouve dans la zone de l'opération Bouclier de l'Euphrate, un secteur du nord-ouest de la Syrie contrôlé par la Turquie depuis une offensive militaire en 2016.

Dans la série de tweets qu'il a postés, le porte-parole de la présidence turque fustige la « sombre propagande » qui a laissé entendre qu'Ankara avait permis à Daech de prospérer.
 
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Dans la série de tweets qu'il a postés, le porte-parole de la présidence turque fustige la « sombre propagande » qui a laissé entendre qu'Ankara avait permis à Daech de prospérer.
Bah!! c'est quand même la Turquie qui a bien profité du transit du pétrole volé par daech à la Syrie. Le pétrole daechien était vendu en Turquie pour partie. L'autre partie allait au port de Ceyhan, grand hub pétrolier turc. Là, il était simple de mélanger ce pétrole avec celui en provenance des pays arabes.
Et hop..le tour est joué. De nombreux états achetaient ce pétrole sans trop chercher à savoir d'où il provient exactement. Enfin,..on suppose.:)

Bénéfice net pour la Turquie et surtout pour le fiston d'Erdogan qui s'occupe de la chose.
Daech étant foutu, plus d'affaires à traiter avec lui, ...la capture aisée de la frangine du shaytan va permettre de ravaler la façade. Bien joué.
 

Drianke

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Daesh « intact » malgré la mort de Baghdadi

TERRORISME Un rapport américain indépendant estime que l'organisation djihadiste a conservé toutes ses capacités


Daesh a gardé toutes ses capacités malgré la mort de son chef Abou Bakr al-Baghdadi, indique mardi un rapport d’un organisme américain indépendant qui prévient qu’un départ des forces américaines d’Irak conduirait « probablement » à une résurgence du groupe djihadiste.
La mort de son chef Abou Bakr al-Baghdadi le 27 octobre lors d’un raid américain dans le nord-ouest de la Syrie, n’a pas eu d’impact sur le groupe djihadiste, note le rapport du bureau de l’inspecteur général du Pentagone, un organisme indépendant chargé des enquêtes internes sur cette administration tentaculaire.

Citant des informations fournies par l’agence de renseignement militaire du ministère de la Défense (DIA) et le commandement central américain (Centcom), en charge des forces américaines en Irak et Syrie, l’Inspecteur général note que Daesh a « gardé sa cohésion, avec une structure de commande et de contrôle intacte, des réseaux urbains clandestins et une présence des insurgés dans la plupart des zones rurales de Syrie ».

« Résurgence probable »

« Aussi bien Centcom que la DIA ont conclu que la mort de Baghdadi n’avait pas conduit à une dégradation immédiate des capacités » de l’organisation, précise le document.

En Irak, les forces américaines ont suspendu leurs opérations contre Daesh après le raid américain qui a tué le 3 janvier à Bagdad le général iranien Qassem Soleimani, homme clé de l’influence de l’Iran au Moyen-Orient, pour se focaliser sur la défense des installations et des troupes américaines déployées dans le pays.

Malgré un vote du parlement irakien demandant un retrait des forces américaines d’Irak et le souhait exprimé par certains membres du gouvernement de Bagdad, Washington a refusé de retirer ses troupes d’Irak et les forces irakiennes ont repris fin janvier leurs opérations avec la coalition internationale antidjihadiste menée par les Etats-Unis.
 

ELMORITANI

Aka tonystark
VIB
Daesh « intact » malgré la mort de Baghdadi

TERRORISME Un rapport américain indépendant estime que l'organisation djihadiste a conservé toutes ses capacités


Daesh a gardé toutes ses capacités malgré la mort de son chef Abou Bakr al-Baghdadi, indique mardi un rapport d’un organisme américain indépendant qui prévient qu’un départ des forces américaines d’Irak conduirait « probablement » à une résurgence du groupe djihadiste.
La mort de son chef Abou Bakr al-Baghdadi le 27 octobre lors d’un raid américain dans le nord-ouest de la Syrie, n’a pas eu d’impact sur le groupe djihadiste, note le rapport du bureau de l’inspecteur général du Pentagone, un organisme indépendant chargé des enquêtes internes sur cette administration tentaculaire.

Citant des informations fournies par l’agence de renseignement militaire du ministère de la Défense (DIA) et le commandement central américain (Centcom), en charge des forces américaines en Irak et Syrie, l’Inspecteur général note que Daesh a « gardé sa cohésion, avec une structure de commande et de contrôle intacte, des réseaux urbains clandestins et une présence des insurgés dans la plupart des zones rurales de Syrie ».

« Résurgence probable »

« Aussi bien Centcom que la DIA ont conclu que la mort de Baghdadi n’avait pas conduit à une dégradation immédiate des capacités » de l’organisation, précise le document.

En Irak, les forces américaines ont suspendu leurs opérations contre Daesh après le raid américain qui a tué le 3 janvier à Bagdad le général iranien Qassem Soleimani, homme clé de l’influence de l’Iran au Moyen-Orient, pour se focaliser sur la défense des installations et des troupes américaines déployées dans le pays.

Malgré un vote du parlement irakien demandant un retrait des forces américaines d’Irak et le souhait exprimé par certains membres du gouvernement de Bagdad, Washington a refusé de retirer ses troupes d’Irak et les forces irakiennes ont repris fin janvier leurs opérations avec la coalition internationale antidjihadiste menée par les Etats-Unis.


oui oui oui, on va y croire

comme si le parlement irakien avait un pouvoir

et comme si les usa étaient vraiment dans un pétrin...face à leurs poupées

foutage de g.eule..comme avec ben laden, et toute la clique,

les types se fabriquent un thénar avec ses mannequins, et ils nous régalent de sensationnel, et ben voyons....
 
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