Jiimmy
Vergissmeinnicht
Salam Aleykoum
Nous ne sommes pas les acteurs de nos vies. Non pas du fait que nous sommes socialement déterminés sans possibilité de nous extirper des forces que nous subissons et que nous ne contrôlons pas mais plutôt que nous choisissons sciemment la détermination à la vraie liberté.
Il est plus facile de modérer ses convictions et sa morale pour garder sa condition sociale plutôt que de lutter contre les pouvoirs en place qui maintiennent en état le système qui nous commande. C'est, d'une certaine façon, rationnellement plus commode de choisir une vie déterminée socialement, une vie où l'on s'évertuera à garder sa condition sociale plutôt qu une vie où l'on se battra pour bousculer l'ordre établi qui, à nos yeux, pourra paraître injuste de sorte à retrouver une vraie liberté d action.
Certes l'on peut s'opposer à certaines lois en manifestant (au maximum) ou verbalement lors de discussions de comptoirs (au minimum) mais cela n'ira jamais plus loin (cela est-il possible d'ailleurs ?)
Notre dimension sociale est prépondérante. Nos sentiments, nos valeurs, nos réelles convictions résistent mal à la pression sociale. Il est bien plus facile de s'y soumettre plutôt que de l'affronter et d'assumer ses convictions profondes.
Finalement les dimensions sociales de notre comportement sont toujours plus fortes que notre individualité, notre éthique personnelle. Nous choisissons d'être des objets et non les acteurs de notre propre vie car c'est la que se trouve la facilité. Mieux vaut épouser le destin qui se dessine pour nous que de tenter de lui résister (amor fati).
Nous ne sommes pas les acteurs de nos vies. Non pas du fait que nous sommes socialement déterminés sans possibilité de nous extirper des forces que nous subissons et que nous ne contrôlons pas mais plutôt que nous choisissons sciemment la détermination à la vraie liberté.
Il est plus facile de modérer ses convictions et sa morale pour garder sa condition sociale plutôt que de lutter contre les pouvoirs en place qui maintiennent en état le système qui nous commande. C'est, d'une certaine façon, rationnellement plus commode de choisir une vie déterminée socialement, une vie où l'on s'évertuera à garder sa condition sociale plutôt qu une vie où l'on se battra pour bousculer l'ordre établi qui, à nos yeux, pourra paraître injuste de sorte à retrouver une vraie liberté d action.
Certes l'on peut s'opposer à certaines lois en manifestant (au maximum) ou verbalement lors de discussions de comptoirs (au minimum) mais cela n'ira jamais plus loin (cela est-il possible d'ailleurs ?)
Notre dimension sociale est prépondérante. Nos sentiments, nos valeurs, nos réelles convictions résistent mal à la pression sociale. Il est bien plus facile de s'y soumettre plutôt que de l'affronter et d'assumer ses convictions profondes.
Finalement les dimensions sociales de notre comportement sont toujours plus fortes que notre individualité, notre éthique personnelle. Nous choisissons d'être des objets et non les acteurs de notre propre vie car c'est la que se trouve la facilité. Mieux vaut épouser le destin qui se dessine pour nous que de tenter de lui résister (amor fati).