Actualité de l'effondrement en cours

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Personne2
  • Date de début Date de début
Pour le dire crûment, les personnes les plus puissantes au monde se préparent pour la fin du monde, une fin dont elles accélèrent frénétiquement l’arrivée.

ces nazis font l inverse de la théorie des Aryens hindous et Ossetes Alains qui prônent la Brahmacharya c est a dire ne pas diviser, et tout tendre vers l unité, respecter tout , les hommes les animaux les plantes
 
Dernière édition:
ces nazis font l inverse de la théorie des Aryens hindous et Ossetes Alains qui prônent la Brahmacharya c est a dire ne pas diviser, et tout tendre vers l unité, respecter tout , les hommes les animaux les plantes
En parlant des nazis...L’Allemagne nazie des années trente était sensée penser à son peuple.

L’Allemagne des années 2025 sacrifie son peuple pour retrouver le nazisme.



 
Hypothése non démontrée!
Une énergie abondante peut aussi nous permettre de creuser encore plus profond le trou dans lequel nous nous sommes fourré, si profond que l'on en sortira jamais !
Ta fusion va produire de l'électricité au mieux après 2050... on a 25 ans devant nous?
Électricité veut dire renoncer au thermique , remplacer les voitures , les tracteurs , les avions par de l'électrique ..
Recyclé l'existant ...créer une filière , trouver des technologies , fabriquer des usines ...avec le pétrole restant ou avec l'électrique?

Tu sais fabriquer une centrale nucléaire sans pétrole ? Nourrir les gens sans pétrole ?
Si toutes les promesses faites pour rester en dessous des 1.5 ° ( accords de Paris) avait été tenues , il n' y aurait jamais eu assez de cuivre pour les mettre en œuvre !
Pourquoi en serait-il autrement avec le Nuke + la fusion ?
D'autant plus que la tendance est à l'augmentation des budgets militaires ...toutes les matières premières , les budgets qui partent dans la fabrication de drones , de missiles et de missiles anti missiles c'est autant qui ne vont pas au sauvetage de la planète et de la civilisation qui va avec !
Pour le moment la fusion n'est pas en phase de production , reste expérimentale! Une guerre, une pandémie , une crise éco peuvent retarder de combien de temps ton hypothèse ? Et une aggravation de la crise climatique ? Les problèmes démographiques?

Si les Etats Unis n'ont pas réussit à vaincre les Ukrainiens , d'aprés Todd , c'est parce qu'ils n'ont pas eu la capacité de produire assez d'armement , notamment par manque de personnel qualifié!
Du factuel :
La France a 3 semaines de munitions en cas de conflit armé!
La guerre des 12 jours contre l'Iran a fait perdre 3% de croissance à Israël
Il y a des pénuries de médicaments !
La productivité agricole a commencée à baisser ...
La coopération entre nations recule

Alors l’hypothèse :
"Le nucléaire est indispensable avant la maîtrise de la fusion qui nous propulsera vers une nouvelle ère d'abondance."
doit tenir compte de tous ces facteurs !
Les Russes ont trouvé le moyen de mettre les nerfs des Occidentaux à fleur de peau.


 
Et en Ukraine, quand tu défends le chaos provoqué par Poutine dont tu n'as étrangement aucun mot sinon de la complaisance,
Il y a un futur ?
N'inverse pas les rôles.
Poutine a réagi face au génocide provoqué par Kiev sous les directives des occidentaux
N'est-il pas vrai que tous les accords de paix signés et cautionnés par les occidentaux depuis le coup d'état sanglant du Maïdan ont été violés par ces derniers ?
Poutine a été idiot en croyant à l'honnêteté de ses partisans européens à Minsk 1 et 2 et aux accords de Normandie. De l'aveu même de Hollande et de Merkel c'était de la foutaise afin de gagner du temps, d'armer Kiev et de se servir de ce pays à moitié slave pour mener leur guerre contre la Russie... Jusqu'au dernier Ukrainien..
Seulement voilà : ils ont perdu.
Ils leur reste donc à affronter la Russie directement, mais sans l'aval de leurs peuples ni de leurs armées.
Ils veulent nous diriger vers un suicide collectif en attaquant un pays qui ne nous a rien fait.
 
Dans le même fil je poursuis avec Phil Broq.

L’Europe se trouve aujourd’hui à un tournant historique, pris en étau entre une élite déconnectée, prête à sacrifier ses peuples pour maintenir son pouvoir, et des dynamiques géopolitiques qui échappent à tout contrôle. Sous le prétexte de défendre des valeurs et de répondre à des menaces imaginées, les dirigeants européens mènent un jeu dangereux, plongeant le continent dans une spirale de guerre et de crise. Dans cette lutte pour préserver leur hégémonie, ils ignorent les réalités sociales, économiques et humaines, condamnant ainsi un peuple qui n’a pas demandé à être pris en otage. Face à cette folie, la seule issue est l’action collective et responsable des citoyens, car c’est à nous qu’il revient de redéfinir un avenir digne et libre, loin de la guerre et de l’impunité.

Ceux qui prétendent nous gouverner ne regardent plus le monde tel qu’il est, avec ses tensions, ses réalités complexes et ses évolutions inévitables. Non, ils le voient à travers le prisme déformé de leurs fantasmes, de leurs idéologies obsolètes, incapables d’accepter la multipolarité émergente. Loin de comprendre les dynamiques globales, ils choisissent de s’enfermer dans une bulle idéologique, une forteresse de déni, de paranoïa et d’arrogance. Tout ce qui échappe à leur vision rétrécie devient, à leurs yeux, une menace. Ainsi, ils dénoncent une soi-disant conspiration russo-chinoise avec la ferveur d’un inquisiteur à la recherche de l’hérétique, alors que c’est précisément leur propre hostilité, leur mépris arrogant pour le monde extérieur, leur ingérence systématique, qui ont soudé ces puissances en un bloc planétaire uni contre eux.

Leur logique, c’est celle du pyromane qui, tout en allumant l’incendie, hurle au feu. Une logique suicidaire, celle du joueur ruiné qui, pressé par la panique, double la mise avec de l’argent qu’il n’a plus, croyant sauver son destin en pariant sur la guerre. Et pendant ce temps, le peuple européen n’est qu’une variable d’ajustement dans cette danse macabre. Une chair à canon idéologique, un pion sacrifiable dans un jeu dont il n’a jamais été ni acteur, ni bénéficiaire. Mais pour ces apprentis stratèges, l’enjeu n’est pas le bien-être des citoyens, mais leur propre survie politique, quitte à faire exploser tout ce qui reste de la civilisation européenne.

Ils avancent plus ou moins masqués, mais leur manœuvre est d’une transparence éclatante pour ceux qui savent regarder. Cette poignée de dirigeants déconnectés de la réalité, totalement obnubilés par leurs intérêts privés et mus par les ordres de leurs maîtres transatlantiques, s’engouffrent sans scrupules dans le gouffre d’un conflit mondial qu’ils ont sciemment initié. Ces élites ne représentent plus les peuples, dont elles méprisent désormais les voix et les luttes. Elles n’agissent plus au nom du bien commun, mais pour défendre un ordre oligarchique implacable, fondé sur le pillage des ressources, l’opacité financière et une impunité morale à toute épreuve. Leurs décisions ne relèvent plus de la politique, mais de la gestion d’un empire en déclin, prêt à tout pour survivre.

Cette guerre qu’elles préparent n’est ni une réponse à une menace extérieure, ni une évolution naturelle du monde. C’est une stratégie froide, calculée, une diversion sanglante, un écran de fumée tragique. Elle n’a d’autre but que de masquer l’effondrement intérieur total, avec un effondrement à la fois économique, social et moral, qu’elles ont elles-mêmes orchestré par leurs choix économiques destructeurs et leurs manipulations incessantes. La guerre devient ainsi une opération de sauvetage maquillée, telle une tentative désespérée de diluer leurs responsabilités dans le fracas martial, de cacher leurs errements derrière le fracas des canons. Un moyen de redéfinir leur agenda mondial de techno dictature, de faire oublier les crises qu’elles ont provoquées et de renforcer leur contrôle sur un peuple désormais réduit au rôle de spectateur forcé, prêt à tout sacrifier pour les caprices de ces quelques-uns.
 
elles organisent le chaos avec la précision d’une planification industrielle, agissant comme des rouages dans une machinerie infernale. Bruxelles, autrefois vendue aux peuples comme le bastion de la diplomatie et de la paix, s’est métamorphosée en l’architecte d’un projet belliciste où les peuples européens ne sont plus que du carburant dans une machine de guerre géopolitique. Le mot «paix», jadis fondamental dans son discours, a tout simplement disparu du vocabulaire diplomatique. À la place, on nous sert des formules soigneusement calibrées comme «soutien indéfectible», «sanctions massives», «envoi d’armements» et tout un arsenal d’expressions polies et feutrées qui ne dissimulent plus la vérité de leur objectif avec cette guerre sans fin, cette guerre pour tous. Ces mots ne visent plus qu’à masquer la réalité, d’un continent plongé dans un conflit permanent des élites contre l’humanité, dont les dirigeants européens sont devenus les promoteurs et les exécutants, entraînant avec eux des populations qui ne veulent pas de cette guerre, mais qui, faute de pouvoir faire entendre leur voix, en paieront le prix fort.
 
ces compromissions, ces manipulations. Nous devons réveiller la conscience collective, rétablir la vérité et exiger un avenir où le bien-être des peuples passera avant les stratégies géopolitiques, les profits et les ambitions démesurées des puissants. L’histoire se souviendra de notre choix : celui de résister à l’autodestruction, ou celui de se soumettre, les yeux fermés, à une guerre qui ne sera jamais la nôtre.

Le temps est compté. L’heure est à l’action. Si nous voulons sauver ce qui peut encore l’être, si nous voulons offrir à nos enfants un avenir digne et libre, il est grand temps de repenser notre destin collectif. Il n’y a plus de place pour l’indifférence, plus de place pour l’inaction. Le moment est venu de relever la tête, d’affronter la réalité, de résister à la folie qui nous dévore. L’Europe, les peuples, notre avenir, dépendent de ce choix crucial. C’est notre responsabilité. Il est encore temps, mais plus pour longtemps.

Pour lire l'article en entier :
source : Blog de l’éveillé
 
Dernière édition:
Poutine a réagi face au génocide provoqué par Kiev sous les directives des occidentaux
Génocide ? A force d'utiliser ce mot, il n'y plus aucune signification. Le seul génocide visible, ce sont les massacres, déportations, et les villes rasées par les russes dans l'Est de l'Ukraine.
N'est-il pas vrai que tous les accords de paix signés et cautionnés par les occidentaux depuis le coup d'état sanglant du Maïdan ont été violés par ces derniers ?
La seule chose vraie, c'est que la Russie n'a jamais respecté sa parole.
Poutine a été idiot en croyant à l'honnêteté
l'honnêteté n'est pas un mot repris dans le dico des russes, ni dans ton dico.
Ils veulent nous diriger
C'est qui nous ? On ne sait pas exactement qui tu es, mais le seul patriotisme que l'on te connait, c'est le russe.
 
Génocide ? A force d'utiliser ce mot, il n'y plus aucune signification. Le seul génocide visible, ce sont les massacres, déportations, et les villes rasées par les russes dans l'Est de l'Ukraine.
Quand les ukronazis visaint et assassinaint des civils du Donbass, donc des milliers d'enfants , tu appelles ça quoi ?
Quand l'ex ministre de l'armée ukronazis déclare qu'il faudrait raser Donetsk et Logansk
Il n'y a pas de similitudes avec l'extrême droite israélienne qui souhaite raser Gaza ?

 
Quand les ukronazis visaint et assassinaint des civils du Donbass, donc des milliers d'enfants , tu appelles ça quoi ?
Quand l'ex ministre de l'armée ukronazis déclare qu'il faudrait raser Donetsk et Logansk
Il n'y a pas de similitudes avec l'extrême droite israélienne qui souhaite raser Gaza ?

Les seules villes rasées, pulvérisées, annexées de force, l'ont été par la Russie.
L'armée ukrainienne, même lorsqu'elle a conquis les territoires russes, a toujours été bien plus civilisée que l'armée russe.
 
Les seules villes rasées, pulvérisées, annexées de force, l'ont été par la Russie.
L'armée ukrainienne, même lorsqu'elle a conquis les territoires russes, a toujours été bien plus civilisée que l'armée russe.
Tout prouve le contraire, inversion accusatoire oblige.
Les nazis ont toujours visés les civils tout comme les sionistes.et les 15 000 civils assassinés par eux entre 2014 et 2022 le prouvent.
 
C'est ça, pour mieux que tu me la mettes profond ensuite.
Russophobe... c'est culotté de la part d'un occidentalophobe.
Je ne défend que ce qui est juste.
Lorsque les russophobes tuent les russophones en Ukraine, il est normal que ces derniers demandent à se détacher d'un pays gouverné par des fous furieux et demandent de l'aide au big brother.
 
Bon voilà la solution ! Volodimir se rend chez Vladimir et, pour sauver sa peau, il demande l’asile politique. Pendant quelques semaines, avec la tronche qu’on lui connaît, il dénigre les commanditaires de la guerre en Ukraine, expose leurs turpitudes. Ensuite, chirurgie esthétique, apprentissage de nouvelles techniques artistiques : avaleur de feu, cracheur de sabre, jongleries diverses et variées, ventriloquie, pétomanie, que sais-je. Mais il est impératif qu’il oublie le piano à queue, cela risquerait de le faire repérer par les limiers ukronazis dont on sait par expérience qu’ils ont le bras vengeur, le glaive séculier, le C4 pétardant, le drone assassin, etc…etc.
 
Tout prouve le contraire, inversion accusatoire oblige.
Les nazis ont toujours visés les civils tout comme les sionistes.et les 15 000 civils assassinés par eux entre 2014 et 2022 le prouvent.

15.000 civils ? Les ukrainiens en territoire russe n'ont pas touché un seul civil, les ukrainiens ne sont pas des barbares comme tes ruSSes.
 
Je ne défend que ce qui est juste.
Lorsque les russophobes tuent les russophones en Ukraine, il est normal que ces derniers demandent à se détacher d'un pays gouverné par des fous furieux et demandent de l'aide au big brother.
Mais vu que ce sont les russes qui ont commencé a tuer des ukrainiens durant la période soviétique, c'est donc légitime d'être russophobe et de tout faire pour repousser ces parasites de russes.
 
Pourtant tu as énormément d'accointances avec l'extrême droite, notamment lorsque tu utilises des articles de propagande pro-russe.
Pour être juste et ouvert, il faudrait lire les deux versions de ceux qui sont en conflit.
Se restreindre à la propagande occidentale c'est adopter la logique tellement connue des deux poids deux mesures telle qu'on la connaît en ce qui concerne israel
 
15.000 civils ? Les ukrainiens en territoire russe n'ont pas touché un seul civil, les ukrainiens ne sont pas des barbares comme tes ruSSes.
Les horreurs nazies sont du côté ukrainien . Ce sont des bandéristes et sinon , ils en ont la mentalité .

 

Le GIEC : peut-il retrouver sa crédibilité ?
Examen critique des évaluations des risques climatiques et défi croissant posé par les actuaires mondiaux


deepltraduction Josette –

Une bonne politique climatique repose sur une bonne science climatique. Et une bonne science climatique repose sur le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC*) depuis sa création par les gouvernements en 1988.


Le GIEC est composé de dizaines de milliers de scientifiques issus de dizaines de pays, qui couvrent les multiples facettes du « pourquoi » et du « comment » du changement climatique. Il établit une ligne consensuelle dans des rapports (*) volumineux publiés tous les cinq ou six ans. Il a si bien rempli cette mission qu’il a reçu en 2007 le prix Nobel de la paix aux côtés de l’ancien vice-président Al Gore.


Les détracteurs du GIEC le jugent beaucoup trop lent, toujours en retard de plusieurs années sur la réalité de ce qui se passe en première ligne de notre climat en mutation, et beaucoup trop sensible aux pressions politiques brutales des États pétroliers et de l’industrie des combustibles fossiles. Cependant, si vous recherchez une manifestation institutionnelle de ce à quoi ressemble une bonne science dans la pratique, le GIEC est considéré par beaucoup comme la référence en la matière.


Au fil des ans, il s’est familiarisé avec les attaques des climatosceptiques (les rangs serrés des partisans de la théorie de la Terre plate ont été sommairement écartés par le GIEC au fil des ans), des scientifiques indépendants plus radicaux (avec lesquels il a maintenu une position polie de « désaccord respectueux ») et des militants pour le climat, qu’il ignore de manière plutôt condescendante.


Mais le GIEC est aujourd’hui en grande difficulté, face à un adversaire bien plus redoutable : l’élite mondiale des actuaires ! (site des Actuaires français ici) La profession la plus aride, la plus poussiéreuse et la plus incontestablement autoritaire au monde a décidé de concentrer toute sa puissance de feu sur le GIEC, et les retombées pourraient (et devraient !) transformer le monde de la science climatique.
 
En janvier 2025, sans tambour ni trompette, l’Institute and Faculty of Actuaries (Institut et Faculté des Actuaires) a publié son rapport « Planetary Solvency: Finding our Balance in Nature » (*) (Solvabilité planétaire : trouver notre équilibre dans la nature), en partenariat avec des scientifiques de l’université d’Exeter. Ce rapport critique vivement les prévisions économiques orthodoxes, qui estiment que l’impact d’une augmentation moyenne de la température de 3 °C d’ici la fin du siècle serait d’environ 2 % du PIB annuel. « Ces estimations sont tout simplement erronées, plutôt que vaguement correctes, et ne tiennent pas compte du risque de ruine. » Les experts en gestion des risques de l’institut ont réévalué avec diligence les risques associés à des impacts tels que les incendies, les inondations, les sécheresses, les augmentations de température et l’élévation du niveau de la mer jusqu’en 2050 et jusqu’à la fin du siècle.


Il est désormais fort probable que nous connaitrons une augmentation moyenne de la température d’au moins 2 °C d’ici 2050 – un résultat qualifié de « catastrophique » par les auteurs du rapport. Prenez une bonne inspiration et réfléchissez aux impacts prévus de cette augmentation de 2°C :


  • • Contraction économique ; perte du PIB supérieure à 25 %.
  • • Évènements de mortalité humaine massive entrainant plus de 2 milliards de décès.
  • • Le réchauffement de 2 °C ou plus déclenche un nombre élevé de points de basculement climatiques.
  • • Effondrement de certains services écosystémiques et systèmes terrestres essentiels.
  • • Évènements d’extinction majeurs dans plusieurs régions géographiques.
  • • Circulation océanique gravement perturbée.
  • • Fragmentation sociopolitique sévère dans de nombreuses régions ; disparition des régions de faible altitude.
  • • La chaleur et le stress hydrique entrainent la migration massive de milliards de personnes.
  • • Mortalité catastrophique due aux maladies, à la malnutrition, à la soif et aux conflits.

Deux milliards de décès potentiels d’ici 2050. C’est dans seulement 25 ans. Et pour finir, sachant que nous sommes actuellement sur une trajectoire de statu quo qui mènera à une augmentation de la température d’au moins 3,7 °C d’ici 2100, la contraction du PIB passe alors à 50 % et le nombre de décès prévus à 4 milliards.
 
La définition de la « solvabilité planétaire » donnée par l’institut est fascinante :


La « solvabilité planétaire » évalue la capacité actuelle du système terrestre à soutenir notre société et notre économie humaines. De la même manière qu’un régime de retraite solvable est un régime qui continue à fournir des pensions, un système terrestre solvable est un système qui continue à fournir les services naturels dont nous dépendons, à soutenir la prospérité actuelle et à garantir un avenir sûr et juste.


Le problème est que le GIEC, au nom des citoyens de la planète Terre, n’évalue pas les risques de la même manière que les gestionnaires de régimes de retraite évaluent les risques pour leurs clients.
Les risques liés au changement climatique non atténué et aux phénomènes naturels ont été largement sous-estimés. Les pratiques mondiales de gestion des risques pour les décideurs politiques sont inadéquates, et nous avons accepté des niveaux de risque beaucoup plus élevés que ce qui est généralement admis.


Je ne suis pas sûr que le GIEC appréciera d’être qualifié de « précisément faux plutôt que vaguement juste », surtout lorsqu’il se plongera dans les détails de cette critique dévastatrice. Il est essentiellement accusé de :


1. S’appuyer sur une science excessivement restrictive et réductionniste, basée sur des « preuves » rétrospectives, sans aucune capacité à faire face à l’incertitude et à une analyse des risques plus sophistiquée.

2. Ne pas tenir compte de la science des points de basculement critiques : « attendre la certitude » quant à savoir si ces écosystèmes critiques vont basculer ou non, c’est risquer la ruine.

3. Utiliser des méthodologies lentes et statiques, ce qui signifie que ses évaluations des risques sont peu fréquentes et semblent incapables de prendre en compte les preuves irréfutables que le climat change beaucoup plus rapidement que ne l’indiquent ses évaluations.

4. Donner aux gouvernements une fausse assurance (et donc très dangereuse) que l’ampleur des dommages causés à l’économie mondiale par une augmentation moyenne de la température de 2 °C avant la fin du siècle sera « gérable », à environ 1,5 % du PIB mondial. C’est là que l’institut accuse le GIEC d’être « totalement dans l’erreur ».


Je suis sûr que le GIEC fournira une réponse en temps voulu. Lorsqu’il le fera, il devra tenir compte d’un autre rapport tout aussi accablant rédigé par des scientifiques de l’Institut pour les risques climatiques de l’Université de Nouvelle-Galles du Sud, qui confirme l’hypothèse des actuaires selon laquelle les risques financiers ont été sous-estimés, simplement parce que les modèles d’évaluation intégrée du GIEC, sur lesquels il s’appuie depuis des décennies, sont incapables de saisir les risques majeurs, que les actuaires qualifient de risques « peu probables mais aux conséquences catastrophiques ».
 
Pourtant quand on regarde sur les 50 dernières années , par exemple en France il y a un découplage très fort entre croissance économique et émission de CO2 .

Les données montrent que le decouplage a déjà commencé :)

Les premiers avions commerciaux à hydrogène sont attendus pour 2035 ... C'est demain

Le découplage co2 /PIB pour l'Europe , ce n'est pas le découplage PIB /biocapcité
Et non en 2035 tu ne feras pas un voyage commercial en avion à hydrogéne!

J'ai écris je ne sais plus dans quel poste : "La transition énergétique n'aura pas lieu "
Et comme annoncé précédemment les énergies renouvelables ne sont pas en train de ce substituer aux énergies carbonées , elles s'ajoutent. Du coup les prévisions de "découplage" recul de 20 ans

Des prévisions drastiquement changées: l'AIE envisage un déclin du pétrole et du gaz pas avant 2050, soit 20 ans plus tard que prévu​

Pierre Lann
Le 12/09
l'agence s'apprête à ajouter à son étude un nouveau type de scénario basé sur les politiques actuellement menées, alors que ses évaluations des dernières années intégraient aussi l'effet des promesses politiques.

Selon cette nouvelle mouture, encore susceptible d'évoluer, "la consommation de pétrole et de gaz naturel augmentera jusqu'en 2050",



"la consommation de pétrole et de gaz naturel augmentera jusqu'en 2050", si les politiques actuelles se maintiennent. À cette date, l'AIE anticipe que le monde consommera 114 millions de barils de pétrole par jour (Mb/j), contre 104 millions Mb/j actuellement.

"Apport énergétique supplémentaire"​

Une telle trajectoire ferait définitivement dévier la planète de l'accord de Paris, qui prévoyait des objectifs devant limiter la hausse des températures à 1,5°C par rapport à l'ère préindustrielle (+1,1°C actuellement). Le monde se dirige plutôt vers un réchauffement de +3°C
 
Le monde se dirige plutôt vers un réchauffement de +3°C
Du coup relier cette révision de prévision avec celle des actuaires :

"La transition énergétique n'aura pas lieu "
"Le monde se dirige plutôt vers un réchauffement de +3°C"
"il n' y aura pas d'adaptation à un réchauffement de +3°" *


*
Sauf à considérer que 2 milliards de morts et 25% de PIB en moins est une forme d'adaptation
 
Retour
Haut