salam
Adieu Driss Ouchagour
Il avait la sensibilité à fleur de peau et le journalisme dans le sang. Homme de cur et de principes, il avait dédié sa vie à la lutte contre toutes les formes de prévarication, de concussion et de corruption qui gangrènent tous les démembrements de lAdministration territoriale. Particulièrement dans les provinces de Tafraout, Taroudant, Tiznit et de toutes ces belles régions du Sud que les images dEpinal présentent comme un paradis où le désert se love dans la quiétude de sites enchanteurs et dune qualité de vie que seuls les touristes savent apprécier.
Tel Don Quichotte, il avait fait vu de décrire la triste réalité de ces lieux dans toute sa complexité. Jusquau dernier souffle, jusquà lultime soupir, il avait cru dans les principes qui fondent le travail de ces soutiers de lhistoire que nous sommes, ou du moins que certains journalistes le deviennent par leur militantisme constant et inlassable. Driss Ouchagour en faisait partie. Quelques heures avant dêtre à larticle de sa mort, il rédigeait encore ceux qui devaient paraître dans notre édition de demain. Nous vous les soumettons à titre posthume et en guise dhommage à cet homme qui nous a quittés subrepticement aujourd'hui sans quaucun signe annonciateur de son rappel à Dieu ne parvienne à sa famille ou à ses proches. Malade, il ne létait point et, cest dans les bras de Morphée, quil fut happé par la mort. Brusque, aveugle et impitoyable, elle la fauché dans la force de lâge, laissant derrière lui une famille éplorée et des confrères qui garderont son souvenir à jamais.
Condoléances
Nous avons appris avec affliction le décès de notre collaborateur Driss Ouchagour survenu mercredi soir.
En cette douloureuse circonstance, la direction, la rédaction et le personnel technique et administratif de Libération présentent leurs condoléances les plus attristées à son épouse Nadia Bouhanou, à son fils Walid, à ses frères Ahmed, Hassan, Hafid, Mhamed, Abdellah et Mohamed, à ses surs Hajja Khadija et Hajja Fatima, ainsi quà lensemble des membres de la famille éplorée.
Puisse Dieu avoir le défunt en sa Sainte Miséricorde.
Nous sommes à Dieu et à Lui nous retournons.
http://www.libe.ma/Adieu-Driss-Ouchagour_a26113.html
Adieu Driss Ouchagour
Il avait la sensibilité à fleur de peau et le journalisme dans le sang. Homme de cur et de principes, il avait dédié sa vie à la lutte contre toutes les formes de prévarication, de concussion et de corruption qui gangrènent tous les démembrements de lAdministration territoriale. Particulièrement dans les provinces de Tafraout, Taroudant, Tiznit et de toutes ces belles régions du Sud que les images dEpinal présentent comme un paradis où le désert se love dans la quiétude de sites enchanteurs et dune qualité de vie que seuls les touristes savent apprécier.
Tel Don Quichotte, il avait fait vu de décrire la triste réalité de ces lieux dans toute sa complexité. Jusquau dernier souffle, jusquà lultime soupir, il avait cru dans les principes qui fondent le travail de ces soutiers de lhistoire que nous sommes, ou du moins que certains journalistes le deviennent par leur militantisme constant et inlassable. Driss Ouchagour en faisait partie. Quelques heures avant dêtre à larticle de sa mort, il rédigeait encore ceux qui devaient paraître dans notre édition de demain. Nous vous les soumettons à titre posthume et en guise dhommage à cet homme qui nous a quittés subrepticement aujourd'hui sans quaucun signe annonciateur de son rappel à Dieu ne parvienne à sa famille ou à ses proches. Malade, il ne létait point et, cest dans les bras de Morphée, quil fut happé par la mort. Brusque, aveugle et impitoyable, elle la fauché dans la force de lâge, laissant derrière lui une famille éplorée et des confrères qui garderont son souvenir à jamais.
Condoléances
Nous avons appris avec affliction le décès de notre collaborateur Driss Ouchagour survenu mercredi soir.
En cette douloureuse circonstance, la direction, la rédaction et le personnel technique et administratif de Libération présentent leurs condoléances les plus attristées à son épouse Nadia Bouhanou, à son fils Walid, à ses frères Ahmed, Hassan, Hafid, Mhamed, Abdellah et Mohamed, à ses surs Hajja Khadija et Hajja Fatima, ainsi quà lensemble des membres de la famille éplorée.
Puisse Dieu avoir le défunt en sa Sainte Miséricorde.
Nous sommes à Dieu et à Lui nous retournons.
http://www.libe.ma/Adieu-Driss-Ouchagour_a26113.html