Un jeune originaire de Limoges n'en finit plus d'enchaîner les délits. Arrêté une nouvelle fois à Paris samedi 1er mars, puis présenté à un juge, il va pârtir au Maroc effectuer un stage censé le ramener dans le droit chemin.
La justice ne sait plus quoi faire de cet adolescent. Cela fait deux ans maintenant que celui qui se fait surnommer "la terreur de Limoges" défraie la chronique judiciaire limousine. Âgé de 14 ans, il compte à son actif une vingtaine de vols et d'agressions, et plusieurs évasions de tribunaux ou de centres éducatifs.
Son dernier méfait remonte au week-end dernier. Après s'être échappé du centre éducatif fermé dans lequel il avait été placé dans le Val-de-Marne, il a été arrêté dans le métro parisien samedi. Les policiers de la capitale l'ont interpellé alors qu'il venait de violemment arracher un téléphone portable des mains d'un voyageur.
Les policiers n'apprécient pas cette décision de justice
Arrestation, garde-à-vue, puis direction Limoges pour être déféré devant le juge des enfants de la ville. L'adolescent est alors placé sous contrôle judiciaire et remis en liberté. Il a depuis été reconduit dans le même centre éducatif fermé d'Arcueil, dont il s'était échappé la semaine dernière.
Mais la justice pense avoir trouvé la solution : la Protection judiciaire de la jeunesse va en effet envoyer ce jeune dans les prochains jours vers le Maroc, pour y effectuer "un stage de rupture". Une sorte de classe de nature, censée remettre le garçon dans le droit chemin,les policiers qui ont eu à faire à lui des dizaines de fois n'apprécient guère. Pour eux, "la terreur de Limoges", qu'ils considèrent comme un délinquant dangereux et ingérable, va prendre des vacances au soleil payées par le contribuable.
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La justice ne sait plus quoi faire de cet adolescent. Cela fait deux ans maintenant que celui qui se fait surnommer "la terreur de Limoges" défraie la chronique judiciaire limousine. Âgé de 14 ans, il compte à son actif une vingtaine de vols et d'agressions, et plusieurs évasions de tribunaux ou de centres éducatifs.
Son dernier méfait remonte au week-end dernier. Après s'être échappé du centre éducatif fermé dans lequel il avait été placé dans le Val-de-Marne, il a été arrêté dans le métro parisien samedi. Les policiers de la capitale l'ont interpellé alors qu'il venait de violemment arracher un téléphone portable des mains d'un voyageur.
Les policiers n'apprécient pas cette décision de justice
Arrestation, garde-à-vue, puis direction Limoges pour être déféré devant le juge des enfants de la ville. L'adolescent est alors placé sous contrôle judiciaire et remis en liberté. Il a depuis été reconduit dans le même centre éducatif fermé d'Arcueil, dont il s'était échappé la semaine dernière.
Mais la justice pense avoir trouvé la solution : la Protection judiciaire de la jeunesse va en effet envoyer ce jeune dans les prochains jours vers le Maroc, pour y effectuer "un stage de rupture". Une sorte de classe de nature, censée remettre le garçon dans le droit chemin,les policiers qui ont eu à faire à lui des dizaines de fois n'apprécient guère. Pour eux, "la terreur de Limoges", qu'ils considèrent comme un délinquant dangereux et ingérable, va prendre des vacances au soleil payées par le contribuable.
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