Salam les Bladineaux.
J'aime quelqu'un, et je peux même pas situer si c'est dans le halal ou le haram selon la chronologie des faits, bien que j'ai ma petite idée. Je dit ma car c'est pas un thread pour faire le buzz.
En tout cas j'ai pu me remettre en question durant les moments douloureux.
Comment font-elles ? Comment font ces femmes qui approchent de la 30aine et qui n'ont ni scrupules ni remords ? Est-ce que la mécréance "protège" à ce point des épreuves du cœur ? C'est un pacte tentant.
J'ai compris pour ma part que ce qui me manque d'avantage que l'être aimé est très simple, c'est le sentiment de sécurité et d'accomplissement.
Je le recherche en vain (donc mal évidemment, on a pas tous l'arsenal déjà au point pour affronter la vie) depuis tellement longtemps, que j'ai fini par être accroc à mon manque.
A quoi bon consommer mes émotions pour rendre ce manque plus douloureux.
Je me dit que c'était écrit, et je comprends pas pourquoi, vraiment pas, si ce n'est pour que je constate l'étendue de mes mauvais choix.
Je n'arrive pas à me pardonner d'avoir abandonné, mais je n'arrive pas non plus à me pardonner d'avoir imaginé une seconde que j'avais le droit d'essayer.
J'aime quelqu'un, et je peux même pas situer si c'est dans le halal ou le haram selon la chronologie des faits, bien que j'ai ma petite idée. Je dit ma car c'est pas un thread pour faire le buzz.
En tout cas j'ai pu me remettre en question durant les moments douloureux.
Comment font-elles ? Comment font ces femmes qui approchent de la 30aine et qui n'ont ni scrupules ni remords ? Est-ce que la mécréance "protège" à ce point des épreuves du cœur ? C'est un pacte tentant.
J'ai compris pour ma part que ce qui me manque d'avantage que l'être aimé est très simple, c'est le sentiment de sécurité et d'accomplissement.
Je le recherche en vain (donc mal évidemment, on a pas tous l'arsenal déjà au point pour affronter la vie) depuis tellement longtemps, que j'ai fini par être accroc à mon manque.
A quoi bon consommer mes émotions pour rendre ce manque plus douloureux.
Je me dit que c'était écrit, et je comprends pas pourquoi, vraiment pas, si ce n'est pour que je constate l'étendue de mes mauvais choix.
Je n'arrive pas à me pardonner d'avoir abandonné, mais je n'arrive pas non plus à me pardonner d'avoir imaginé une seconde que j'avais le droit d'essayer.