Algérie, Boumediene- Bouteflika Boucher et fossoyeur

KINGjulian

Modérateur
Le génie de Bouteflika se limite à blanchir les assassins, à ternir la mémoire de leurs innombrables victimes notamment en favorisant la manipulation de l’histoire de la guerre d’Algérie, la clef de tous les pouvoirs et l’unique ascenseur sociales pour opportunistes.

Depuis la décolonisation de l’Algérie, les relais politiques et médiatiques algériens ont bénéficié d’une autoroute à sens unique pour faire circuler leur idéologie stérile dans des langues d’importation, inaccessibles au petit peuple algérien. Ils ont verrouillé la voie à toute opinion venant en sens inverse, discordante, de s’exprimer. L’école algérienne n’éduque pas. Elle a pour tache de former des consommateurs passifs d’un discours qui leur est servi dans une langue et une culture qui ne sont pas les leurs.


A 1999, à l’occasion de la campagne des : « Elections » présidentielles, l’unique chaîne de télévision hérité du colonialisme avait organisé, grand renfort de publicité, un débat unique pour le candidat unique de l’armée algérienne, pour AEA Bouteflika. Des journalistes triés sur le volet, connus pour leur plat-ventrisme, instruits pour ne pas poser les questions qui fâchent à leur invité, se mettent autour du plateau.


A l’heure où le débat devenait : incolore, inodore, ennuyeux, interminable, voici l’évènement qui sans doute reste gravé dans les mémoires des téléspectateurs algériens, Hmida, le journaliste d’el Khabar, ose rompre la routine, poser au candidat-président la question qui fâche, les crimes de son clans commis pendant la révolution algérienne, notamment l’affaire du capitaine Zoubir.


Visiblement désarçonné, le futur président fronce ses sourcils, tend son bras dans direction du seul journaliste qui voulait honorer son métier : « Je vous mis au défit d’apporter la preuve de ce que vous avancez», ponctuant ses propos par un coup de point sur le plateau.



Pris de court, l’audacieux journaliste d’el Khabar, actuellement directeur : « D’Algérie news », très brun, était devenu tout blanc. Ses collègues n’avaient pas broché. A peine le show télévisé était-il terminé, la femelle du groupe accourait aux pieds du président pour lui baiser la main…

Cela fait 12 ans que nous attendons, en vain, de voir un quiconque journaliste algérien tenter de relever le défit lancé par Bouteflika à Hmida.


Hammadya Tahar, alias capitaine Zoubir, était un authentique baroudeur de la W5 et non pas un mythe. Pour le soumettre, Boussouf et Boumediene ont mobilisé toutes leurs unités combattantes stationnées au Maroc, font appel aux renforts de l’armée marocaine, recouru à l’arbitrage du roi Mohamed V, entre autres ruses, pour faire baisser la garde au rebelle.

Une fois arrêté, il sera jugé par un tribunal présidé par Boumediene assisté par un DAF, par l’un des frères Allahoum, qui l’a condamné à mort et immédiatement exécuté.


Nous rappelons ici que l’affaire du capitaine Zoubir n’est pas un cas isolés mais il peut-être multiplier à l’infini. Houari Boumediene et ses DAF ont assassinés plus de valeureux combattants nationalistes algériens que 12 généraux coloniaux de la trempe de : Massu, Bigeard, Challe, Godard, Aussareses, etc.


http://face-a-face.blogs.nouvelobs....mediene-bouteflika-boucher-et-fossoyeur1.html
 
Et voilà encore un enième article de ce bouffon du makhzen....on s'en fout de ce que cet individu malade peut dire sur l'algerie son cauchemare, comme ses frères marocains, ce pauvre type qui se fait passer pour algerien a besoin d'une thérapie. La caravane passe.....

Messieurs les marocains ce n'est pas en agitant les fourberies de ce pauvre type débile que vous gagnerez l'opinion algérienne.
 
Et voilà encore un enième article de ce bouffon du makhzen....on s'en fout de ce que cet individu malade peut dire sur l'algerie son cauchemare, comme ses frères marocains, ce pauvre type qui se fait passer pour algerien a besoin d'une thérapie. La caravane passe.....

Messieurs les marocains ce n'est pas en agitant les fourberies de ce pauvre type débile que vous gagnerez l'opinion algérienne.
Qu'esta ya un probléme ?

L'opinion algérienne on en a rien a faire , t'as toujours pas compris qu'on s'en moque de vous.

Il n'y a pas plus bouffon que ces 2 moins que rien que sont Boumedienne le berger qui est un incapable de premiére et son toutou bouteflika lui une vraie poupée.
On se souvient encore quand il allait se cacher chez les orientaux a chaque fois que le berger était en colére.
 
Qu'esta ya un probléme ?

L'opinion algérienne on en a rien a faire , t'as toujours pas compris qu'on s'en moque de vous.

Il n'y a pas plus bouffon que ces 2 moins que rien que sont Boumedienne le berger qui est un incapable de premiére et son toutou bouteflika lui une vraie poupée.
On se souvient encore quand il allait se cacher chez les orientaux a chaque fois que le berger était en colére.


t as quelque chose contre les bergers !
 
le 11.11.11

Nous avions alerté, dans un précédent article, sur les conséquences de l’installation de la pratique de la barbouze (services spéciaux parallèles et illégaux), alors que le pays a besoin de toute l’homogénéité de nos services de sécurité face à des défis internes et externes.

L’Armée nationale populaire a cinq armes : l’infanterie, la marine, l’aviation, la gendarmerie et le Département du renseignement et de la sécurité (da’irat el isti’lamat oua al amn). De ce dernier dépendent plusieurs directions du renseignement militaire chargé de la sécurité intérieure et extérieure. Ce sont ces services qui ont payé le plus lourd tribut dans la guerre contre les terroristes islamistes.

La cohésion de ces services est l’idée de l’ancien chef d’état-major Mohamed Lamari durant 1993 : la coordination entre les corps de sécurité contre le terrorisme islamiste a transformé la communauté des services spéciaux en une arme précieuse, mêlant renseignement et action (ce qui a donné des résultats contre le FIDA en 1995 grâce à la coordination ONRB et DCE, et autres opérations dont la destruction, en 1994, de l’état-major du GIA à Aïn Defla).


Cohésion

A noter que les différentes tentatives de «dialogue» ou de «rahma», lancées par le pouvoir, n’ont jamais altéré le travail de sape des maquis islamistes, pour la simple raison que, à l’époque, une cohésion parfaite entre l’appareil sécuritaire et la décision politique était non seulement acquise, mais aussi grâce à la parfaite cohésion tactique et stratégique entre «services» et l’ANP.


La menace

Et ce n’est pas un hasard s’il refuse le poste de président en 1994 : sa seule condition était de devenir en même temps ministre de la Défense. Arrivé au pouvoir en 1999, se voulant plus qu’un «quart de président», selon ses propres termes, le Président n’a cessé d’engager un duel avec ce haut commandement qui lui avait refusé la succession de son mentor Boumediène.

le Président, chef des armées, jaloux de son pouvoir, s’est octroyé le droit de fragmenter cette cohésion aux fins de ses propres ambitions. Pour lui, ce corps homogène est une menace. Ça lui rappelle trop la SM monolithique qui lui aurait volé sa place de dauphin de Boumediène.

Le meilleur haut officier de l’antiterrorisme est déchargé et est posté agent de liaison d’Interpol. L’ONRB et la BMPJ créées par le défunt Smaïl Lamari sont dissoutes. L’ANP est coupée du renseignement. Le président va même jusqu’à imaginer un super-ministère de la Sécurité, créer une direction du renseignement interne au sein du ministère de l’Intérieur, soulevant la colère des cadres du renseignement militaire… Et là, dernière trouvaille, nous nous retrouvons avec des services parallèles capables de kidnapper les gens en plein jour à Alger.

En tentant d’étendre son pouvoir, le Président a déstabilisé la structure sécuritaire à un moment où le pays fait encore face à de sérieuses menaces internes et régionales.





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http://www.elwatan.com/weekend/7jou...ructure-securitaire-11-11-2011-146833_178.php
 
surpris par une affaire que je ne connaissais pas, pourtant je suis bien renseigné sur les reproches que l'on peut faire au défunt BOUMEDIENE, j'ai parcouru le web

un article de 2000 sur Algéria Watch, reprend en détail la cas du dit Capitaine ZOUBIR

après abandon de ses troupes pour se rendre au Maroc pour demander des comptes, il se serait rendu compte que les dons des organisations internationales destinées à l'Algérie étaient revendus sur le souk par deux larons. Le Colonel BOUSSOUF et le Prince Héritier marocain...Entrant en guerre contre les Algériens mafieux, il aurait été arrêté par les troupes du Prince qui l'auraient remis à BOUSSOUF qui l'a traduit devant un tribunal présidé par BOUMEDIENE assisté par un DAF ALAHOUM...

seuls ceux qui ne connaisent pas les Algériens cités accorderont du crédit à la fable

BOUSSOUF, une des plus grosses fortunes de l'Est algérien, homme exceptionnel et de la lignée de BEN LADEN . Il ne tuera personne pour le voler.

BOUMEDIENE, moine soldat est mort dans un hôpital public algérois, ne laissant aucune fortune personnelle à sa famille

ALAHOUM est bien un Déserteur de l'Armée Française mais homme de confiance de BOUMEDIENE , il n'a eu comme tort que de ne pas avoir prévenu son empoisonnement par des hommes du sérail au service d'une puissance étrangère.
 
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