Des sources africaines et occidentales pointent du doigt le rôle ambigu du régime militaire algérien, accusé d’alimenter les groupes terroristes actifs au Sahel ainsi qu’aux abords de la frontière avec la Libye, la Mauritanie ainsi qu’au Sénégal.
Isolé diplomatiquement, le régime d’Alger se retrouve cerné : au nord par l’Europe et la région contestée de la Kabylie, au sud par l’Alliance des États du Sahel et l’Azawad, à l’est par la Libye, et à l’ouest par le groupe Polisario.
Le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM), également connu sous son acronyme arabe JNIM, intensifie ses efforts pour s’implanter au Sénégal et en Mauritanie, en partant de la région frontalière sud-ouest du Mali. C’est ce que révèle une nouvelle étude publiée par le Timbuktu Institute, un centre de recherche basé à Dakar, qui alerte sur l’expansion croissante du groupe jihadiste affilié à Al-Qaïda.
Selon les analystes, pour sa survie, le régime militaire algérien du général Saïd Chengriha et le président Abdelmadjid Tebboune, instrumentalise la menace terroriste pour justifier une militarisation du pouvoir, maintenir un climat de peur, et affaiblir les mouvements populaires ou démocratiques dans la région.
Cette politique ambiguë, fondée sur le double jeu, place l’Algérie en tant que pays terroriste, dans une position instable où l’appareil militaire semble davantage préoccupé par la sauvegarde de son autorité que par la stabilité réelle du pays et de ses voisins.
https://sahel-intelligence.com/3799...-accusations-qui-font-trembler-la-region.html
Isolé diplomatiquement, le régime d’Alger se retrouve cerné : au nord par l’Europe et la région contestée de la Kabylie, au sud par l’Alliance des États du Sahel et l’Azawad, à l’est par la Libye, et à l’ouest par le groupe Polisario.
Le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM), également connu sous son acronyme arabe JNIM, intensifie ses efforts pour s’implanter au Sénégal et en Mauritanie, en partant de la région frontalière sud-ouest du Mali. C’est ce que révèle une nouvelle étude publiée par le Timbuktu Institute, un centre de recherche basé à Dakar, qui alerte sur l’expansion croissante du groupe jihadiste affilié à Al-Qaïda.
Selon les analystes, pour sa survie, le régime militaire algérien du général Saïd Chengriha et le président Abdelmadjid Tebboune, instrumentalise la menace terroriste pour justifier une militarisation du pouvoir, maintenir un climat de peur, et affaiblir les mouvements populaires ou démocratiques dans la région.
Cette politique ambiguë, fondée sur le double jeu, place l’Algérie en tant que pays terroriste, dans une position instable où l’appareil militaire semble davantage préoccupé par la sauvegarde de son autorité que par la stabilité réelle du pays et de ses voisins.
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