Le Prophète (ﷺ) a dit : «Allah maudit la femme masculinisée.» De même que l’autre Hadith rapporté selon ‘Abdullah Ibnou ‘Abbaas (qu'Allah soit satisfait de lui) qui dit : " Le messager d’Allah (ﷺ) a maudit les hommes qui cherchent à ressembler aux femmes, et les femmes qui cherchent à ressembler aux hommes." Je crois fermement, que les femmes qui sont graduées des écoles secondaires, ou avec des diplômes plus élevés encore, n’ont jamais entendu de Hadiths comme le premier ou comme le second. Et si un jour elles l’ont entendus, alors c’est entré par une oreille et sorti par l’autre. Car les programmes qui sont enseignés ou les bases sur lesquels sont basés ces programmes ne permettent pas aux enseignantes (même si elles sont religieuses) d’approfondir sur ce genre de question.
C’est une chose bien connue dans la révélation et chez les savants de l’Islam, que la base pour l’homme est qu’il sort de chez lui pour travailler, pour son bien et le bien de sa famille. Tandis que pour la femme, c’est le contraire; la base pour elle est qu’elle reste à la maison et qu’elle n’en sort pas. Car la femme agit selon le verset : (Restez dans vos foyers; et ne vous exhibez pas à la manière des femmes avant l'Islam (Jahiliyah).) Al‐Ahzaab : 33.
Donc étant donné que la femme est devenue comme l’homme, elle sort de chez elle le matin et entre le soir, elle a ressemblée à l’homme en cela, qu’elle le sache ou non et qu’elle en soit consciente ou non.
C’est bien pour cette raison qu’on ne voit pratiquement plus, à notre époque très éloignée de l’époque du prophète (ﷺ), de jeune fille vierge et timide, ayant peur de croiser le regard d’un homme et qui – à cause de sa grande pudeur – jette son regard sur le sol pour regarder ses pas lorsqu’elle marche. On ne voit plus de ce type de jeune fille qui était si bien connue à l’époque préislamique, sans parler des premiers siècles purs et illuminés de l’Islam. C’est pour cela qu’on retrouve qu’il est rapporté dans le recueil de Hadith authentique des descriptions du prophète (ﷺ) «qu’il était plus pudique qu’une jeune vierge dans sa chambre.» Cette jeune vierge, dont on compare la pudeur à celle du prophète, le meilleur des hommes (r), on n’en entend presque plus parler à notre époque. Car la masculinisation à prit le dessus sur les femmes. Il n’y a pas de doute qu’il existe à cela de nombreuses raisons. Parmi celles‐ci, l’une des plus importantes pour commencer, est : le pouvoir qu’ont les dirigeants Kouffars sur plusieurs des pays musulmans et qu’ils utilisent pour répandre leurs coutumes, leurs traditions, leurs goûts, leurs comportements déviants par rapport à la Fitrah saine. Une génération en a hérités. Des enseignants et enseignantes, soi‐disant orienteurs, ont adoptés ces idées des Kouffars, qu’ils ont tous propagés parmi les garçons et les filles de cette génération grandissante, comme ce qu’ils appellent «l’égalité entre les femmes et les hommes». Cela est donc une des causes de la propagation de l’impudeur chez les femmes, qui a rendu plusieurs d’entre elles masculinisées. Et il n’y a pas de doute que la masculinisation de la femme a comme conséquence qu’elle transgresse, par son comportement, les limites du respect qu’elle doit à son mari. Il se peut également qu’elle cherche à lever la voix sur lui et même à tenter de l’humilier devant certains des proches, de sa famille ou de la famille de son mari, dans le but de s’élever au‐dessus de son mari.
C’est une chose bien connue dans la révélation et chez les savants de l’Islam, que la base pour l’homme est qu’il sort de chez lui pour travailler, pour son bien et le bien de sa famille. Tandis que pour la femme, c’est le contraire; la base pour elle est qu’elle reste à la maison et qu’elle n’en sort pas. Car la femme agit selon le verset : (Restez dans vos foyers; et ne vous exhibez pas à la manière des femmes avant l'Islam (Jahiliyah).) Al‐Ahzaab : 33.
Donc étant donné que la femme est devenue comme l’homme, elle sort de chez elle le matin et entre le soir, elle a ressemblée à l’homme en cela, qu’elle le sache ou non et qu’elle en soit consciente ou non.
C’est bien pour cette raison qu’on ne voit pratiquement plus, à notre époque très éloignée de l’époque du prophète (ﷺ), de jeune fille vierge et timide, ayant peur de croiser le regard d’un homme et qui – à cause de sa grande pudeur – jette son regard sur le sol pour regarder ses pas lorsqu’elle marche. On ne voit plus de ce type de jeune fille qui était si bien connue à l’époque préislamique, sans parler des premiers siècles purs et illuminés de l’Islam. C’est pour cela qu’on retrouve qu’il est rapporté dans le recueil de Hadith authentique des descriptions du prophète (ﷺ) «qu’il était plus pudique qu’une jeune vierge dans sa chambre.» Cette jeune vierge, dont on compare la pudeur à celle du prophète, le meilleur des hommes (r), on n’en entend presque plus parler à notre époque. Car la masculinisation à prit le dessus sur les femmes. Il n’y a pas de doute qu’il existe à cela de nombreuses raisons. Parmi celles‐ci, l’une des plus importantes pour commencer, est : le pouvoir qu’ont les dirigeants Kouffars sur plusieurs des pays musulmans et qu’ils utilisent pour répandre leurs coutumes, leurs traditions, leurs goûts, leurs comportements déviants par rapport à la Fitrah saine. Une génération en a hérités. Des enseignants et enseignantes, soi‐disant orienteurs, ont adoptés ces idées des Kouffars, qu’ils ont tous propagés parmi les garçons et les filles de cette génération grandissante, comme ce qu’ils appellent «l’égalité entre les femmes et les hommes». Cela est donc une des causes de la propagation de l’impudeur chez les femmes, qui a rendu plusieurs d’entre elles masculinisées. Et il n’y a pas de doute que la masculinisation de la femme a comme conséquence qu’elle transgresse, par son comportement, les limites du respect qu’elle doit à son mari. Il se peut également qu’elle cherche à lever la voix sur lui et même à tenter de l’humilier devant certains des proches, de sa famille ou de la famille de son mari, dans le but de s’élever au‐dessus de son mari.