Amine
En mode pause
Une allocation pour accompagner un proche en fin de vie
LES SALARIES ayant un proche en fin de vie pourront lui consacrer un peu de leur temps, sans préjudice financier important, grâce à une « allocation journalière daccompagnement dune personne en fin de vie ».Cette mesure a été adoptée à lunanimité jeudi soir par le Sénat, qui la étendue aux « personnes de confiance ». Toute personne proche dun malade souffrant « dune pathologie mettant en jeu le pronostic vital ou en phase avancée ou terminale dune affection grave et incurable » pourra bénéficier, durant un maximum de 21 jours, dune allocation lui permettant de prendre un congé pour rester aux côtés du malade. Lallocation quotidienne devrait sélever à 49 Euro. La durée pourra être fractionnée ou répartie sur plusieurs personnes, sans dépasser 21 jours par mourant. Les personnes préférant passer à temps partiel pour accompagner leur proche, bénéficieront dun prorata de lallocation. Petit « regret », évoqué par le sénateur Jean-Pierre Godefroy (PS) : ce texte « ne concerne pas la fin de vie à lhôpital », mais seulement laccompagnement à domicile.
LES SALARIES ayant un proche en fin de vie pourront lui consacrer un peu de leur temps, sans préjudice financier important, grâce à une « allocation journalière daccompagnement dune personne en fin de vie ».Cette mesure a été adoptée à lunanimité jeudi soir par le Sénat, qui la étendue aux « personnes de confiance ». Toute personne proche dun malade souffrant « dune pathologie mettant en jeu le pronostic vital ou en phase avancée ou terminale dune affection grave et incurable » pourra bénéficier, durant un maximum de 21 jours, dune allocation lui permettant de prendre un congé pour rester aux côtés du malade. Lallocation quotidienne devrait sélever à 49 Euro. La durée pourra être fractionnée ou répartie sur plusieurs personnes, sans dépasser 21 jours par mourant. Les personnes préférant passer à temps partiel pour accompagner leur proche, bénéficieront dun prorata de lallocation. Petit « regret », évoqué par le sénateur Jean-Pierre Godefroy (PS) : ce texte « ne concerne pas la fin de vie à lhôpital », mais seulement laccompagnement à domicile.