Amélie Oudéa-Castéra : le manque de classe, sinon d’éducation, pour une Ministre de l’Education déplorant le manque de classes à l’école

Drianke

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Il est pour le moins paradoxal, et l’on ne sait si c’est le ridicule de la situation ou la maladresse du propos qui est le plus à blâmer en cette triste circonstance, que le nom, Amélie Oudéa-Castéra, de la nouvelle titulaire d’un ministère aussi important, au sein de la République Française, que celui de l’Education Nationale soit désormais plus connu pour sa toute récente mais énorme bourde – le fait qu’elle ait avoué ouvertement, pour sa première sortie politique, que, face aux carences de l’école publique, elle avait choisi de mettre ses enfants dans l’enseignement privé, le très catholique collège Stanislas, à Paris – plutôt que pour ses réelles compétences en la matière.

UNE COMPETENCE MINISTERIELLE SERIEUSEMENT MISE EN DOUTE

Ses compétences dans le domaine de l’Education Nationale, on pouvait déjà raisonnablement les mettre en doute, du reste, au vu de son curriculum vitae : une ancienne joueuse de tennis, très moyenne de surcroît, peut elle, en effet, se montrer sérieusement à la hauteur de cette éminente et très sensible fonction ministérielle, nonobstant sa brillante carrière comme haut fonctionnaire au sein de la très complexe administration française ?

LA CONFUSION DES GENRES : QUAND LA FORME DU DISCOURS OCCULTE, PAR SON OUTRANCE VERBALE, LE FOND DU PROBLEME

Certes, y avait-il un fond de vérité, par-delà son étonnante désinvolture, et surtout son patent manque de tact, dans la dure critique que cette ministre vient donc d’émettre aussi précipitamment, au lendemain même de sa nomination, par ailleurs déjà objet de légitimes polémiques dès le départ, à l’encontre de l’école publique. Mais était-ce vraiment là, au vu de son rôle en tant que Ministre de l’Education Nationale précisément, le moment tout autant que le lieu de cracher ainsi dans la soupe, au risque d’insulter par là la profession, tout entière et sans nuances, qu’elle est pourtant censée, au contraire, protéger, améliorer et diriger tout à la fois ?

C’est dire si, dans cet étrange et surtout très malvenu mélange des genres, la forme du discours ministériel a fini par occulter là, par son outrance verbale, le véritable fond du problème !

UNE INSULTE AU MINISTERE DE L’EDUCATION NATIONALE TOUT AUTANT QU’A L’ECOLE PUBLIQUE

Davantage : c’est l’école française en son ensemble, et donc son propre Ministère au premier chef, dont le travail des ministres qui l’ont précédée à ce poste, qu’elle a ainsi inconsidérément – stupidement, oserais-je dire, plus encore que maladroitement – dénigrés................

 

Donc le collège Stanislas est épinglé et ça tombe sur le bureau de cette ministre qui y scolarise ses 3 enfants

1 500 000 euros de subvention de la ville de paris ...

Stanislas a 21 laboratoires, 7 gymnases , 2 piscines , etc etc ..

Des moyens que jamais les écoles publiques n auront

Et ça date pas d aujourd'hui ...

Je me souviens ds ma ville de naissance ..
L établissement privé de la ville avait eu des subventions faramineuses pour construire sa salle de sport .
Ils avaient dit que cette salle servira aussi au collège public

Bien sûr que jamais aucun des collégiens du public ( situé juste à côté) n a eu accès à cette salle

Nous on allait doit au stade a 10 minutes de marche , soit une salle a 20 minutes de marche ( donc bcp de sport en moins , et bien souvent sous la pluie lol )
 
Pour ici ... Une seule piscine communale pour une trentaine d écoles ( de la ville et toutes les villes environnantes....)
Autant dire que la majorité des gamins ds leur scolarité n iront pas à la piscine ou très peu.
 

Drianke

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Famille de crapules!!!

Oudéa-Castéra : son mari PDG de la Société Générale a menti pour protéger l’évasion fiscale​

En 2016, la Société Générale était largement citée dans le scandale des Panama Papers. Pourtant, son PDG, Frédéric Oudéa, avait juré dans une audition au Sénat en 2012 que la banque n’avait plus d’activité dans les paradis fiscaux. Depuis sa femme est devenue ministre de l'Education et poursuit la culture du mensonge...

Amélie Oudéa-Castéra, ministre des Sports et désormais de l’Education Nationale, fait tâche depuis le remaniement de Macron. Son mensonge sur la raison du placement de ses enfants dans un lycée privé catholique intégriste fait enfler la polémique. Depuis, tout le monde s’intéresse à la ministre et à son entourage. Elle est en famille avec tous les éditocrates de ce pays : Alain Duhamel, Nathalie Saint-Cricq, Benjamin Duhamel. Mais elle est également mariée à Frédéric Oudéa, actuel président de Sanofi et ancien PDG de la Société Générale.

En 2016, celui-ci s’était fait épingler dans le cadre des Panama Papers, ce scandale financier qui avait révélé l’existence de plus de 200.000 sociétés offshore domiciliées au Panama. De nombreux chefs d’Etat du monde entier (Russie, Chine, Syrie, Qatar, France, Royaume-Uni etc.) et leurs familles pratiquaient ainsi du blanchiment d’argent et de la fraude fiscale. En France, du PS au FN tout le monde est concerné ainsi que des grands patrons comme Patrick Drahi (Libération, SFR). La Société Générale était particulièrement visée puisqu’elle contrôlait, par sa filiale luxembourgeoise, plus de 200 sociétés offshore pour le compte de ses clients au Panama en 2012. Au final, les Panama Papers révèlent la création de près de 1000 sociétés offshore panaméennes par la Société Générale entre 1977 et 2015.

Problème, en avril 2012, Frédéric Oudéa, déjà PDG de la Société Générale était auditionné par une commission au Sénat. Les yeux dans les yeux et la main sur le cœur, le mari de la future ministre de l’Education affirmait alors que la Société Générale n’avait plus d’activités au Panama : « La Société générale a fermé ses implantations dans les pays qui figuraient sur cette liste grise, mais aussi dans ceux que désignait la liste des États non coopératifs, c’est-à-dire en pratique, pour nous, à Panama. Toutefois, nous avons été au-delà et avons décidé de fermer également nos implantations dans les Etats qui ont été qualifiés de centres financiers offshore, c’est-à-dire pour nous, les Philippines et Brunei. Dans ces deux pays, nous n’exerçons plus d’activité et attendons maintenant l’autorisation du régulateur local pour entériner ces fermetures. »

Panique à bord à la Société Générale. Frédéric Oudéa est de nouveau convoqué devant le Sénat en mai 2016, où il maintient sa version : « Laisser penser que le groupe Société générale serait au cœur de l’évasion fiscale est une information erronée et injustifiée ». Pendant ce temps, en coulisse la banque fait le ménage en urgence, après avoir été perquisitionnée en avril 2016 lors de la publication des fichiers. Les enquêteurs du fisc ne semblaient pas penser qu’il était « erroné » de penser que la Société Générale était au cœur d’un trafic d’évasion fiscale.

Plusieurs associations et élus ont alors appelé à ce que Frédéric Oudéa soit condamné pour parjure devant le Sénat, une peine passible de 5 ans d’emprisonnement et de 75.000 euros d’amende. Par chance, le bureau du Sénat estimait le 26 mai 2016, « qu’il n’y avait pas lieu de saisir la justice » estimant les propos de Frédéric Oudéa comportait seulement « une part d’ambiguïtés » sans être « susceptibles d’être qualifiés de faux témoignages ».................

 
Famille de crapules!!!

Oudéa-Castéra : son mari PDG de la Société Générale a menti pour protéger l’évasion fiscale​

En 2016, la Société Générale était largement citée dans le scandale des Panama Papers. Pourtant, son PDG, Frédéric Oudéa, avait juré dans une audition au Sénat en 2012 que la banque n’avait plus d’activité dans les paradis fiscaux. Depuis sa femme est devenue ministre de l'Education et poursuit la culture du mensonge...

Amélie Oudéa-Castéra, ministre des Sports et désormais de l’Education Nationale, fait tâche depuis le remaniement de Macron. Son mensonge sur la raison du placement de ses enfants dans un lycée privé catholique intégriste fait enfler la polémique. Depuis, tout le monde s’intéresse à la ministre et à son entourage. Elle est en famille avec tous les éditocrates de ce pays : Alain Duhamel, Nathalie Saint-Cricq, Benjamin Duhamel. Mais elle est également mariée à Frédéric Oudéa, actuel président de Sanofi et ancien PDG de la Société Générale.

En 2016, celui-ci s’était fait épingler dans le cadre des Panama Papers, ce scandale financier qui avait révélé l’existence de plus de 200.000 sociétés offshore domiciliées au Panama. De nombreux chefs d’Etat du monde entier (Russie, Chine, Syrie, Qatar, France, Royaume-Uni etc.) et leurs familles pratiquaient ainsi du blanchiment d’argent et de la fraude fiscale. En France, du PS au FN tout le monde est concerné ainsi que des grands patrons comme Patrick Drahi (Libération, SFR). La Société Générale était particulièrement visée puisqu’elle contrôlait, par sa filiale luxembourgeoise, plus de 200 sociétés offshore pour le compte de ses clients au Panama en 2012. Au final, les Panama Papers révèlent la création de près de 1000 sociétés offshore panaméennes par la Société Générale entre 1977 et 2015.

Problème, en avril 2012, Frédéric Oudéa, déjà PDG de la Société Générale était auditionné par une commission au Sénat. Les yeux dans les yeux et la main sur le cœur, le mari de la future ministre de l’Education affirmait alors que la Société Générale n’avait plus d’activités au Panama : « La Société générale a fermé ses implantations dans les pays qui figuraient sur cette liste grise, mais aussi dans ceux que désignait la liste des États non coopératifs, c’est-à-dire en pratique, pour nous, à Panama. Toutefois, nous avons été au-delà et avons décidé de fermer également nos implantations dans les Etats qui ont été qualifiés de centres financiers offshore, c’est-à-dire pour nous, les Philippines et Brunei. Dans ces deux pays, nous n’exerçons plus d’activité et attendons maintenant l’autorisation du régulateur local pour entériner ces fermetures. »

Panique à bord à la Société Générale. Frédéric Oudéa est de nouveau convoqué devant le Sénat en mai 2016, où il maintient sa version : « Laisser penser que le groupe Société générale serait au cœur de l’évasion fiscale est une information erronée et injustifiée ». Pendant ce temps, en coulisse la banque fait le ménage en urgence, après avoir été perquisitionnée en avril 2016 lors de la publication des fichiers. Les enquêteurs du fisc ne semblaient pas penser qu’il était « erroné » de penser que la Société Générale était au cœur d’un trafic d’évasion fiscale.

Plusieurs associations et élus ont alors appelé à ce que Frédéric Oudéa soit condamné pour parjure devant le Sénat, une peine passible de 5 ans d’emprisonnement et de 75.000 euros d’amende. Par chance, le bureau du Sénat estimait le 26 mai 2016, « qu’il n’y avait pas lieu de saisir la justice » estimant les propos de Frédéric Oudéa comportait seulement « une part d’ambiguïtés » sans être « susceptibles d’être qualifiés de faux témoignages ».................



Elle a déclaré aussi une maison a paris 6eme : 960 000 euros pour 469 m carré...
Soit environ 2000 euros le mètre carré .... À Paris..

Et ça interroge personne ?
 
Mais je la connais elle ... enfin je sais qui c est :D et je comprends péniblement :D la fille elle gagne l orange Bowl puis demi-finaliste à l us open roland garros et Wimbledon junior elle fait science po epouse un polytechnicien accessoirement pdg de la société générale et devient ministre ... c est si facile que ça la vie :D ?!?!

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Drianke

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Amélie Oudéa-Castéra : la ministre épinglée dans un rapport parlementaire pour son salaire lorsqu’elle était à la Fédération française de tennis​


C’est une nouvelle polémique qui s’ajoute à l’entrée d’Amélie Oudéa-Castéra au gouvernement de Gabriel Attal. La ministre de l’Éducation nationale et des Sports est épinglée dans un rapport publié par Le Monde, sur le salaire mirobolant qu'elle percevait lorsqu'elle était directrice de la Fédération française de tennis.

Déjà enlisée dans une polémique concernant l’école privée catholique Stanislas où sont scolarisés ses enfants, Amélie Oudéa-Castéra persiste et signe, malgré elle. La ministre de l’Éducation nationale et des Sports est en effet épinglée dans un rapport parlementaire, révélé par Le Monde et dont la parution est prévue mardi 23 janvier. Ce rapport a pour objectif de pointer les défaillances dans les fédérations sportives, dont celle de tennis (FFT) où la ministre était directrice générale de mars 2021 à mai 2022.

Il lui est notamment reproché son salaire quand elle était à ce poste. Elle gagnait alors 500 000 euros annuels, soit 86 000 euros de plus que son prédécesseur, Jean-François Vilotte (413 325 euros annuels bruts), détaille Le Monde. Et en février 2022, rappelle la présidente de la commission parlementaire du rapport, "l’Inspection générale [de l’éducation, du sport et de la recherche] avait appelé à reconsidérer le niveau de rémunération des dix principaux cadres de la FFT". L’Inspection générale était estomaquée par le salaire "considérable" d’Amélie Oudéa-Castéra.

Des "carences" de la ministre soulignés dans le rapport.................

 
Il serait peut-être temps de penser à démissionner maintenant, ça commence à faire beaucoup.
Dans tous les cas ça va être la tête à claque maintenant, le maillon faible du gouvernement.

Dernière info , elle mettrait ses enfants ds des classes non mixtes

Et en tant que ministre elle devra dire que la non mixité est contraire aux valeurs républicaines , à l égalité hommes/femmes etc ..

hypocrisie c est sans fin.
 

Drianke

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Le recteur de Paris claque la porte et présente sa démission à Amélie Oudéa-Castéra​


Christophe Kerrero souhaitait la fermeture de quatre classes préparatoires parisiennes. Une décision invalidée par la ministre de l’Éducation Nationale.


«Je quitte aujourd'hui mes fonctions de recteur de l'académie de Paris, quand l'école est en proie au doute et que la situation exige pourtant une mobilisation de chacun des acteurs», explique Christophe Kerrero dans une lettre adressée 2 février à la ministre Amélie Oudéa-Castéra, que Le Figaro s'est procurée........

 
Qui peut encore penser qu'elle peut défendre l'école publique, la possibilité que chaque enfant puisse avoir une chance de réussir par le biais de l'école quand elle a passé sa vie, tout comme sa famille, à se battre pour maintenir ses privilèges et à défendre la caste des élites.
Hormis son réseau, sa famille, sa puissance financière, qu'est ce qui justifie qu'elle soit ministre de l'éducation ? Sa connaissance du terrain ? Ses compétences ?
 
Qui peut encore penser qu'elle peut défendre l'école publique, la possibilité que chaque enfant puisse avoir une chance de réussir par le biais de l'école quand elle a passé sa vie, tout comme sa famille, à se battre pour maintenir ses privilèges et à défendre la caste des élites.
Hormis son réseau, sa famille, sa puissance financière, qu'est ce qui justifie qu'elle soit ministre de l'éducation ? Sa connaissance du terrain ? Ses compétences ?

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Même qd elle se force , ça se voit .
 

Drianke

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Nicole Belloubet à l’éducation nationale en remplacement d’Amélie Oudéa-Castéra, qui reste aux sports… Revivez les dernières nominations au gouvernement Attal​

Sur France 2, le premier ministre a assumé d’avoir pris « un peu de temps » pour compléter son gouvernement, finalement composé de trente-cinq membres. La plus grande annonce du soir est le remplacement à l’éducation d’Amélie Oudéa-Castéra. Le premier ministre a reconnu « un trouble, un malaise » lors de son passage rue de Grenelle...........

 
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