Chez les désislamisés les gens loin du dine ou encore les ghafiloune, regarder un film est un fondement de leurs vie, piégé par le système qui les éduque et les dresse à travers le cinéma, qui devient une référence culturelle fondamentale, offrant des modèles de raisonnements, de réactions et de vision du monde.
Scarface est sans doute l'un des film ayant le plus marqué ce que l'élite de ce pays et ses pro de la com nomme "l'hyper urbain", en gros c'est toi et ce que tu représente.
Pour analyser et déconstruire il faut évidement partir de ses créateurs et du contexte dans lequel le film fut réalisé : De Palma pour la réalisation, Stone pour le scénar et Universal pour la production, le film fut fabriqué durant les années Reagan.
Universal appartenant comme la majeure partie des industries du cinoche américain a des iSSraeliens, le film ne sera pas subversif pour l'ordre établi mais l'italien de Palma y injectera une critique de l'idéologie dominante aux USA très très soft (notamment durant la scène du resto mais en réalité tout au long du film) qui donnera à son œuvre bidon une certaine dimension politique.
Le film est très violent et vulgaire, il participe comme les autres à la banalisation de ce qu'il y a de plus répugnant et comme les autres production hollywoodienne, il détruit ce qu'il y a de plus sain en nous et ce à travers l'histoire d'un anti héro (parmi les premiers) un mafieux "latino" qui vit de la drogue pour arriver à réaliser l'objectif de la vie que propose le libéralisme : Devenir riche!
De Palma présente un personnage christique (De Palma a grandi dans un milieu catho) qui contrairement a ceux crées par des réalisateurs iSSraeliens, crève à la fin du film de manière dramatique, tout au long de son histoire, le réalisateur diffusera tout ce qu'il pense du communisme, du libéralisme, des relations à la mère, soeur et épouse, il utilisera la figure du cubain pour mieux mettre en relief à travers les contrastes produit face à la société US ultra libéral ce que cette dernière est devenu et cela rend paradoxalement son personnage au départ négatif pas si négatif que cela, le spectateur fini par s'identifier à Al Pacino.
Cela est encore plus vrai quand le spectateur est aussi un immigré, un type à qui il reste des traces de valeurs traditionnelles et qui vit dans un environnement ultra agressif ou tu es réellement une sorte d'insecte si tu n'as pas de fric.
Résultat, Scarface fait un carton chez les fragiles de l'immigration et 30 ans plus tard c'est toujours la réf supreme du rap game et de la "kultur urbaine" française en générale qui domine les cerveaux des plus débiles (dans le vrai sens du terme). Toni Montana est devenu un modèle, qui justifie sa vision immonde de la vie par la nature du système. Cela a deux avantage pour ce dernier : Aucune contestation possible et l'adoption de ses valeurs abjectes à travers un personnage qui les incarne totalement. Le personnage de Toni n'est pas un antisystème, c'est un de ses soumis, c'est juste un bourgeois qui en choisissant de prendre sa part de la rapine a totalement raté son projet en se faisant écrasé par plus puissant!
Scarface est sans doute l'un des film ayant le plus marqué ce que l'élite de ce pays et ses pro de la com nomme "l'hyper urbain", en gros c'est toi et ce que tu représente.
Pour analyser et déconstruire il faut évidement partir de ses créateurs et du contexte dans lequel le film fut réalisé : De Palma pour la réalisation, Stone pour le scénar et Universal pour la production, le film fut fabriqué durant les années Reagan.
Universal appartenant comme la majeure partie des industries du cinoche américain a des iSSraeliens, le film ne sera pas subversif pour l'ordre établi mais l'italien de Palma y injectera une critique de l'idéologie dominante aux USA très très soft (notamment durant la scène du resto mais en réalité tout au long du film) qui donnera à son œuvre bidon une certaine dimension politique.
Le film est très violent et vulgaire, il participe comme les autres à la banalisation de ce qu'il y a de plus répugnant et comme les autres production hollywoodienne, il détruit ce qu'il y a de plus sain en nous et ce à travers l'histoire d'un anti héro (parmi les premiers) un mafieux "latino" qui vit de la drogue pour arriver à réaliser l'objectif de la vie que propose le libéralisme : Devenir riche!
De Palma présente un personnage christique (De Palma a grandi dans un milieu catho) qui contrairement a ceux crées par des réalisateurs iSSraeliens, crève à la fin du film de manière dramatique, tout au long de son histoire, le réalisateur diffusera tout ce qu'il pense du communisme, du libéralisme, des relations à la mère, soeur et épouse, il utilisera la figure du cubain pour mieux mettre en relief à travers les contrastes produit face à la société US ultra libéral ce que cette dernière est devenu et cela rend paradoxalement son personnage au départ négatif pas si négatif que cela, le spectateur fini par s'identifier à Al Pacino.
Cela est encore plus vrai quand le spectateur est aussi un immigré, un type à qui il reste des traces de valeurs traditionnelles et qui vit dans un environnement ultra agressif ou tu es réellement une sorte d'insecte si tu n'as pas de fric.
Résultat, Scarface fait un carton chez les fragiles de l'immigration et 30 ans plus tard c'est toujours la réf supreme du rap game et de la "kultur urbaine" française en générale qui domine les cerveaux des plus débiles (dans le vrai sens du terme). Toni Montana est devenu un modèle, qui justifie sa vision immonde de la vie par la nature du système. Cela a deux avantage pour ce dernier : Aucune contestation possible et l'adoption de ses valeurs abjectes à travers un personnage qui les incarne totalement. Le personnage de Toni n'est pas un antisystème, c'est un de ses soumis, c'est juste un bourgeois qui en choisissant de prendre sa part de la rapine a totalement raté son projet en se faisant écrasé par plus puissant!