Angela Merkel admet que les accords de Minsk n’ont été signés que pour donner du temps à l’Ukraine

Six mois après la déclaration de l’ancien président ukrainien Petro Porochenko, qui a dit lors d’une interview qu’il n’avait jamais été question d’appliquer les accords de Minsk, et qu’ils n’étaient qu’un moyen pour l’Ukraine de gagner du temps, l’ancienne chancelière allemande, Angela Merkel, vient de dire la même chose dans une interview au Zeit, finissant ainsi de jeter le peu de crédibilité des pays occidentaux à la poubelle.
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Article de la journaliste Christelle Néant.

En juin 2022, lors d’une interview accordée à plusieurs médias occidentaux, dont le Deutsche Welle, l’ancien président ukrainien Petro Porochenko, a admis publiquement qu’il n’avait jamais été question d’appliquer les accords de Minsk, et que ces derniers avaient juste eu pour but de donner du temps à l’Ukraine.

« Nous avons obtenu ce que nous voulions. Nous ne croyions pas Poutine, tout comme nous ne le croyons pas maintenant. Notre tâche était, tout d’abord, d’écarter la menace, ou au moins de retarder la guerre. Nous nous sommes donné huit ans pour rétablir la croissance économique et renforcer la puissance des forces armées. C’était la première tâche – et elle a été accomplie […]. Malgré le fait que la guerre ait duré huit ans – en ce qui concerne une opération militaire de grande envergure, je pense que les accords de Minsk ont rempli leur rôle », a déclaré Petro Porochenko.

Cette déclaration n’est pas la première de Petro Porochenko concernant le fait que les accords de Minsk n’étaient qu’un moyen pour l’Ukraine de gagner du temps, et elle n’a donc pas particulièrement attiré l’attention de ceux qui savent depuis longtemps que Kiev n’avait aucunement l’intention d’appliquer ces accords.

Mais là où cela devient choquant, c’est lorsque l’ancienne chancelière allemande, Angela Merkel, dit exactement la même chose, le 7 décembre 2022, dans une interview accordée au Zeit (accessible en totalité ici).

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Traduction :

« J’ai considéré que la discussion de 2008 sur l’adhésion de l’Ukraine et de la Géorgie à l’OTAN était une erreur. Ces pays n’avaient pas les conditions nécessaires pour cela, et les conséquences d’une telle décision n’avaient pas été envisagées jusqu’au bout, tant en ce qui concerne les actions de la Russie contre la Géorgie et l’Ukraine que pour l’OTAN et ses règles d’assistance. Et les accords de Minsk de 2014 étaient une tentative de donner du temps à l’Ukraine. »


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Traduction :

« Nous savions tous qu’il s’agissait d’un conflit gelé, que le problème n’était pas résolu, mais c’est précisément ce qui a donné à l’Ukraine un temps précieux. »

Je rappelle quand même que l’Allemagne était garante des accords de Minsk, et surtout de leur mise en œuvre par l’Ukraine ! En clair dès le départ Angela Merkel, et donc aussi François Hollande et Emmanuel Macron, savaient pertinemment que non seulement l’Ukraine n’appliquerait pas les accords de Minsk, mais qu’en prime, cela laisserait juste le temps à Kiev de se préparer pour une résolution du conflit par la force ! D’ailleurs la conversation téléphonique entre Vladimir Poutine et Emmanuel Macron qui a eu lieu quatre jours avant le lancement de l’opération militaire spéciale russe, et qui a été divulguée par le président français, montrait clairement que ce dernier savait que l’Ukraine allait attaquer, puisqu’il demandait au Président russe de ne pas réagir aux provocations ukrainiennes (en clair de ne pas intervenir pour défendre le Donbass).

Quand on a cette information en mains, et qu’on se remémore les litanies sans fin de la France et de l’Allemagne se plaignant que la Russie (garante comme elles et non partie au conflit) n’appliquait pas les accords de Minsk, on se dit que le niveau d’hypocrisie des autorités allemandes et françaises est littéralement cosmique !

Les autorités russes ont bien sûr vivement réagi à la déclaration de Angela Merkel, à commencer par Maria Zakharova, la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, qui a déclaré que cette interview donnait la preuve à la Russie de ce qu’elle disait depuis des années sur le manque de volonté des Occidentaux de pousser l’Ukraine à appliquer les accords de Minsk. Et surtout le but de ces accords était de servir de diversion pendant que les pays de l’OTAN gavaient l’Ukraine d’armes pour relancer ensuite le conflit.

« Dans cette révélation, l’essentiel était que, du point de vue de l’Occident, tout cela n’était qu’affabulations, flirtant avec l’utilisation du droit international dans le seul but de gaver le régime de Kiev d’armes. Il s’agissait de « détourner » les yeux de la communauté internationale des événements réels sur le territoire de l’Ukraine, cette catastrophe humanitaire, ces tueries sans fin, qui ont fait plus de 13 000 victimes de tous côtés avant 2022. Cela n’avait qu’un seul but : gaver le régime de Kiev d’armes et le préparer politiquement à lancer les hostilités que nous avons vues au début de 2022, lorsque le régime de Kiev a commencé à lancer des frappes meurtrières contre le Donbass. Cela ne laissait aucune place à une autre action que celle entreprise par la fédération de Russie : reconnaître d’abord ces territoires comme souverains, puis les accepter comme faisant partie de la Fédération de Russie pour pouvoir les défendre réellement, pour sauver leurs vies », a déclaré Maria Zakharova.

Mais surtout pour la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, la déclaration de Angela Merkel prouve que l’Occident ne recule devant aucun mensonge, et s’assoit sur le droit international quand ça l’arrange, peut importe les conséquences pour les civils innocents.

« Cette confession de l’ancienne chancelière allemande A. Merkel semble terrible : faux (comme méthode d’action de l’Occident), machinations, manipulations, toutes sortes de distorsions de la vérité du droit et de la loi que l’on ne peut qu’imaginer. Ils savaient déjà à l’époque, en 2015, alors qu’ils menaient des pourparlers de plusieurs heures, qu’ils ne le mettraient jamais en œuvre et qu’ils fourniraient des armes au régime de Kiev. Ils n’avaient aucune pitié pour qui que ce soit : les femmes, les enfants, les civils du Donbass, et même l’Ukraine dans son ensemble. Ils avaient besoin d’un conflit. Ils étaient prêts à le faire dès 2015 », a-t-elle ajouté.
 
Dernière édition:
Puis, c’est le Président de la fédération de Russie, Vladimir Poutine, qui a commenté la déclaration de l’ancienne chancelière allemande, en déclarant que les propos d’Angela Merkel l’ont non seulement surpris, mais déçu.

« Pour être honnête, cela a été une surprise totale pour moi. C’est décevant. Franchement, je ne m’attendais pas à entendre cela de la part de l’ancienne chancelière fédérale, car j’ai toujours supposé que les dirigeants de la République fédérale [d’Allemagne] se comportaient sincèrement avec nous. Oui, ils étaient bien sûr du côté de l’Ukraine, ils soutenaient l’Ukraine, mais je pensais toujours que les dirigeants de la République fédérale avaient toujours sincèrement cherché un règlement sur les principes dont nous avions convenu et auxquels nous étions parvenus, y compris dans le cadre du processus de Minsk », a-t-il déclaré en guise d’introduction.

Il a ensuite souligné que les propos de Angela Merkel ne font que prouver que Moscou avait pris la bonne décision en lançant l’opération spéciale, puisque l’ancienne chancelière allemande dit clairement que le but de l’Ukraine était bien de reprendre les hostilités et de régler le conflit du Donbass par les armes, et donc, dans le sang.

« Ce qui a été dit maintenant prouve seulement que nous avons fait le bon choix en lançant l’opération militaire spéciale. Pourquoi ? Parce qu’il s’avère que personne n’allait mettre en œuvre les accords de Minsk. Les dirigeants ukrainiens, selon les mots de l’ancien président Porochenko, qui l’a également dit : il les a signés, mais il n’allait pas les mettre en œuvre. Mais j’espérais encore que les autres participants à ce processus étaient sincères avec nous. Il s’avère qu’ils nous trompaient aussi. Il s’agissait uniquement d’arroser l’Ukraine d’armes et de la préparer à une action militaire », a ajouté le Président russe.

Vladimir Poutine a ensuite déclaré qu’au vu de la déclaration de Angela Merkel, la Russie aurait peut-être dû intervenir plus tôt. Mais ce que n’a pas compris Angela Merkel en faisant cette déclaration tonitruante, c’est qu’elle vient définitivement de saper toute confiance que la Russie aurait pu placer dans les gouvernements des pays occidentaux, ce qui veut dire des problèmes à venir en matière de diplomatie.

Il semble que Angela Merkel n’a pas tiré les leçons du désastre diplomatique qu’a été la divulgation de la conversation téléphonique entre Vladimir Poutine et Emmanuel Macron par ce dernier. Je rappelle que depuis, le Président russe ne s’est plus entretenu avec son homologue français.

La déclaration de Angela Merkel concernant les accords de Minsk a non seulement privé Kiev d’une porte de sortie diplomatique concernant le conflit en cours (puisque pour reprendre les termes de Vladimir Poutine la question de pose de savoir « s’il y a quelqu’un avec qui négocier »), offert une preuve de la légitimité de l’intervention russe dans le Donbass (en jetant à la poubelle le narratif occidental de la pauvre Ukraine qui voulait la paix), mais en prime, elle vient de torpiller pour de bon les relations entre la Russie et l’Allemagne.

À ce stade, quand je vois les conséquences désastreuses de la déclaration de l’ancienne chancelière allemande, j’hésite entre une démence précoce ou un goût prononcé pour le masochisme. Quelle que soit l’option, ce sont les populations d’Ukraine, de Russie (surtout du Donbass) et de l’Union Européenne qui payent et vont payer les conséquences de la décision de la France et de l’Allemagne d’opter pour des accords de Minsk bidons, l’hypocrisie totale, et le chemin de la guerre, plutôt que celui de la paix.
 
Pour être honnête, cela a été une surprise totale pour moi. C’est décevant. Franchement, je ne m’attendais pas à entendre cela de la part de l’ancienne chancelière

bizarrement, je ne le crois pas une seconde

quand on voit la préparation des Russes à la guerre et aux sanctions

bon après , il fallait pas avoir fait Saint-Cyr pour voir que la France et l Allemagne n'avaient rien à cirer des accords de Minsk quand ils regardaient ailleurs pendant les bombardements ukrainiens sur les civils du Donbass

je crois qu'on va ***** du caramel même sans être diabétique dans quelques mois
 
Pour être honnête, cela a été une surprise totale pour moi. C’est décevant. Franchement, je ne m’attendais pas à entendre cela de la part de l’ancienne chancelière

bizarrement, je ne le crois pas une seconde

quand on voit la préparation des Russes à la guerre et aux sanctions

bon après , il fallait pas avoir fait Saint-Cyr pour voir que la France et l Allemagne n'avaient rien à cirer des accords de Minsk quand ils regardaient ailleurs pendant les bombardements ukrainiens sur les civils du Donbass

je crois qu'on va ***** du caramel même sans être diabétique dans quelques mois
Réponse du berger à la bergère, Poutine a bien saisi le message : il n’accordera plus aucun crédit aux mots des occidentaux et ne pas un pas vers la paix sans avoir désarmé et dénazifié l’Ukraine dévoyée et mené à son terme le plan de multipolarisation du monde, autrement dit la fin de l’Hégémon.


 
les Occidentaux se foutent des traités qu'ils ont signés (voir traité avec l'Iran déchiré par Trump) ou pour lesquels ils se sont portés garants (Accords de Minsk)... mais à part ça tout va bien, le méchant c'est Poutine 😡
En attendant beaucoup de civils morts et de jeunes militaires russes ou ukrainiens, quelle honte!!
 
Depuis les « révélations » de Merkel, je pense que les russes ont intérêt à se méfier de toute « négociation » avec « hommes blancs langue fourchue ».

Ils ne doivent plus négocier mais imposer et, pour cela, être en position de force absolue. Toute concession, même minime, sera considérée par le BAO comme aveu de faiblesse et exploitée au maximum.
 

Bjorn

Мир без Путина، زندگی، آزادی Слава Україні
Bladinaute averti
Lorsque la Russie a annexé la Crimée ukrainienne en 2014, l'Occident a réagi d'une seule voix. Entre autre, les pays de l'OTAN se sont engagés à augmenter leurs dépenses militaires.
Mais l'Allemagne n'a jamais atteint l'objectif de 2% - la chancelière Merkel de l'époque s'en accuse maintenant.

L'ancienne chancelière Angela Merkel s'accuse de ne pas avoir agi assez fort pour que la Bundeswehr soit mieux équipée après 2014.
La Russie a été exclue du G8 après l'annexion de la péninsule ukrainienne de Crimée, et l'OTAN a des troupes stationnées dans les États baltes, a déclaré Merkel dans une interview à "Zeit" elle a conclu en avouant :
"Mais nous aussi, nous aurions dû réagir plus rapidement à l'agressivité de la Russie."
 
Lorsque la Russie a annexé la Crimée ukrainienne en 2014, l'Occident a réagi d'une seule voix. Entre autre, les pays de l'OTAN se sont engagés à augmenter leurs dépenses militaires.
Mais l'Allemagne n'a jamais atteint l'objectif de 2% - la chancelière Merkel de l'époque s'en accuse maintenant.

L'ancienne chancelière Angela Merkel s'accuse de ne pas avoir agi assez fort pour que la Bundeswehr soit mieux équipée après 2014.
La Russie a été exclue du G8 après l'annexion de la péninsule ukrainienne de Crimée, et l'OTAN a des troupes stationnées dans les États baltes, a déclaré Merkel dans une interview à "Zeit" elle a conclu en avouant :
"Mais nous aussi, nous aurions dû réagir plus rapidement à l'agressivité de la Russie."

 
les Occidentaux se foutent des traités qu'ils ont signés (voir traité avec l'Iran déchiré par Trump) ou pour lesquels ils se sont portés garants (Accords de Minsk)... mais à part ça tout va bien, le méchant c'est Poutine 😡
En attendant beaucoup de civils morts et de jeunes militaires russes ou ukrainiens, quelle honte!!
Pareils pour les russes, qui reconnaissaient l'intégrité territoriale de l'Ukraine et qui avait offert la Crimée a cette dernière :)
 

zigotino

FluCtuAt NeC MeRgitUr
VIB
Angela Merkel s'est mis dans les mains de la Russie avec Schroeder
Elle a joué solo avec la crise syrienne pour son industrie.
Elle a joué solo avec la fin du nucléaire en misant sur le gaz russe abondant et peu cher (2 centrales restent ouvertes)
Elle a imposé son orthodoxie budgétaire avec les autres pays frugaux (Pays Bas, Scandinavie) parce qu'ils ne mangent que des sandwichs porc, club sandwich et bière
Elle a imposé la fermeture de Fessenheim (Alsace)
Elle a continué les centrales thermiques à charbon lignites qui explosent tous les records de pollution et d'émission de gaz à effet de serre
Elle a laissé les Américains l'espionner

Et maintenant, l'Allemagne est en inflation et récession et morfle alors que l'on rentre doucement dans le froid hivernal. La France exportant 10% de son gaz vers l'Allemagne qui compense les tensions sur le réseau électrique français.

Mais à part cela, c'est la femme qui a la plus belle cote de popularité. Sans doute parce qu'elle était, jeune, adepte du naturisme que certains Allemands chérissent
 
Je ne pense pas que les allemands ( ni les français) aient réellement cru que la Russie franchirais l'escalade militaire.
Les allemands étaient vraisemblablement intéressé par l'espace économique est de l'Europe Russie comprise. Le deal était simple : importer de l'énergie et des matières premières, exporter des machines etc...
L'Allemagne se voyait bien le centre prospère d'une Europe de l'Atlantique à la Sibérie. Historiquement ( même si il y a beaucoup de conflits), les germaniques et les slaves sont très imbriqués.
Les allemands ne se sentaient plus menacés ( pour preuve l'état de leur armée) et étaient persuadé que l'Europe économique et libérale était à leur avantage et surtout de nature à renvoyer les conflits armés au passé.

Les français sont plus atlantistes mais ont toujours été fasciné par la Russie qu'ils considèrent pleinement européenne. Macron avait fait une invitation digne de Louis XIV accueillant le Tsar de Russie à Versailles au début de son premier mandat.
Tout comme les allemands ils ne croyaient pas à l'intervention militaire russe, comme le prouve les réticences de l'époque concernant le couac des services secrets.
Les anglais et les américains communiquaient sur une invasion imminente là où français et allemands restaient sur un gros coup de bluff et de menaces russes.

Ca peut se comprendre cela dit quand on observe le coût de cette guerre pour les russes qui peut importe le résultat restera cher payé.
Personnellement je reste convaincu que Poutine avait espéré une guerre courte, la prise de Kiev en 3 jours, l'effondrement de l'armée ukrainienne et le renversement du gouvernement pour un pro-russe, tout cela par une démonstration de force le 24 février ( missile avions blindés en masse).
Mais ça n'a pas fonctionné, et aujourd'hui se pose la question de jusqu'où aller pour en sortir avec un avantage et la tête haute.

Il me parait évident aussi que plus on attendait et plus ça serait difficile pour la Russie, car en 2014 l'armée ukrainienne avait bien compris quelle ne pouvait contenir la Russie en l'état et qu'il fallait s'armer.
Cependant les occidentaux étaient réticents car l'Ukraine n'était pas non plus un gage de confiance ( le système politique étant similaire à celui de la Russie mais sans un Poutine fort).

L'observation d'aujourd'hui c'est "quelle folie" que cette guerre.
Elle va en tout cas clairement rebattre les cartes de la planète
 
L’Opération russe en Ukraine n’est NI une « invasion », ni une « agression » ! Sinon, au lieu d’épargner les civils ukrainiens comme elle l’a fait, l’armée russe aurait bombardé tout azimut et à l’heure qu’il est, l’Ukraine serait réduite à un tas de décombres, comme l’ont été l’Irak, comme l’ont été la Yougoslavie et la Libye, par les bons « soins » des bombardements des USA, lors de leurs GUERRES d’AGRESSION !

– L’Opération militaire spéciale russe en Ukraine, n’est que la mise en application de la résolution 2202 du Conseil de sécurité, du 17 février 2015, (du fait que la France et l’Allemagne n’ont pas tenu leurs engagements lors de l’accord de Minsk2, et Merkel vient d’avouer les VRAIES raisons sous-jacentes à la cosignature de l’Allemagne et de la France !
– L’Opération militaire spéciale russe en Ukraine est par conséquent LEGITIME et LEGALE du point de vue du Droit International, puisqu’elle s’inscrit dans le cadre de l’Article 51 de la Charte de l’ONU.
– Par ailleurs, j’en profite pour souligner et dénoncer l’évidente corruption du secrétaire général de l’ONU Gutierrez qui est aux ordres des USA, car en toute logique, il aurait dû rappeler à l’ordre les membres du Conseil, afin qu’ils ne condamnent pas l’Opération russe dont ils avaient accepté le principe sept ans plus tôt, mais qu’ils en fixent les modalités, or il ne l’a pas fait.
Au contraire, Gutierrez, -Secrétaire général de l’ONU-, est sorti de son rôle et pris parti pour le système unipolaire, en donnant instruction orale à tous ses hauts fonctionnaires sur des théâtres de guerre de ne plus rencontrer de diplomates russes.
Ce n’est pas la première fois que le Secrétariat général contrevenait aux statuts des Nations unies, je pourrai citer également ce qu’il avait fait au sujet de la Syrie, mais ceci est un autre sujet. Le fait est que le Secrétariat de l’ONU est une annexe du département d’Etat US.
 
Je ne pense pas que les allemands ( ni les français) aient réellement cru que la Russie franchirais l'escalade militaire.
Les allemands étaient vraisemblablement intéressé par l'espace économique est de l'Europe Russie comprise. Le deal était simple : importer de l'énergie et des matières premières, exporter des machines etc...
L'Allemagne se voyait bien le centre prospère d'une Europe de l'Atlantique à la Sibérie. Historiquement ( même si il y a beaucoup de conflits), les germaniques et les slaves sont très imbriqués.
Les allemands ne se sentaient plus menacés ( pour preuve l'état de leur armée) et étaient persuadé que l'Europe économique et libérale était à leur avantage et surtout de nature à renvoyer les conflits armés au passé.

Les français sont plus atlantistes mais ont toujours été fasciné par la Russie qu'ils considèrent pleinement européenne. Macron avait fait une invitation digne de Louis XIV accueillant le Tsar de Russie à Versailles au début de son premier mandat.
Tout comme les allemands ils ne croyaient pas à l'intervention militaire russe, comme le prouve les réticences de l'époque concernant le couac des services secrets.
Les anglais et les américains communiquaient sur une invasion imminente là où français et allemands restaient sur un gros coup de bluff et de menaces russes.

Ca peut se comprendre cela dit quand on observe le coût de cette guerre pour les russes qui peut importe le résultat restera cher payé.
Personnellement je reste convaincu que Poutine avait espéré une guerre courte, la prise de Kiev en 3 jours, l'effondrement de l'armée ukrainienne et le renversement du gouvernement pour un pro-russe, tout cela par une démonstration de force le 24 février ( missile avions blindés en masse).
Mais ça n'a pas fonctionné, et aujourd'hui se pose la question de jusqu'où aller pour en sortir avec un avantage et la tête haute.

Il me parait évident aussi que plus on attendait et plus ça serait difficile pour la Russie, car en 2014 l'armée ukrainienne avait bien compris quelle ne pouvait contenir la Russie en l'état et qu'il fallait s'armer.
Cependant les occidentaux étaient réticents car l'Ukraine n'était pas non plus un gage de confiance ( le système politique étant similaire à celui de la Russie mais sans un Poutine fort).

L'observation d'aujourd'hui c'est "quelle folie" que cette guerre.
Elle va en tout cas clairement rebattre les cartes de la planète
Ce qui s’est produit, c’est le résultat et la conséquence de la DUPLICITE, du CYNISME, du MENSONGE de Porochenko, de Merkel, de Hollande (car, de par sa LÂCHETE, ce dernier n’est certes pas pas « innocent » … ainsi qu’en TEMOIGNE « l’Affaire des Mistrals » !) et de Macron !!! Poutine (et Lavrov), pendant DES années, ont TOUT fait pour éviter le DRAME qui se déroule sous nos yeux … L’Histoire, plus tard, reconnaîtra ces Vérités …
 
Pareils pour les russes, qui reconnaissaient l'intégrité territoriale de l'Ukraine et qui avait offert la Crimée a cette dernière :)
Et reconnaitre aux peuples le droit à l’autodétermination ?
Dans la volonté des régions à majorité de langue russe de parvenir à une autonomie vis à vis de Kiev, plus que l’élection biaisée de Porochenko, l’élément central qui a vraiment joué le rôle primordial à mes yeux est, en mars 2014, après le renversement du président V. Yanoukovitch, la décision du parlement ukrainien qui décida d’abroger la loi d’aoüt 2012, sur les langues régionales et de retirer au russe, comme à d’autre langues régionales, le statut de langue co-officielle.
Par cette décision tous les documents officiels doivent être rédigés exclusivement en ukrainien, et ça a mis le feu au poudre, avec des manifestations massives pro-russes dans l’est de l’Ukraine.
Pourquoi le parlement ukrainien a pris cette décision en mars 2014 ? Qui sont les parlementaires qui ont voté cette décision ? Sur les conseils de qui ?
Que sont devenus ces parlementaires ukrainiens ?

La loi sur les langues régionales de 2012 a finalement été annulée par la Cour constitutionnelle ukrainienne en février 2018, d’où un bannissement « légalisé » du russe.

Et pour finir le sale boulot de nazes nazis, de tous ceux, plus de 335 000 personnes, qui avaient voté, à l’élection présidentielle du 25 mai 2014, pour les 2 candidats des partis de l’extrème droite Svoboda et Secteur droit,
en mai 2019, juste avant l’entrée en fonction de Volodymyr Zelensky, le parlement ukrainien a adopté une « loi sur le fonctionnement de l’ukrainien comme langue de l’Etat ».
Le russe n’est mentionné explicitement dans aucun des 57 articles, mais chaque article vise à en interdire ou réduire l’usage, dans l’administration, la justice ou l’enseignement, dans la culture, le commerce ou les médias…
 
Et reconnaitre aux peuples le droit à l’autodétermination ?
Dans la volonté des régions à majorité de langue russe de parvenir à une autonomie vis à vis de Kiev, plus que l’élection biaisée de Porochenko, l’élément central qui a vraiment joué le rôle primordial à mes yeux est, en mars 2014, après le renversement du président V. Yanoukovitch, la décision du parlement ukrainien qui décida d’abroger la loi d’aoüt 2012, sur les langues régionales et de retirer au russe, comme à d’autre langues régionales, le statut de langue co-officielle.
Par cette décision tous les documents officiels doivent être rédigés exclusivement en ukrainien, et ça a mis le feu au poudre, avec des manifestations massives pro-russes dans l’est de l’Ukraine.
Pourquoi le parlement ukrainien a pris cette décision en mars 2014 ? Qui sont les parlementaires qui ont voté cette décision ? Sur les conseils de qui ?
Que sont devenus ces parlementaires ukrainiens ?

La loi sur les langues régionales de 2012 a finalement été annulée par la Cour constitutionnelle ukrainienne en février 2018, d’où un bannissement « légalisé » du russe.

Et pour finir le sale boulot de nazes nazis, de tous ceux, plus de 335 000 personnes, qui avaient voté, à l’élection présidentielle du 25 mai 2014, pour les 2 candidats des partis de l’extrème droite Svoboda et Secteur droit,
en mai 2019, juste avant l’entrée en fonction de Volodymyr Zelensky, le parlement ukrainien a adopté une « loi sur le fonctionnement de l’ukrainien comme langue de l’Etat ».
Le russe n’est mentionné explicitement dans aucun des 57 articles, mais chaque article vise à en interdire ou réduire l’usage, dans l’administration, la justice ou l’enseignement, dans la culture, le commerce ou les médias…
Zelensky, le juif que tu détestes, voulait revenir sur ces lois linguistiques qui pouvaient être discriminantes.
Concernant l'autodétermination des peuples s'il te plait, arrête de me faire marrer, c'est a géométrie variable chez vous. Occupez vous de vos minorités ethniques et accordez leur le plus d'autodétermination possible et laissez les autres faire comme ils l'entendent sans s'ingérer dans leur politique.
 
Zelensky, le juif que tu détestes, voulait revenir sur ces lois linguistiques qui pouvaient être discriminantes.
Concernant l'autodétermination des peuples s'il te plait, arrête de me faire marrer, c'est a géométrie variable chez vous. Occupez vous de vos minorités ethniques et accordez leur le plus d'autodétermination possible et laissez les autres faire comme ils l'entendent sans s'ingérer dans leur politique.
Zelensky, le juif que tu détestes,
Waw, ça c est de l argument chapeau pour votre esquive avec la carte antisémitismor
Ça marche que si on joue sur Pokémon

 
Je ne pense pas que les allemands ( ni les français) aient réellement cru que la Russie franchirais l'escalade militaire.
Les allemands étaient vraisemblablement intéressé par l'espace économique est de l'Europe Russie comprise. Le deal était simple : importer de l'énergie et des matières premières, exporter des machines etc...
L'Allemagne se voyait bien le centre prospère d'une Europe de l'Atlantique à la Sibérie. Historiquement ( même si il y a beaucoup de conflits), les germaniques et les slaves sont très imbriqués.
Les allemands ne se sentaient plus menacés ( pour preuve l'état de leur armée) et étaient persuadé que l'Europe économique et libérale était à leur avantage et surtout de nature à renvoyer les conflits armés au passé.

Les français sont plus atlantistes mais ont toujours été fasciné par la Russie qu'ils considèrent pleinement européenne. Macron avait fait une invitation digne de Louis XIV accueillant le Tsar de Russie à Versailles au début de son premier mandat.
Tout comme les allemands ils ne croyaient pas à l'intervention militaire russe, comme le prouve les réticences de l'époque concernant le couac des services secrets.
Les anglais et les américains communiquaient sur une invasion imminente là où français et allemands restaient sur un gros coup de bluff et de menaces russes.

Ca peut se comprendre cela dit quand on observe le coût de cette guerre pour les russes qui peut importe le résultat restera cher payé.
Personnellement je reste convaincu que Poutine avait espéré une guerre courte, la prise de Kiev en 3 jours, l'effondrement de l'armée ukrainienne et le renversement du gouvernement pour un pro-russe, tout cela par une démonstration de force le 24 février ( missile avions blindés en masse).
Mais ça n'a pas fonctionné, et aujourd'hui se pose la question de jusqu'où aller pour en sortir avec un avantage et la tête haute.

Il me parait évident aussi que plus on attendait et plus ça serait difficile pour la Russie, car en 2014 l'armée ukrainienne avait bien compris quelle ne pouvait contenir la Russie en l'état et qu'il fallait s'armer.
Cependant les occidentaux étaient réticents car l'Ukraine n'était pas non plus un gage de confiance ( le système politique étant similaire à celui de la Russie mais sans un Poutine fort).

L'observation d'aujourd'hui c'est "quelle folie" que cette guerre.
Elle va en tout cas clairement rebattre les cartes de la planète
Quelle folie que cette guerre ?
Pour les peuples Oui pas pour les marchands de canons Yankees et Anglo sionistes

Tout à été mis en place pour la provoquer, rien n a changé depuis le grand jeu et il continue devant nos yeux



 
Zelensky, le juif que tu détestes,
Waw, ça c est de l argument chapeau pour votre esquive avec la carte antisémitismor
Ça marche que si on joue sur Pokémon

L'argument n'était pas la, la suite de la phrase disait qu'il voulait revenir (ou est déjà revenu) sur certaines lois linguistiques discriminantes.
Zelensky, vous aimez le détester parce qu'il tient tête a Poutine, mais mis à part ça, il n'a déclaré la guerre a personne et souhaitait la paix avec Moscou. Il a hérité de la situation pourrie du Donbass et je ne suis pas certain que vous prendriez de meilleures décisions.
 
L'argument n'était pas la, la suite de la phrase disait qu'il voulait revenir (ou est déjà revenu) sur certaines lois linguistiques discriminantes.
Zelensky, vous aimez le détester parce qu'il tient tête a Poutine, mais mis à part ça, il n'a déclaré la guerre a personne et souhaitait la paix avec Moscou. Il a hérité de la situation pourrie du Donbass et je ne suis pas certain que vous prendriez de meilleures décisions.
Oui bien-sûr


Pour rappel

 
En lisant ton lien wikipédia, on comprend toute la fourberie des russes qui n'ont jamais respecté le moindre accord.
Votre fourberie pour trouver de la fourberie dans le lien est moins respectable

 
Dernière édition:
Votre fourberie pour trouver de la fourberie dans le lien est moins respectable


Tu continues à citer sans comprendre ce qu'elle dit.

L'Ukraine avait besoin de temps pour s'armer face une attaque qu'elle savait inéluctable de la part de la russie qui n'allait jamais accepter son rapprochement ave l'UE et l'Otan.

Toute l'Europe connait le délire impérialiste de poutine depuis des années.
 
Tu continues à citer sans comprendre ce qu'elle dit.

L'Ukraine avait besoin de temps pour s'armer face une attaque qu'elle savait inéluctable de la part de la russie qui n'allait jamais accepter son rapprochement ave l'UE et l'Otan.

Toute l'Europe connait le délire impérialiste de poutine depuis des années.
Donc il fallait comprendre que tout n était que mensonge depuis le départ
Entre menteur on se comprend
Vous inquiétez pas le message à bien était reçu dans le monde
Qui va faire des accords avec les usa, France et RFA ?
 
Donc il fallait comprendre que tout n était que mensonge depuis le départ
Entre menteur on se comprend
Vous inquiétez pas le message à bien était reçu dans le monde
Qui va faire des accords avec les usa, France et RFA ?

Prendre ta compréhension personnelle comme une lecture objective des évènements, dans ton cas, ne te mènera pas loin, je crains :).
 
Prendre ta compréhension personnelle comme une lecture objective des évènements, dans ton cas, ne te mènera pas loin, je crains :).
Donc tout ceci, on s'en balek

Texte du protocole
Modifier
Le texte du protocole comprend douze points[8]:

Assurer un cessez-le-feu bilatéral immédiat ;
Assurer la surveillance et la vérification du cessez-le-feu par l'OSCE ;
Organiser une décentralisation des pouvoirs, par la mise en application d'une loi ukrainienne (loi sur le statut particulier), accordant de manière temporaire l'autonomie locale dans les oblasts de Donetsk et de Lougansk ;
Assurer une surveillance permanente de la frontière russo-ukrainienne par l'OSCE et instaurer une zone de sécurité à cette même frontière ;
Libérer immédiatement tous les otages et les personnes retenues illégalement ;
Adopter une loi ukrainienne visant à interdire les poursuites et les sanctions contre toutes les personnes impliquées dans la guerre du Donbass ;
Poursuivre un dialogue national entre les parties ;
Mettre en œuvre des mesures afin d'améliorer la situation humanitaire dans le Donbass ;
Procéder à des élections anticipées dans les oblasts de Donetsk et de Lougansk ;
Procéder au retrait du territoire ukrainien des formations armées et du matériel militaire illicites, ainsi que des combattants irréguliers et des mercenaires ;
Mettre en place un programme économique pour favoriser la reprise des activités et de l'économie locale dans le Donbass ;
Assurer la protection personnelle des participants aux consultations.
Mémorandum de suivi
Modifier
Au cours des deux semaines qui suivent la signature du protocole de Minsk, des violations du cessez-le-feu sont fréquentes de la part des deux parties au conflit[9],[10]. Les discussions se poursuivent à Minsk. Un suivi du protocole de Minsk est convenu le 19 septembre 2014. Le mémo résultant clarifie l'application du protocole. Parmi les mesures convenues à la paix, figurent notamment[9],[11],[12] :

suppression de toutes les armes lourdes dans une zone de quinze kilomètres derrière la ligne de contact, par chaque partie du conflit, afin de créer une zone démilitarisée de trente kilomètres de large en tout ;
interdiction d'opérations offensives ;
interdiction des vols d’avions de combat au-dessus de la zone de sécurité ;
retrait de tous les mercenaires étrangers de la zone de conflit ;
mise en place d'une mission de l'OSCE pour surveiller la mise en œuvre du protocole de Minsk.
Le 26 septembre, les membres du groupe de contact trilatéral sur l'Ukraine se réunissent à nouveau pour discuter de la délimitation de la zone tampon, dans laquelle les armes lourdes seraient bannies par les parties au conflit[13]. La ligne de démarcation entre la RPD et l'Ukraine est convenue entre les représentants de la RPD et les négociateurs ukrainiens, selon le vice-Premier ministre d’Ukraine, Vitali Yarema[14].

Efficacité
 
Donc tout ceci, on s'en balek

Texte du protocole
Modifier
Le texte du protocole comprend douze points[8]:

Assurer un cessez-le-feu bilatéral immédiat ;
Assurer la surveillance et la vérification du cessez-le-feu par l'OSCE ;
Organiser une décentralisation des pouvoirs, par la mise en application d'une loi ukrainienne (loi sur le statut particulier), accordant de manière temporaire l'autonomie locale dans les oblasts de Donetsk et de Lougansk ;
Assurer une surveillance permanente de la frontière russo-ukrainienne par l'OSCE et instaurer une zone de sécurité à cette même frontière ;
Libérer immédiatement tous les otages et les personnes retenues illégalement ;
Adopter une loi ukrainienne visant à interdire les poursuites et les sanctions contre toutes les personnes impliquées dans la guerre du Donbass ;
Poursuivre un dialogue national entre les parties ;
Mettre en œuvre des mesures afin d'améliorer la situation humanitaire dans le Donbass ;
Procéder à des élections anticipées dans les oblasts de Donetsk et de Lougansk ;
Procéder au retrait du territoire ukrainien des formations armées et du matériel militaire illicites, ainsi que des combattants irréguliers et des mercenaires ;
Mettre en place un programme économique pour favoriser la reprise des activités et de l'économie locale dans le Donbass ;
Assurer la protection personnelle des participants aux consultations.
Mémorandum de suivi
Modifier
Au cours des deux semaines qui suivent la signature du protocole de Minsk, des violations du cessez-le-feu sont fréquentes de la part des deux parties au conflit[9],[10]. Les discussions se poursuivent à Minsk. Un suivi du protocole de Minsk est convenu le 19 septembre 2014. Le mémo résultant clarifie l'application du protocole. Parmi les mesures convenues à la paix, figurent notamment[9],[11],[12] :

suppression de toutes les armes lourdes dans une zone de quinze kilomètres derrière la ligne de contact, par chaque partie du conflit, afin de créer une zone démilitarisée de trente kilomètres de large en tout ;
interdiction d'opérations offensives ;
interdiction des vols d’avions de combat au-dessus de la zone de sécurité ;
retrait de tous les mercenaires étrangers de la zone de conflit ;
mise en place d'une mission de l'OSCE pour surveiller la mise en œuvre du protocole de Minsk.
Le 26 septembre, les membres du groupe de contact trilatéral sur l'Ukraine se réunissent à nouveau pour discuter de la délimitation de la zone tampon, dans laquelle les armes lourdes seraient bannies par les parties au conflit[13]. La ligne de démarcation entre la RPD et l'Ukraine est convenue entre les représentants de la RPD et les négociateurs ukrainiens, selon le vice-Premier ministre d’Ukraine, Vitali Yarema[14].

Efficacité

super.
A présent, prochain exercice de copié-collé: souligner tous les points non-respectés poar les russes :)
Je ramasse les copies dans une heure...
 
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