Anzar est un dieu Berbère (n Imaziɣen) d'Afrique du Nord, dieu de la pluie et de l'eau, qui tenait un rôle prépondérant dans la mythologie et la religion des Berbères, comme c'était le cas de tous les dieux de la pluie dans les religions Mésoamérique, Mythologie grecque, Romains, et Égypte antique, entre autres régions.
Anzar était le Dieu du ciel, des eaux, des rivières, des mers, des ruisseaux, des sources et de la pluie. (souvent appelé Aglid n Ugfur, c'est-à-dire « le roi de la pluie »). Un rite connu sous le nom de Tislit n Anzar (« la fiancée d'Anzar ») lui était consacré en Afrique du Nord lors des périodes de sécheresse pour faire pleuvoir. Cette tradition a été attestée au Rif, en Kabylie, dans l'Atlas, et dans les Aurès.
II était jadis un personnage du nom d’Anzar. C’était le Maître de la pluie. Il désirait épouser une jeune fille d’une merveilleuse beauté : la lune brille dans le ciel, ainsi elle brillait elle-même sur la terre. Son visage était resplendissant, son vêtement était de soie chatoyante.
Elle avait l’habitude de se baigner dans une rivière aux reflets d’argent. Quand le Maître de la pluie descendait sur terre et s’approchait d’elle, elle prenait peur, et lui se retirait.
Un jour, il finit par lui dire :
Tel l’éclair j’ai fendu l’immensité du ciel, ô Toi, Étoile plus brillante que les autres, donne-moi donc le trésor qui est tien sinon je te priverai de cette eau.
La jeune fille lui répondit :
Je t’en supplie, Maître des eaux, au front couronné de corail. (Je le sais) nous sommes faits l’un pour l’autre… mais je redoute « qu’en dira-t-on »…
À ces mots, le Maître de l’eau tourna brusquement la bague qu’il portait au doigt, la rivière soudain tarit et il disparut. La jeune fille poussa un cri et fondit en larmes. Alors elle se dépouilla de sa robe de soie et resta toute nue. Et elle criait vers le ciel :
Ô Anzar, ô Anzar ! Ô Toi, floraison des prairies ! Laisse à nouveau couler la rivière, et viens prendre ta revanche.
À l’instant même elle vit le Maître de l’eau sous l’aspect d’un éclair immense. Il serra contre lui la jeune fille : la rivière se remit à couler et toute la terre se couvrit de verdure.
Anzar était le Dieu du ciel, des eaux, des rivières, des mers, des ruisseaux, des sources et de la pluie. (souvent appelé Aglid n Ugfur, c'est-à-dire « le roi de la pluie »). Un rite connu sous le nom de Tislit n Anzar (« la fiancée d'Anzar ») lui était consacré en Afrique du Nord lors des périodes de sécheresse pour faire pleuvoir. Cette tradition a été attestée au Rif, en Kabylie, dans l'Atlas, et dans les Aurès.
II était jadis un personnage du nom d’Anzar. C’était le Maître de la pluie. Il désirait épouser une jeune fille d’une merveilleuse beauté : la lune brille dans le ciel, ainsi elle brillait elle-même sur la terre. Son visage était resplendissant, son vêtement était de soie chatoyante.
Elle avait l’habitude de se baigner dans une rivière aux reflets d’argent. Quand le Maître de la pluie descendait sur terre et s’approchait d’elle, elle prenait peur, et lui se retirait.
Un jour, il finit par lui dire :
Tel l’éclair j’ai fendu l’immensité du ciel, ô Toi, Étoile plus brillante que les autres, donne-moi donc le trésor qui est tien sinon je te priverai de cette eau.
La jeune fille lui répondit :
Je t’en supplie, Maître des eaux, au front couronné de corail. (Je le sais) nous sommes faits l’un pour l’autre… mais je redoute « qu’en dira-t-on »…
À ces mots, le Maître de l’eau tourna brusquement la bague qu’il portait au doigt, la rivière soudain tarit et il disparut. La jeune fille poussa un cri et fondit en larmes. Alors elle se dépouilla de sa robe de soie et resta toute nue. Et elle criait vers le ciel :
Ô Anzar, ô Anzar ! Ô Toi, floraison des prairies ! Laisse à nouveau couler la rivière, et viens prendre ta revanche.
À l’instant même elle vit le Maître de l’eau sous l’aspect d’un éclair immense. Il serra contre lui la jeune fille : la rivière se remit à couler et toute la terre se couvrit de verdure.