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Lors du référendum du 1er juillet dernier, le nouveau projet de constitution a été plébiscité par le peuple marocain. Le résultat (98% de 'Oui') a* été largement salué par la communauté internationale. Nombreux ont été les chefs dEtat qui ont salué un pas décisif dans le processus démocratique en cours au Maroc. Nicolas Sarkozy veut maintenant faire bénéficier le Maroc des fonds du G8 prévu pour la transition démocratique dans le monde arabe. Une proposition confirmée par le Quai d'Orsay lundi.
Au lendemain du référendum constitutionnel, lécrasante victoire du* «*oui*» reste contestée dans le Royaume, mais le résultat a été salué par plusieurs dirigeants du monde. Les pays de lUnion européenne ont été parmi les premiers à se réjouir du pas franchi par le Maroc dans le processus démocratique. Ainsi, entre autres marques de soutien reçues, le roi Mohamed VI aurait reçu un coup de fil du roi espagnol Juan Carlos Ier, rapporte le quotidien espagnol El Pais.
De son côté, le Premier ministre espagnol, José Luis Zapatero, dans un courrier adressé à S.M Mohamed VI, a salué lesprit et les résultats du référendum, et a précisé que «*lEspagne est et continuera dêtre le premier allié (du Maroc, NDLR) dans ce tournant ( ) que lUnion européenne sest engagée à accompagner ( )*», rapporte l'agence de presse EFE.
Lopposition espagnole sest également réjouie du résultat du référendum. Le Parti Populaire (PP), dont les relations avec le Maroc ne sont pourtant pas les meilleures, a ainsi estimé que le Royaume sétait engagé sur la «*voie du succès*», en matière de réformes politiques, rapporte Tele Cinco.
Les Etats-Unis, via Hillary Clinton, ont également salué les résultats du référendum constitutionnel du 1erjuillet. La chef de la diplomatie américaine a exprimé le soutien de son pays «* au peuple et aux dirigeants marocains dans leurs efforts visant la consolidation de lEtat de droit et des droits de lHomme, la promotion de la bonne gouvernance, ainsi quun engagement à long terme en faveur des réformes démocratiques tenant compte de léquilibre des pouvoirs* ». Les Etats-Unis sétaient auparavant, engagés à accompagner financièrement les réformes entreprises au Maroc.
Au lendemain du référendum constitutionnel, lécrasante victoire du* «*oui*» reste contestée dans le Royaume, mais le résultat a été salué par plusieurs dirigeants du monde. Les pays de lUnion européenne ont été parmi les premiers à se réjouir du pas franchi par le Maroc dans le processus démocratique. Ainsi, entre autres marques de soutien reçues, le roi Mohamed VI aurait reçu un coup de fil du roi espagnol Juan Carlos Ier, rapporte le quotidien espagnol El Pais.
De son côté, le Premier ministre espagnol, José Luis Zapatero, dans un courrier adressé à S.M Mohamed VI, a salué lesprit et les résultats du référendum, et a précisé que «*lEspagne est et continuera dêtre le premier allié (du Maroc, NDLR) dans ce tournant ( ) que lUnion européenne sest engagée à accompagner ( )*», rapporte l'agence de presse EFE.
Lopposition espagnole sest également réjouie du résultat du référendum. Le Parti Populaire (PP), dont les relations avec le Maroc ne sont pourtant pas les meilleures, a ainsi estimé que le Royaume sétait engagé sur la «*voie du succès*», en matière de réformes politiques, rapporte Tele Cinco.
Les Etats-Unis, via Hillary Clinton, ont également salué les résultats du référendum constitutionnel du 1erjuillet. La chef de la diplomatie américaine a exprimé le soutien de son pays «* au peuple et aux dirigeants marocains dans leurs efforts visant la consolidation de lEtat de droit et des droits de lHomme, la promotion de la bonne gouvernance, ainsi quun engagement à long terme en faveur des réformes démocratiques tenant compte de léquilibre des pouvoirs* ». Les Etats-Unis sétaient auparavant, engagés à accompagner financièrement les réformes entreprises au Maroc.