Arancha Gonzalez Laya : l'Espagne n'a jamais eu l'intention de créer un désaccord avec le Maroc

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Bladi Robot

Je suis un vrai robot!
L'accueil du chef du Polisario, Brahim Ghali, par l'Espagne l'a été pour des « raisons humanitaires » et non pour faire naître un conflit entre l'Espagne et le Maroc. C'est ce qu'a expliqué dans un entretien, la ministre espagnole des Affaires étrangères, Arancha Gonzalez Laya.
« Nous n'avons jamais voulu de conflit. Nous ne l'avons jamais cherché. Nous ne l'avons jamais voulu. Et nous ne l'alimentons certainement pas. Ce que nous voulons, et c'est ce que j'ai transmis à l'ambassadrice (Karima Benyaich), (...)

- Maroc / Espagne, Polisario, Brahim Ghali, Diplomatie

Arancha Gonzalez Laya : l'Espagne n'a jamais eu l'intention de créer un désaccord avec le Maroc
 
Quelle Hypocrisie !! Ils reconnaîtront le Sahara comme des victimes car ce n' est pas eux qui commandent !! L' Europe n'a pas son mot à dire...
 
foutaise madame la ministre :fou: comment auriez vous réagis si le maroc avait accepté de soigné un membre de l'ETA ? donc arrêté de parlé "d'humanité" en sens unique boufonne d'hypocrite
 
« ce n’est pas à l’Espagne de dire quelle devrait être la solution au Sahara Occidental. Nous avons dit que toute solution trouvée entre les parties à ce conflit aura notre approbation. Nous ne sommes favorables à aucune solution. Il y a quelques solutions intéressantes sur la table et nous pensons qu’il est important de les explorer. Mais ce n’est pas à l’Espagne de dire quelle est la solution. Et nous voulons donc que cette position soit respectée », a-t-elle précisé.

MDR Pour le Sahara, les Espagnoles se positionnent en donneur de leçons par contre ils sont contre la république Catalane :claque::claque::claque:
 
En fait, elle est vraiment incompétente, j'ai cru qu'elle savait ce qu'elle faisait et surtout ce qu'elle disait, mais pas du tout, elle est juste mauvaise diplomate.
 
« ce n’est pas à l’Espagne de dire quelle devrait être la solution au Sahara Occidental. Nous avons dit que toute solution trouvée entre les parties à ce conflit aura notre approbation. Nous ne sommes favorables à aucune solution. Il y a quelques solutions intéressantes sur la table et nous pensons qu’il est important de les explorer. Mais ce n’est pas à l’Espagne de dire quelle est la solution. Et nous voulons donc que cette position soit respectée », a-t-elle précisé.

MDR Pour le Sahara, les Espagnoles se positionnent en donneur de leçons par contre ils sont contre la république Catalane :claque::claque::claque:
Je me marre, et du coup pourquoi aller chialer chez Biden? C'est vraiment des tocards diplomatiques les espagnols.

Vous me diriez aussi, Espagne Algérie, qui se ressemblent s'assemblent, des débiles.
 

Espagne: Le médecin algérien qui accompagne Brahim Ghali est décédé en 2010​


Espagne : Le médecin algérien qui accompagne Brahim Ghali est décédé en 2010


Quatre semaines après l’hospitalisation de Brahim Ghali en Espagne, des médias ibériques se sont s’intéressé au médecin algérien qui accompagne le chef du Polisario.




Selon les documents officiels présentés à l’administration de l’hôpital San Pedro à Logroño, son nom est Mohamed Seghir Nekkache, exerçant à l’hôpital militaire d’Alger (Aïn Naaja).

Fait troublant : la personne en question est décédée en 2010, révèlent El Independiente et El Confidencial. Le docteur Nekkache, premier ministre de la Santé de l’Algérie indépendante, était très apprécié par les officiels algériens.
Le 1er novembre 2002, à l’occasion du 48ème anniversaire de l’indépendance du pays, il avait reçu une attestation et la médaille du mérite.


Elles avaient été remises par l’ex-ministre de la Santé Abdelhamid Aberkane. En 2010, à l’occasion de son décès à l’âge de 92 ans, l’ancien président Abdelaziz Bouteflika avait adressé à la famille du défunt un message de condoléances.

Ce faux docteur «Nekkache» était présent, le 11 mai, lors de la présentation par la police espagnole à Brahim Ghali d’une nouvelle convocation du juge d’instruction de l’Audience Nationale.
Le chef du Polisario a insisté pour qu’une copie soit remise au médecin algérien qui l’accompagne depuis son hospitalisation à Logroño.

 

Affaire Brahim Ghali: Le recours au même procédé pour son exfiltration ne fera qu’aggraver la crise (Karima Benyaich)​


Rabat – Le recours au même procédé pour l’exfiltration du dénommé Brahim Ghali de la même manière avec laquelle il est entré en Espagne est un choix pour le statu quo et l’aggravation de la crise, a affirmé vendredi l’ambassadeure du Royaume à Madrid, Mme Karima Benyaich.

La grave crise actuelle entre Madrid et Rabat suite à l’accueil en catimini sur le sol espagnol du chef des séparatistes du polisario sous une fausse identité constitue un test de la fiabilité et de la sincérité du discours, véhiculé depuis des années, en faveur du bon voisinage et du partenariat stratégique qui ont toujours prévalu entre les deux pays, a relevé la diplomate dans une déclaration à des médias espagnols.

Cette crise représente également un test pour l’indépendance de la justice espagnole, “en laquelle nous avons confiance”, ainsi que pour l’état d’esprit des autorités espagnoles quant à leur volonté d’opter pour le renforcement des relations avec le Maroc ou de coopérer avec ses ennemis, a souligné Mme Benyaich.

L’Espagne a disgracieusement opté pour l’opacité, en manoeuvrant derrière le dos du Maroc, et ce en accueillant et en protégeant ce criminel et bourreau, en invoquant des considérations humanitaires, ce qui constitue une offense à la dignité du peuple marocain, a-t-elle dit.

Face à la grave crise actuelle avec l’Espagne, le Maroc ne cherche aucune faveur ou complaisance, a-t-elle soutenu, faisant savoir que le Royaume demande seulement le respect de l’esprit du partenariat stratégique le liant à l’Espagne et l’application du droit espagnol.

En effet, la personne à qui l’Espagne a permis l’entrée sur son territoire avec un faux passeport et sous une identité usurpée, est poursuivie par la justice espagnole pour crimes contre l’humanité, graves violations des droits de l’Homme et viol, a-t-elle rappelé, notant que ses victimes sont de nationalité espagnole et que certains des actes qui lui sont reprochés ont été commis sur le sol espagnol.

source: MAP
 
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