Il leur fallait se sauver à tout prix. Quitte à verser dans la tambouille. Quitte à oublier que les Français viennent de voter aux législatives.
Mais voilà venue la « clarification » attendue par Emmanuel Macron, qui a tout fait pour éviter d’avoir à reconnaître sa défaite électorale.
Le piège est bien en place mais le NFP continue, en début d’après-midi, d’espérer qu’un sursaut soit encore possible, qu’il y ait
« un trou de souris », comme le dit la communiste Elsa Faucillon.
« Soit nous avons un président légitime – André Chassaigne – soit une présidente illégitime, estime l’insoumise Aurélie Trouvé.
À quel moment les LR ont-ils expliqué à leurs électeurs qu’ils étaient des macronistes ? »
À l’issue des trois tours de scrutin pour désigner le président de l’Assemblée nationale, le camp présidentiel a réalisé un hold-up.
Les députés ont réélu Yaël Braun-Pivet, avec 220 voix.
Dont 17 voix de ministres démissionnaires toujours en poste au mépris de la séparation des pouvoirs inscrite dans la Constitution.
La titulaire du Perchoir pour la mandature à venir ne doit sa survie qu’à un deal d’arrière-cuisine avec « Les Républicains » (LR), qui l’ont aidé à battre le communiste et candidat commun du Nouveau Front populaire (NFP), André Chassaigne, qui a rassemblé 207 voix.
« Honte à tous ces députés qui ont choisi une alliance de fortune, celle du camp présidentiel avec les droites. Leur politique est rejetée, mais ils veulent l’imposer. C’est un coup de force contre la démocratie », a réagi le secrétaire national du PCF, Fabien Roussel.
D’après l’Opinion, l’actuel député à la tête de ce groupe, Laurent Wauquiez, a même réalisé le braquage du siècle :
troquer sept postes, dont deux vice-présidences, la présidence de la commission des Finances et un poste de questeur,
contre le soutien de ses 46 députés à une candidature macroniste. La compromission a un prix.
« On ne veut pas d’un communiste au Perchoir et nous ferons tout pour l’éviter », plastronne aussi le député d’extrême droite Kévin Mauvieux
sur LCP.
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Mais voilà venue la « clarification » attendue par Emmanuel Macron, qui a tout fait pour éviter d’avoir à reconnaître sa défaite électorale.
Le piège est bien en place mais le NFP continue, en début d’après-midi, d’espérer qu’un sursaut soit encore possible, qu’il y ait
« un trou de souris », comme le dit la communiste Elsa Faucillon.
« Soit nous avons un président légitime – André Chassaigne – soit une présidente illégitime, estime l’insoumise Aurélie Trouvé.
À quel moment les LR ont-ils expliqué à leurs électeurs qu’ils étaient des macronistes ? »
À l’issue des trois tours de scrutin pour désigner le président de l’Assemblée nationale, le camp présidentiel a réalisé un hold-up.
Les députés ont réélu Yaël Braun-Pivet, avec 220 voix.
Dont 17 voix de ministres démissionnaires toujours en poste au mépris de la séparation des pouvoirs inscrite dans la Constitution.
La titulaire du Perchoir pour la mandature à venir ne doit sa survie qu’à un deal d’arrière-cuisine avec « Les Républicains » (LR), qui l’ont aidé à battre le communiste et candidat commun du Nouveau Front populaire (NFP), André Chassaigne, qui a rassemblé 207 voix.
« Honte à tous ces députés qui ont choisi une alliance de fortune, celle du camp présidentiel avec les droites. Leur politique est rejetée, mais ils veulent l’imposer. C’est un coup de force contre la démocratie », a réagi le secrétaire national du PCF, Fabien Roussel.
D’après l’Opinion, l’actuel député à la tête de ce groupe, Laurent Wauquiez, a même réalisé le braquage du siècle :
troquer sept postes, dont deux vice-présidences, la présidence de la commission des Finances et un poste de questeur,
contre le soutien de ses 46 députés à une candidature macroniste. La compromission a un prix.
« On ne veut pas d’un communiste au Perchoir et nous ferons tout pour l’éviter », plastronne aussi le député d’extrême droite Kévin Mauvieux
sur LCP.
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