Moi je vais vous dire, malheureusement vous avez fait une mauvaise affaire, vous auriez du acheter ailleurs a 11000 dhs et vous serez satisfait.
Un ami a moi, acheta un appartement et a meme avancé du noir il y a quelques mois, il vient d'avoir sa clé, ne pouvant y vivre , il l'a mis en vente avant meme d'y aller!
ce qui se passe avec ses quartiers ... l'eclairage publique srra arnaqué ou détruit, les places vertes seront détruites, les guichets de banque cassé, pas de taxi et meme lorsque les taxis iront la bas ils refuseront de vous y emmener la nuit!
et comment comptez vous dompter vos efants a cet environnement ? c'est un caveau diurne!
pardon de vous avoir dit la vérité
citation: lavieEco
Cette population vit certes dans du dur mais elle souffre de nombreuses difficultés : impossibilité de payer les traites, rareté des moyens de transport, violence, absence de sources de revenu et d’infrastructures de base…
Errahma, une cité qui ne porte pas vraiment son nom
en dehors même des limites de la capitale économique, se dresse Errahma. Non pas le cimetière, mais «Madinat Errahma», des groupes d’immeubles situés au milieu de nulle part. Ville en devenir, Madinat Errahma abrite un des projets de recasement les plus importants de ces dernières années. En effet, les habitants d’une vingtaine de douars et de bidonvilles de la commune rurale de Dar Bouazza, en plus des bidonvillois de Bachkou de Casablanca, ont bénéficié de parcelles de terrain dans cette région. Ce sont d’ailleurs les habitants du bidonville de Bachkou qui ont été les derniers à rejoindre la nouvelle cité, troquant leurs baraques pour des habitations en dur. La démolition des baraques de ce kariane a continué jusqu’au mois de janvier dernier. Quelques- unes résistent encore, mais la majeure partie de ce bidonville mythique de Casablanca fait désormais partie du passé.
Il n’empêche qu’ils sont plusieurs à squatter encore les lieux. D’autres travaillent dans les quartiers mitoyens de Polo et de l’Oasis. Miloud, la cinquantaine, traîne une charrette dans les rues de l’Oasis. Il gagne sa vie à faisant du jardinage dans les villas de l’Oasis. Il a certes été bénéficiaire d’un lot de 70 m2 à Errahma 2, mais il vit lui et sa famille dans une chambre à Derb Ghallef. «Je me suis associé à un entrepreneur afin de construire l’immeuble. En échange, je lui cède le rez-de-chaussée. En attendant, je dois bien vivre quelque part», explique Miloud, ce père de trois enfants. En fait, l’Etat a conclu un deal avec les habitants de Bachkou. En échange de la baraque, un terrain de 70 m2 dans la ville d’Errahma est offert à deux familles. Ces dernières doivent s’acquitter de 15 000 DH chacune, hors taxes et frais d’enregistrement. Un tiers associé est généralement appelé pour construire le R+3, en contrepartie d’un étage et du magasin.
BIENVENU au HAUT STANDING ERRAHMA CASA