Bassima Hakkaoui est désormais la ministre de la Solidarité, de la Femme, de la Famille et du Développement social. Elle est aussi la seule femme du gouvernement Benkirane. ONG et associations posent déjà leurs règles du jeu. Craintes plus quattentes en perspectives
« Bassima Hakkaoui na pas vraiment de priorité car cest le gouvernement tout entier qui devra les déterminer à lunanimité. En plus, cest un gouvernement régi par une nouvelle Constitution qui ne va pas très loin en ce qui concerne les droits de la femme et de lenfant. Par-dessus tout,elle est la seule femme du gouvernement Benkirane. On voit déjà que la question de la femme est marginalisée. Nous sommes catégoriquement face à une régression. Tout le monde a été choqué. Cest scandaleux quand même ! » . Cest avec cette indignation propre à lAMDH quAmine Abdelhamid, son vice-président, nous donne son avis sur la nomination mardi, de Bassima Hakkaoui au poste du ministre de la Solidarité, de la Femme, de la Famille et du Développement social. Pour lui, tout comme pour les acteurs des droits de la femme au Maroc, il ne faut pas se faire trop despoir. Par contre, quelques souhaits optimistes ont été soigneusement exprimés.
http://www.lesoir-echos.com/bassima-hakkaoui-interpellee-deja /presse-maroc/38512/
« Bassima Hakkaoui na pas vraiment de priorité car cest le gouvernement tout entier qui devra les déterminer à lunanimité. En plus, cest un gouvernement régi par une nouvelle Constitution qui ne va pas très loin en ce qui concerne les droits de la femme et de lenfant. Par-dessus tout,elle est la seule femme du gouvernement Benkirane. On voit déjà que la question de la femme est marginalisée. Nous sommes catégoriquement face à une régression. Tout le monde a été choqué. Cest scandaleux quand même ! » . Cest avec cette indignation propre à lAMDH quAmine Abdelhamid, son vice-président, nous donne son avis sur la nomination mardi, de Bassima Hakkaoui au poste du ministre de la Solidarité, de la Femme, de la Famille et du Développement social. Pour lui, tout comme pour les acteurs des droits de la femme au Maroc, il ne faut pas se faire trop despoir. Par contre, quelques souhaits optimistes ont été soigneusement exprimés.
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