Polémique au Bois des Rêves d'Ottignies: "Ils comparent allaitement et *********!", dénonce Amélie
S.B.
Amélie, une jeune Bruxelloise de 25 ans, n’en revient pas. Mi-juillet, elle a été contrainte d’arrêter d’allaiter son fils alors qu’elle se trouvait dans la pataugeoire du domaine provincial du Bois des Rêves. Elle confie avoir été traitée comme une exhibitionniste et dénonce.
L’allaitement maternel ne cesse de faire débat. Et de diviser. Amélie Neveu, une jeune bruxelloise de 25 ans, en a fait les frais le 17 juillet dernier. « J’allaitais mon fils, Arthur, dans la pataugeoire de la piscine du Bois des Rêves à Ottignies. C’est là que j’ai entendu une femme dire : « Elle n’a pas bientôt fini de sortir ses nichons celle-là ?! » ». Choquée, Amélie s’est retournée vers elle, lui a tenu tête et a continué à nourrir son petit garçon de 16 mois. « La dame a alors dit qu’elle avait une grande gueule et qu’elle n’allait pas en rester là… »
Quelques minutes plus tard, une jeune fille « vêtue de l’uniforme des surveillants de la piscine » est alors intervenue. Après discussion, Amélie a fini par partir, en pleurs. Elle a alors rencontré la sous-responsable. Et ce qu’elle a entendu n’a fait qu’accroître son sentiment d’humiliation. « Elle m’a dit que si on acceptait ça, on acceptait tout, même une femme qui ferait une ********* à son mari ! »
La suite du témoignage et la réaction de la Province à découvrir dans nos éditions Sudpresse de ce vendredi.
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S.B.
Amélie, une jeune Bruxelloise de 25 ans, n’en revient pas. Mi-juillet, elle a été contrainte d’arrêter d’allaiter son fils alors qu’elle se trouvait dans la pataugeoire du domaine provincial du Bois des Rêves. Elle confie avoir été traitée comme une exhibitionniste et dénonce.
L’allaitement maternel ne cesse de faire débat. Et de diviser. Amélie Neveu, une jeune bruxelloise de 25 ans, en a fait les frais le 17 juillet dernier. « J’allaitais mon fils, Arthur, dans la pataugeoire de la piscine du Bois des Rêves à Ottignies. C’est là que j’ai entendu une femme dire : « Elle n’a pas bientôt fini de sortir ses nichons celle-là ?! » ». Choquée, Amélie s’est retournée vers elle, lui a tenu tête et a continué à nourrir son petit garçon de 16 mois. « La dame a alors dit qu’elle avait une grande gueule et qu’elle n’allait pas en rester là… »
Quelques minutes plus tard, une jeune fille « vêtue de l’uniforme des surveillants de la piscine » est alors intervenue. Après discussion, Amélie a fini par partir, en pleurs. Elle a alors rencontré la sous-responsable. Et ce qu’elle a entendu n’a fait qu’accroître son sentiment d’humiliation. « Elle m’a dit que si on acceptait ça, on acceptait tout, même une femme qui ferait une ********* à son mari ! »
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