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Berlin valide un important contrat militaire avec l'algérie
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[QUOTE="Angad1, post: 8972735, member: 245611"] (C’était dû surtout à la signature du cesser le feu ou chaque partit devait retourner à la situation quo-antérieur du conflit....ce qui fait que nous avons dû reculer pour l’opinion africaine et une partit international fut que Abdel Nasser à l’époque parlait pour les non-aligné à international et ne pas internationaliser le conflit…) Citation: dès le cessez-le-feu scellé par les accords d’Evian en mars 1962, les premiers incidents interviennent près de postes évacués par les Français (Zegdou, col d’Oussada); puis d’autres, début juillet à Tindouf et Saf Saf; en septembre, des mouvements de troupes et des préparatifs sont observés le long de la route Béchar-Tinfouchi–Tindouf. Le 5 octobre 1963, à l’issue d’une rencontre Guédira-Bouteflika, le ministre algérien d’alors déclare: «Le peuple algérien n’a pas oublié l’attitude du Maroc lors de la guerre d’Algérie. Chaque Algérien se considère au Maroc chez lui, tout comme chaque Marocain est chez lui en Algérie.» Mais la même semaine, les incidents se multiplient: des éléments de l’ANP sont proches des localités de Hassi Baïda et Tinjoub, au sud de Ouarzazate; dix mokhznis sont tués, puis ce fut l’attaque de Figuig et Ich. Les FAR réagissent et écrasent les forces algériennes. Ahmed Ben Bella instrumentalise cette situation sur la base de “l’unité nationale”, confronté qu’il était à une grave crise interne (conflit avec Mohamed Khider, alors responsable du FLN ; révolte et maquis en Kabylie sous l’étendard du FFS de Hocine Aït Ahmed, sédition du colonel Mohamed Chaâbani, commandant de la VIème région militaire du sud. Interdiction du recours à la force La nouvelle OUA (Organisation de l’Unité africaine), créée en mai 1963 à Addis-Abeba, en Ethiopie, se saisit du conflit et obtient que se tienne une conférence de médiation à Bamako, au Mali, les 29 et 30 octobre, associant donc Hassan II, Ben Bella, Haïlé Selassié, président éthiopien, et le président malien Modibo Keïta. Il est décidé le cessez-le-feu et l’arrêt des hostilités à compter du 2 novembre, une zone de repli des troupes des deux pays et la constitution d’une commission ad-hoc d’arbitrage, deux semaines plus tard, de sept pays Côte d’Ivoire, Ethiopie, Mali, Nigéria, Sénégal, Soudan et Tanganyka. Cette commission a tenu de nombreuses séances de travail jusqu’en 1967 sans enregistrer de réelles avancées dans ce dossier. La dernière session a eu lieu à Tanger, en janvier 1967, sans qu’une nouvelle date soit fixée. Il faudra attendre deux ans pour que le dossier frontalier soit de nouveau inscrit dans l’agenda officiel des deux pays. Ce fut d’abord la rencontre d’Ifrane, le 15 janvier 1969, entre Hassan II et H. Boumédiene. L’accord porte sur deux points: l’interdiction de tout recours à la force en cas de conflit ou de litige et le règlement par des moyens pacifiques; la validité du traité pour une période de 20 ans avec une reconduction tacite pour une même période sauf dénonciation notifiée un an avant l’expiration de sa durée. Convention sur le tracé frontalier [/QUOTE]
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