Bonbons, biscuits... alerte aux nanoparticules

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mam80

la rose et le réséda
Modérateur
Pour la première fois en France, le rapport d’une ONG française prouve l’utilisation des nanotechnologies par l’industrie agro-alimentaire. Et brise l’omerta sur le marché de la (nano) poudre.

elles s'immiscent même dans les sachets de bonbons et le lait des biberons. Nombre d'additifs, comme les exhausteurs de goûts ou les colorants ou les antiagglomérants prennent aujourd'hui la forme de minuscules poudres minérales ou métalliques (10.000 fois plus petites qu'un grain de sel, donc invisibles à l'œil nu) dont la nature exacte est tenue secrète par l'industrie agroalimentaire. Nul étiquetage ne nous éclaire.

le consommateur doit compter sur les associations citoyennes.
L'une d'elles, Agir pour l'environnement, a fait analyser quatre produits de grandes marques par le Laboratoire national de métrologie et d'essais (LNE).
Conclusion, tous contiennent des nanoparticules : du dioxyde de silice dans le "Mélange d'épices pour guacamole" Carrefour et du dioxyde de titane *(E171) dans les biscuits "Napolitain signature chocolat" Lu, les chewing-gums "Malabar goût tutti" (deux produits du géant américain Mondelez) et la blanquette de veau en conserve William Saurin.
* ajouté au texte après recherche perso
L'an dernier, en Australie, l'ONG internationale les Amis de la terre avait déjà dénoncé leur présence dans 14 produits phares, dont les friandises M&M's, Mentos, Eclipse et Skittles, également vendues en France.

Une fois réduits à l'échelle atomique, les matériaux acquièrent de nouvelles propriétés.
Un soupçon de nano dioxyde de titane suffit à donner une blancheur immaculée aux crèmes ou faire briller bonbons et glaçages. Grâce à la nano silice, les poudres restent fluides et les sauces bien crémeuses.

[*Le dioxyde de silice (E551), depuis longtemps utilisé dans le sel ou le sucre fait actuellement l'objet d'une réévaluation de toxicité. Et le classement du dioxyde de titane en tant que "cancérogène supposé si inhalé" pourrait limiter ou interdire son usage.]

Le mois dernier, l'association les Amis de la terre aux USA, a annoncé la découverte de nanoparticules au nom barbare, des hydroxyapatites en forme de d'aiguilles dans des laits maternisés de marques reconnues, dont Nestlé et Enfamil. (...)

Aucune marque de l'agroalimentaire ne s'est pliée à l'obligation d'étiquetage de la mention "nano" dans la liste des ingrédients, pourtant en vigueur depuis décembre 2014.

Lucile Morin


mam
 
Pour la première fois en France, le rapport d’une ONG française prouve l’utilisation des nanotechnologies par l’industrie agro-alimentaire. Et brise l’omerta sur le marché de la (nano) poudre.

elles s'immiscent même dans les sachets de bonbons et le lait des biberons. Nombre d'additifs, comme les exhausteurs de goûts ou les colorants ou les antiagglomérants prennent aujourd'hui la forme de minuscules poudres minérales ou métalliques (10.000 fois plus petites qu'un grain de sel, donc invisibles à l'œil nu) dont la nature exacte est tenue secrète par l'industrie agroalimentaire. Nul étiquetage ne nous éclaire.

le consommateur doit compter sur les associations citoyennes.
L'une d'elles, Agir pour l'environnement, a fait analyser quatre produits de grandes marques par le Laboratoire national de métrologie et d'essais (LNE).
Conclusion, tous contiennent des nanoparticules : du dioxyde de silice dans le "Mélange d'épices pour guacamole" Carrefour et du dioxyde de titane *(E171) dans les biscuits "Napolitain signature chocolat" Lu, les chewing-gums "Malabar goût tutti" (deux produits du géant américain Mondelez) et la blanquette de veau en conserve William Saurin.
* ajouté au texte après recherche perso
L'an dernier, en Australie, l'ONG internationale les Amis de la terre avait déjà dénoncé leur présence dans 14 produits phares, dont les friandises M&M's, Mentos, Eclipse et Skittles, également vendues en France.

Une fois réduits à l'échelle atomique, les matériaux acquièrent de nouvelles propriétés.
Un soupçon de nano dioxyde de titane suffit à donner une blancheur immaculée aux crèmes ou faire briller bonbons et glaçages. Grâce à la nano silice, les poudres restent fluides et les sauces bien crémeuses.

[*Le dioxyde de silice (E551), depuis longtemps utilisé dans le sel ou le sucre fait actuellement l'objet d'une réévaluation de toxicité. Et le classement du dioxyde de titane en tant que "cancérogène supposé si inhalé" pourrait limiter ou interdire son usage.]

Le mois dernier, l'association les Amis de la terre aux USA, a annoncé la découverte de nanoparticules au nom barbare, des hydroxyapatites en forme de d'aiguilles dans des laits maternisés de marques reconnues, dont Nestlé et Enfamil. (...)

Aucune marque de l'agroalimentaire ne s'est pliée à l'obligation d'étiquetage de la mention "nano" dans la liste des ingrédients, pourtant en vigueur depuis décembre 2014.

Lucile Morin


mam

ça fait flipper. Je savais qu'il y en a aussi dans
- les tablettes de chocolat qui ne blanchissent pas même ouvertes depuis longtemps
- le sel (pour pas que ça s'agglomère)
- le riz (même raison)

Pour le sel, vérifiez la composition. Si c'est pas 100% sel, c'est qu'il y en a. Je ne prends plus que du guérande (il est un peu humide, mais bon)
 
Oui mais comment le voir ? En plus, la plupart du temps, les étiquettes sont en anglais :fou:

En Europe, la mention [nano] est obligatoire à la suite de la mention de l'ingrédient utilisé sous la forme de nanoparticules.
http://www.ddmagazine.com/1322-La-verite-sur-les-cremes-solaires.html

9 filtres chimiques solaires ont été analysés. Parmis eux, l’oxybenzone, tout en étant hautement allergène, traverserait la barrière de la peau et peut se glisser dans le sang, l’urine et même le lait maternel.
Le 4-MBC et le 3-MBC : perturbateurs endocriniensUn autre filtre chimique potentiellement dangereux pour les humains a été isolé : le 4-MBC et le 3- BC qui retarderaient la puberté des mâle, avancerait celle des femelles et auraient un impact sur le développement des organes reproducteurs.
Deux des filtres UV, le 4-méthyl benzylidène camphre (4-MBC) et l’octocrylène (OC)
http://www.carevox.fr/sante-naturelle-57/article/les-cremes-solaires-dangereuses

.....................de rien :)

mam
 
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