Bruxelles-capitale a besoin dargent. Le refinancement da la Région est plus que jamais dactualité. Ce point était au centre de la déclaration de politique générale de Charles Picqué, le ministre-président bruxellois.
Les quelques moyens dégagés dans le cadre du 'premier paquet' ont été hypothéqués par la crise politique fédérale. En outre, la Région bruxelloise est frappée de plein fouet par le ralentissement de l'économie mondiale", plus que les autres entités mieux protégées par le système de dotations des moyens en provenance de l'Etat, a notamment dit Charles Picqué, devant les députés bruxellois réunis en séance plénière.
Pour lui, il ne faudrait pas qu'à l'avenir, ce soit un système de financement injuste qui force la Région à renoncer à des politiques au profit des habitants de la capitale. Se félicitant de l'unité des francophones et flamands de Bruxelles autour d'un certain nombre de revendications, il s'est également réjoui d'apprendre que les Bruxellois seront vraisemblablement largement représentés parmi les négociateurs, tant francophones que flamands.
Pour le reste, les choix budgétaires à opérer en vue de l'année 2009 tiendront compte des priorités de l'accord de majorité, a-t-il dit, dressant un bilan des acquis engrangés par son équipe au cours des 4 dernières années. De très nombreux projets engagés seront poursuivis, notamment en matière d'emploi, d'économie, et de logement.
En matière de contrats et sécurité et de prévention, le ministre-président bruxellois a insisté auprès des députés bruxellois pour qu'ils gardent en mémoire la nature ethnique des émeutes qui se sont produites à Anderlecht au printemps dernier, et qui ont constitué, à ses yeux, un "moment grave pour la sociologie bruxelloise".
Le débat sur la déclaration de politique générale lue durant une heure trente par Charles Picqué aura lieu jeudi.
http://www.rtlinfo.be/news/article/176402/--bruxelles+capitale+manque+d+argent
Les quelques moyens dégagés dans le cadre du 'premier paquet' ont été hypothéqués par la crise politique fédérale. En outre, la Région bruxelloise est frappée de plein fouet par le ralentissement de l'économie mondiale", plus que les autres entités mieux protégées par le système de dotations des moyens en provenance de l'Etat, a notamment dit Charles Picqué, devant les députés bruxellois réunis en séance plénière.
Pour lui, il ne faudrait pas qu'à l'avenir, ce soit un système de financement injuste qui force la Région à renoncer à des politiques au profit des habitants de la capitale. Se félicitant de l'unité des francophones et flamands de Bruxelles autour d'un certain nombre de revendications, il s'est également réjoui d'apprendre que les Bruxellois seront vraisemblablement largement représentés parmi les négociateurs, tant francophones que flamands.
Pour le reste, les choix budgétaires à opérer en vue de l'année 2009 tiendront compte des priorités de l'accord de majorité, a-t-il dit, dressant un bilan des acquis engrangés par son équipe au cours des 4 dernières années. De très nombreux projets engagés seront poursuivis, notamment en matière d'emploi, d'économie, et de logement.
En matière de contrats et sécurité et de prévention, le ministre-président bruxellois a insisté auprès des députés bruxellois pour qu'ils gardent en mémoire la nature ethnique des émeutes qui se sont produites à Anderlecht au printemps dernier, et qui ont constitué, à ses yeux, un "moment grave pour la sociologie bruxelloise".
Le débat sur la déclaration de politique générale lue durant une heure trente par Charles Picqué aura lieu jeudi.
http://www.rtlinfo.be/news/article/176402/--bruxelles+capitale+manque+d+argent