BigLiar
C'est compliqhhhhhhé
c'est ici où les bladinautes peuvent parler de la vie et s'exprimer pour se soulager un peux et oublier le stress et les souffrances du quotidien.
Voilà, j'ai xx ans et je vais vous raconter un peu ma vie :
"Une à une les fenêtres de mon immeuble se sont éteintes.
La cité sest endormie. Seul bruit persistant, le grésillement des quelques lampadaires encore luisants qui veilleront toute la nuit. Le silence est tombé sur les amours, les disputes, les joies et les drames de nos intimités.
Ne croyez pas que jhabite une de ces cités chaudes style défavorisée, misère-délinquance. Non cest une cité banale comme beaucoup, sans histoires, à part celles qui se déroulent derrière la porte de chaque appartement, ignorées de tous, protégées quelles sont par le voile de la pudeur, de lindifférence, de lignorance ou tout simplement du silence convenu.
Et si la concentration dhistoires engendrait lindifférence,
Et si la concentration de la vie était mère de ce silence,
Et si je décidais de parler de ma petite histoire, espérant trouver, par la confiance que je vous témoigne, une aide à mon problème.
Voilà, je ne suis pas à la hauteur. Je ne lui apporte pas ce quelle est en droit dattendre. Encore une fois trop court, trop rapide. Je lai lu dans son regard. Sa façon de sisoler dans son coin est un aveu qui ne laisse aucun doute sur son ressentiment, même si elle ne dit rien. Jamais un reproche, malgré une insatisfaction compréhensible et pourtant elle est toujours là si je mélancolie. Jai de la chance de lavoir. Je lui donne si peu en retour.
Cela peut paraître surprenant, mais je crois quelle a compris que je faisais de mon mieux.
Parfois le week-end, on peut prendre le temps, on est plus détendus, on peut sen donner à cur joie. Chacun trouve son équilibre où il veut, comme il peut. Lun et lautre semblent accepter dêtre impuissants face à cette vérité. Je ne peux mempêcher de me sentir coupable malgré tout. Au fond de moi, une voix me dit que ce nest pas suffisant.
Ce nest pas simple, dans ma cité, de trouver un coin sans voitures ni béton pour que ma chienne labrador puisse séclater dans des courses folles pour attraper sa baballe.
Cest pour elle que jai décidé de vous en parler, moi ce nest quaccessoire car je sais que parler ne sert à rien si personne ne veut entendre."
a vos claviers et a vos histoires
Voilà, j'ai xx ans et je vais vous raconter un peu ma vie :
"Une à une les fenêtres de mon immeuble se sont éteintes.
La cité sest endormie. Seul bruit persistant, le grésillement des quelques lampadaires encore luisants qui veilleront toute la nuit. Le silence est tombé sur les amours, les disputes, les joies et les drames de nos intimités.
Ne croyez pas que jhabite une de ces cités chaudes style défavorisée, misère-délinquance. Non cest une cité banale comme beaucoup, sans histoires, à part celles qui se déroulent derrière la porte de chaque appartement, ignorées de tous, protégées quelles sont par le voile de la pudeur, de lindifférence, de lignorance ou tout simplement du silence convenu.
Et si la concentration dhistoires engendrait lindifférence,
Et si la concentration de la vie était mère de ce silence,
Et si je décidais de parler de ma petite histoire, espérant trouver, par la confiance que je vous témoigne, une aide à mon problème.
Voilà, je ne suis pas à la hauteur. Je ne lui apporte pas ce quelle est en droit dattendre. Encore une fois trop court, trop rapide. Je lai lu dans son regard. Sa façon de sisoler dans son coin est un aveu qui ne laisse aucun doute sur son ressentiment, même si elle ne dit rien. Jamais un reproche, malgré une insatisfaction compréhensible et pourtant elle est toujours là si je mélancolie. Jai de la chance de lavoir. Je lui donne si peu en retour.
Cela peut paraître surprenant, mais je crois quelle a compris que je faisais de mon mieux.
Parfois le week-end, on peut prendre le temps, on est plus détendus, on peut sen donner à cur joie. Chacun trouve son équilibre où il veut, comme il peut. Lun et lautre semblent accepter dêtre impuissants face à cette vérité. Je ne peux mempêcher de me sentir coupable malgré tout. Au fond de moi, une voix me dit que ce nest pas suffisant.
Ce nest pas simple, dans ma cité, de trouver un coin sans voitures ni béton pour que ma chienne labrador puisse séclater dans des courses folles pour attraper sa baballe.
Cest pour elle que jai décidé de vous en parler, moi ce nest quaccessoire car je sais que parler ne sert à rien si personne ne veut entendre."
a vos claviers et a vos histoires