Ce n'est pas tant le choix du vote qui fait faillite, mais bien le contenu d'un programme politique et de sa mise en oeuvre pragmatique : on promets au peuple croissance, baisse du chomage, regaind u pouvoir d'achat dans un contexte qui ne favorise pas tout cela ... et forcément plus on promet du vent, plus le vent mêne aux extrêmes...
A un moment donné, il y aura de façon incontournable un retour à une radicalisation dans ce pays : c'est de plus en plus invévitable, c'est triste à dire mais ce sera soit à ultra gauche soit à ultra droite