Il n'y a aucun lien culturel et génétique entre les égyptiens antiques et les subsahariens, tu fais de l'appropriation culturelle dans un grand délire de race noire conquérante.
La vérité est que vous avez vendu vos frères de couleurs aux premiers venus, en esclavage.
deja il n' y a pas de subsahariens c' est un prejuge europeenIl n'y a aucun lien culturel et génétique entre les égyptiens antiques et les subsahariens, tu fais de l'appropriation culturelle dans un grand délire de race noire conquérante.
La vérité est que vous avez vendu vos frères de couleurs aux premiers venus, en esclavage.
les noirs habitaient deja le sahara il y a plusieurs milliers d' annees: les toubous de Lybie ne sont pas au sud du sahara
les noirs de kroumirie en tunissie ne sont pas du sud du sahara,
les travaux genetiques et anthropologiques montrent que les anciens egyptiens sont apparentes aux somalis:
les anciens egyptiens disaient venir de Pount , Ta Netjeri en Somalie du nord http://www.histoire-secrete.fr/265475300 ce qui est confirmee par la similitude genetique entre les genes des noirs somaliens ev32 et ceux des anciens egyptiens
confirman,nt les recits mythologiques des egyptiens et lesdires de diodore de sicile sur les ethiopiens et l' origine ethiopienne des anciens egyptiens;
— Diodore de Sicile, Bibliothèque historique, III, 2 [lire en ligne [archive]]« On soutient que les Éthiopiens sont les premiers de tous les hommes, et que les preuves en sont évidentes. D'abord, tout le monde étant à peu près d'accord qu'ils ne sont pas venus de l'étranger, et qu'ils sont nés dans le pays même, on peut, à juste titre, les appeler Autochtones ; ensuite il paraît manifeste pour tous que les hommes qui habitent le Midi sont probablement sortis les premiers du sein de la terre. Car la chaleur du soleil séchant la terre humide et la rendant propre à la génération des animaux, il est vraisemblable que la région la plus voisine du soleil a été la première peuplée d'êtres vivants. On prétend aussi que les Éthiopiens ont les premiers enseigné aux hommes à vénérer les dieux, à leur offrir des sacrifices, à faire des pompes, des solennités sacrées et d'autres cérémonies, par lesquelles les hommes pratiquent le culte divin. Aussi sont-ils partout célèbres pour leur piété ; et leurs sacrifices paraissent être les plus agréables à la divinité. À l'appui de cela nous avons le témoignage du poète presque le plus ancien et le plus admiré des Grecs, qui nous représente, dans son Iliade, Jupiter et les autres immortels se rendant en Éthiopie pour recevoir les offrandes et les festins que les Éthiopiens leur offrent tous les ans : « Jupiter a traversé hier l'Océan pour se rendre chez les braves Éthiopiens qui lui prépaient un festin. Tous les dieux le suivaient ». On remarque que les Éthiopiens ont recueilli, de la part des dieux, la récompense de leur piété, en n'ayant jamais essuyé le joug d'aucun despote étranger. En effet, de tout temps ils ont conservé leur liberté ; et, grâce à leur union, ils n'ont jamais été soumis par les souverains qui ont marché contre eux, et dont aucun n'a réussi dans son entreprise. »
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— Diodore de Sicile, Bibliothèque historique, III, 3 [lire en ligne [archive]]« Ils disent, en outre, que la plupart des coutumes égyptiennes sont d'origine éthiopienne, en tant que les colonies conservent les traditions de la métropole ; que le respect pour les rois, considérés comme des dieux, le rite des funérailles et beaucoup d'autres usages, sont des institutions éthiopiennes ; enfin, que les types de la sculpture et les caractères de l'écriture sont également empruntés aux Éthiopiens. Les Égyptiens ont en effet deux sortes d'écritures particulières, l'une, appelée vulgaire, qui est apprise par tout le monde ; l'autre, appelée sacrée, connue des prêtres seuls, et qui leur est enseignée de père en fils, parmi les choses secrètes. Or, les Éthiopiens font indifféremment usage de l'une et de l'autre écriture. »