Dormeur
zzz...zzz...zzz...
Ces femmes qui se sont adonnées au « djihad anikâh » en assouvissant linstinct bestial dinnombrables « rebelles » syriens sont rentrées en Tunisie enceintes.
Certaines ont déjà donné naissance à des enfants dont le père est inconnu. Ces enfants illégitimes, puisque conçus dans une relation hors mariage, nont pas et nauront pas de nom. Ils sont nés sous X et risquent de grandir avec ce lourd fardeau quils traîneraient comme un boulet jusquà la fin de leurs jours. Pour les autorités tunisiennes, islamistes elles-mêmes, cest un véritable casse-tête. La presse tunisienne ne parle que de ça.
Elle revient sur ces filles et femmes qui ont été recrutées par des pseudo-associations caritatives et qui ont été envoyées au « front » syrien pour une nouvelle forme de « djihad », la dernière trouvaille des salafistes qui infestent le monde musulman. Ce « djihad » nest, en réalité, quune forme de prostitution « légitimée » par les extrémistes religieux au nom de la « guerre sainte ».
« Ces filles viennent pour la plupart des quartiers populaires de la périphérie des grandes villes où elles ont été recrutées par des associations pseudo-caritatives ou soi-disant religieuses de la mouvance islamiste pour aller satisfaire les pulsions sexuelles des djihadistes en Syrie », souligne le site tunisien Kapitalis qui sinterroge sur ce que vont faire les autorités tunisiennes de ces enfants nés sous X en Syrie. De son côté, Assabah News a rapporté le cri de colère et dalarme de lavocat Badis Koubakji, président de lassociation de secours aux Tunisiens à létranger. « Le nombre des Tunisien(ne)s et Somalien(ne)s envoyé(e)s en Syrie est impressionnant.
La situation de ces djihadistes, filles ou garçons, est lamentable. Plusieurs combattant(e)s tunisien(ne)s en Syrie viennent de France, dAllemagne et surtout de Belgique. Plusieurs ont été tué(e)s, dautres sont encore dans les camps du mouvement terroriste Jabhat Ennosra (affilié à Al-Qaïda, ndlr).
Ceux dentre eux et dentre elles qui demandent à rentrer au pays sont empêché(e)s et souvent même liquidé(e)s », précise-t-il. Cest un véritable drame pour les familles de ces filles. Cest pour cela quil appelle ces familles et leur demande « de ne plus confier leurs filles ou garçons à des gens qui risquent, au nom de la légitimité du djihad en Syrie, de les expédier sur les fronts du djihad en Syrie et ailleurs ». Est-ce suffisant ? Assurément pas.
La guerre en Syrie saccentue. Et les appels incessants de pseudo-chouyoukh comme Al-Qaradawi adressés aux musulmans pour le djihad contre lEtat syrien risquent dattirer de nouveaux contingents de filles naïves et crédules qui accepteraient daller en enfer.
Certaines ont déjà donné naissance à des enfants dont le père est inconnu. Ces enfants illégitimes, puisque conçus dans une relation hors mariage, nont pas et nauront pas de nom. Ils sont nés sous X et risquent de grandir avec ce lourd fardeau quils traîneraient comme un boulet jusquà la fin de leurs jours. Pour les autorités tunisiennes, islamistes elles-mêmes, cest un véritable casse-tête. La presse tunisienne ne parle que de ça.
Elle revient sur ces filles et femmes qui ont été recrutées par des pseudo-associations caritatives et qui ont été envoyées au « front » syrien pour une nouvelle forme de « djihad », la dernière trouvaille des salafistes qui infestent le monde musulman. Ce « djihad » nest, en réalité, quune forme de prostitution « légitimée » par les extrémistes religieux au nom de la « guerre sainte ».
« Ces filles viennent pour la plupart des quartiers populaires de la périphérie des grandes villes où elles ont été recrutées par des associations pseudo-caritatives ou soi-disant religieuses de la mouvance islamiste pour aller satisfaire les pulsions sexuelles des djihadistes en Syrie », souligne le site tunisien Kapitalis qui sinterroge sur ce que vont faire les autorités tunisiennes de ces enfants nés sous X en Syrie. De son côté, Assabah News a rapporté le cri de colère et dalarme de lavocat Badis Koubakji, président de lassociation de secours aux Tunisiens à létranger. « Le nombre des Tunisien(ne)s et Somalien(ne)s envoyé(e)s en Syrie est impressionnant.
La situation de ces djihadistes, filles ou garçons, est lamentable. Plusieurs combattant(e)s tunisien(ne)s en Syrie viennent de France, dAllemagne et surtout de Belgique. Plusieurs ont été tué(e)s, dautres sont encore dans les camps du mouvement terroriste Jabhat Ennosra (affilié à Al-Qaïda, ndlr).
Ceux dentre eux et dentre elles qui demandent à rentrer au pays sont empêché(e)s et souvent même liquidé(e)s », précise-t-il. Cest un véritable drame pour les familles de ces filles. Cest pour cela quil appelle ces familles et leur demande « de ne plus confier leurs filles ou garçons à des gens qui risquent, au nom de la légitimité du djihad en Syrie, de les expédier sur les fronts du djihad en Syrie et ailleurs ». Est-ce suffisant ? Assurément pas.
La guerre en Syrie saccentue. Et les appels incessants de pseudo-chouyoukh comme Al-Qaradawi adressés aux musulmans pour le djihad contre lEtat syrien risquent dattirer de nouveaux contingents de filles naïves et crédules qui accepteraient daller en enfer.