Bonjour 
Ça fait déjà quelques fois que je vois les "exploits" de ce journal de broken.
Indubitablement, ce journal transgresse les bornes de l'éthique et de la décence.
Mais la liberté d'expression, c'est aussi cela. La liberté d'être immoral dans une certaine mesure.
Mais bien que cela soit un droit au sens de la loi, on doit user de cette même liberté d'expression pour condamner de tels débordements disgracieux. C'est aussi par l'éducation, plutôt que par la répression, qu'il faudrait former la conscience des citoyens au respect de l'Autre.
Si les athées ont le droit de se moquer des croyants, les croyants ont réciproquement le droit de rire des athées.
De même, si les médias sympathiques à la cause homosexuelle jouent à la police de la pensée et condamnent tout propos jugé homophobe, je dois admettre que la liberté d'expression, c'est aussi le droit des groupes religieux et des moralistes de condamner les pratiques homosexuelles. Ce droit ne devra jamais leur être ôté. Sinon on commettrait l'erreur symétrique à celle de l'Ancien Régime (où il était interdit de questionner la religion).
Ça fait déjà quelques fois que je vois les "exploits" de ce journal de broken.
Indubitablement, ce journal transgresse les bornes de l'éthique et de la décence.
Mais la liberté d'expression, c'est aussi cela. La liberté d'être immoral dans une certaine mesure.
Mais bien que cela soit un droit au sens de la loi, on doit user de cette même liberté d'expression pour condamner de tels débordements disgracieux. C'est aussi par l'éducation, plutôt que par la répression, qu'il faudrait former la conscience des citoyens au respect de l'Autre.
Si les athées ont le droit de se moquer des croyants, les croyants ont réciproquement le droit de rire des athées.
De même, si les médias sympathiques à la cause homosexuelle jouent à la police de la pensée et condamnent tout propos jugé homophobe, je dois admettre que la liberté d'expression, c'est aussi le droit des groupes religieux et des moralistes de condamner les pratiques homosexuelles. Ce droit ne devra jamais leur être ôté. Sinon on commettrait l'erreur symétrique à celle de l'Ancien Régime (où il était interdit de questionner la religion).