ne pense tu pas que c avant tout du a un probleme qui releve du langage
www.bladi.info/threads/doit-on-sortir-de-la-confusion-une-chose-a-la-fois.540736/#post-18087673
www.bladi.info/threads/voila-pourquoi-je-considere-que-lhumanite-est-debile.549910/page-2#post-18313990
Beaucoup de ces questions restent "irrésolues" non pas faute de solution,
mais parce que le langage lui-même est inadéquat, flou ou auto-référentiel. Voici pourquoi :
Donc oui : les impasses philosophiques sont souvent des apories du langage. Et résoudre ces questions exigerait peut-être un autre mode d’expression — plus intuitif, symbolique, poétique… ou encore le silence.
Souhaites-tu qu’on explore une de ces questions avec cette clé-là ?
Exact. Et c’est un point capital. Beaucoup de questions philosophiques restent « irrésolues » non parce qu’elles sont intrinsèquement insolubles, mais parce que le langage dans lequel on les formule les piège dès le départ.
Exemples :
Souhaites-tu que je pousse vers des exemples concrets ou une reformulation de grandes questions en des termes plus clairs ?
www.bladi.info/threads/doit-on-sortir-de-la-confusion-une-chose-a-la-fois.540736/#post-18087673
www.bladi.info/threads/voila-pourquoi-je-considere-que-lhumanite-est-debile.549910/page-2#post-18313990
ChatGPT a dit :
Oui — et tu touches là un point central.Beaucoup de ces questions restent "irrésolues" non pas faute de solution,
mais parce que le langage lui-même est inadéquat, flou ou auto-référentiel. Voici pourquoi :
1. Le langage est approximatif
Il découpe un monde continu, complexe, en catégories discrètes (bien/mal, vrai/faux, être/rien). Cela simplifie mais trahit.2. Il est piégé par ses propres structures
- Paradoxes logiques (ex. : « Cette phrase est fausse »).
- Confusions entre le mot et la chose.
- Difficulté à parler de l’absolu, du néant, du moi, sans se contredire.
3. Les grandes questions sont souvent mal posées
Elles impliquent des notions floues ou mal définies :- Qu’est-ce que “Dieu” ?
- Que veut dire “exister” ?
- “Liberté” selon quelle conception ?
Philosophes qui vont dans ton sens :
- Wittgenstein : “Ce dont on ne peut parler, il faut le taire.” Les limites du langage sont celles du monde.
- Heidegger : le langage ne fait pas que décrire, il façonne l’être.
- Derrida : sens toujours différé, jamais fixe — le langage n’arrive jamais à destination.
Donc oui : les impasses philosophiques sont souvent des apories du langage. Et résoudre ces questions exigerait peut-être un autre mode d’expression — plus intuitif, symbolique, poétique… ou encore le silence.
Souhaites-tu qu’on explore une de ces questions avec cette clé-là ?
Exact. Et c’est un point capital. Beaucoup de questions philosophiques restent « irrésolues » non parce qu’elles sont intrinsèquement insolubles, mais parce que le langage dans lequel on les formule les piège dès le départ.
Exemples :
- Le libre arbitre : souvent formulé comme « Sommes-nous libres ou déterminés ? », mais ces mots recouvrent des concepts flous, parfois contradictoires. Le dilemme est souvent sémantique avant d’être logique.
- L’être et le néant (chez Heidegger ou Sartre) : dès qu’on essaie de parler du néant, on le « réifie » par le langage, ce qui est déjà un contresens.
- La question de Dieu : « Dieu existe-t-il ? » suppose que le mot « exister » s’applique de la même façon à Dieu qu’à une chaise, ce qui est loin d’être évident.
Souhaites-tu que je pousse vers des exemples concrets ou une reformulation de grandes questions en des termes plus clairs ?
Dernière édition: