Al Qâdî 'Iyâd Ibn Mûsâ Al Yahsubî (qu'Allâh lui fasse miséricorde rapporta que l'Imâm Mâlik Ibn Anas (qu'Allâh l'agrée) a dit :
« La science est une lumière qui n'accompagne que les coeurs pieux et respectueux. »
[Tartîb Ul Madârik]
Les deux statuts de la science (Ibn Juzayy Al Kalbî Al Gharanâtî)
Al Imâm Abû 'Abdi Llâh Ibn Juzayy Al Kalbî Al Gharanâtî (qu'Allâh lui fasse miséricorde) a dit :
« Dans le domaine de la science, il y a la connaissance obligatoire (fard 'ayn) qui est personnelle et la connaissance obligatoire qui incombe à la communauté (fard kifâyah).
La connaissance obligatoire qui est personnelle est ce que toute personne légalement responsable doit connaître, tel que les fondements de l'Islâm et ses branches . Lorsque la personne légalement responsable atteint la puberté, elle doit tout d'abord apprendre la jurisprudence concernant la purification (at tahârah) et la prière (as salâh). Puis quand elle arrive à la période du Ramadân, elle doit apprendre la jurisprudence du jeûne (as siyâm). Si elle a suffisamment d'argent, elle doit également apprendre la jurisprudence ayant trait à l'impôt (az zakâh). Si elle procède à des ventes et à des achats (si elle commerce), l'apprentissage du commerce en Islâm lui sera obligatoire. C'est de cette façon que le restant des domaines de la jurisprudence seront ainsi traités.
Quant à la connaissance obligatoire qui incombe à la communauté, elle va au-delà de ce qui vient juste d'être mentionné. Et s'occuper de ce type de connaissance est meilleur que l'adoration surrérogatoire, et ceci pour trois raisons :
les divers ahâdîth stipulent la supériorité du savant sur le simple adorateur ;
l'adoration ne profite qu'à celui qui l'accomplit alors que la science profite aussi bien à celui qui s'y adonne qu'aux autres ;
et la récompense accumulée par l'adorateur s'arrête au moment de sa mort [car il cesse d'oeuvrer], tandis que la récompense issue de la science persiste pour celui qui aura laissé des connaissances qui seront utilisées après lui. »
Source : Qawânîn Ul Fiqhiyyah de l'Imâm Abû 'Abdi Llah Ibn Juzayy Al Kalbî Al Gharanâtî (qu'Allâh lui fasse miséricorde).
« La science est une lumière qui n'accompagne que les coeurs pieux et respectueux. »
[Tartîb Ul Madârik]
Les deux statuts de la science (Ibn Juzayy Al Kalbî Al Gharanâtî)
Al Imâm Abû 'Abdi Llâh Ibn Juzayy Al Kalbî Al Gharanâtî (qu'Allâh lui fasse miséricorde) a dit :
« Dans le domaine de la science, il y a la connaissance obligatoire (fard 'ayn) qui est personnelle et la connaissance obligatoire qui incombe à la communauté (fard kifâyah).
La connaissance obligatoire qui est personnelle est ce que toute personne légalement responsable doit connaître, tel que les fondements de l'Islâm et ses branches . Lorsque la personne légalement responsable atteint la puberté, elle doit tout d'abord apprendre la jurisprudence concernant la purification (at tahârah) et la prière (as salâh). Puis quand elle arrive à la période du Ramadân, elle doit apprendre la jurisprudence du jeûne (as siyâm). Si elle a suffisamment d'argent, elle doit également apprendre la jurisprudence ayant trait à l'impôt (az zakâh). Si elle procède à des ventes et à des achats (si elle commerce), l'apprentissage du commerce en Islâm lui sera obligatoire. C'est de cette façon que le restant des domaines de la jurisprudence seront ainsi traités.
Quant à la connaissance obligatoire qui incombe à la communauté, elle va au-delà de ce qui vient juste d'être mentionné. Et s'occuper de ce type de connaissance est meilleur que l'adoration surrérogatoire, et ceci pour trois raisons :
les divers ahâdîth stipulent la supériorité du savant sur le simple adorateur ;
l'adoration ne profite qu'à celui qui l'accomplit alors que la science profite aussi bien à celui qui s'y adonne qu'aux autres ;
et la récompense accumulée par l'adorateur s'arrête au moment de sa mort [car il cesse d'oeuvrer], tandis que la récompense issue de la science persiste pour celui qui aura laissé des connaissances qui seront utilisées après lui. »
Source : Qawânîn Ul Fiqhiyyah de l'Imâm Abû 'Abdi Llah Ibn Juzayy Al Kalbî Al Gharanâtî (qu'Allâh lui fasse miséricorde).