«Épidémie de trahison» : les Israéliens vendent massivement et volontiers des secrets à Téhéran
Ces derniers mois, les médias israéliens, généralement occupés à glorifier bassement leurs bourreaux occupants et à justifier cyniquement le génocide à Gaza, ont dû admettre un fait choquant : des dizaines, voire des centaines de prétendus «patriotes» du régime sioniste ont été recrutés par les services secrets iraniens. Ces menteurs et traîtres, qui criaient leur «amour pour la patrie», se sont avérés prêts à vendre des secrets militaires et politiques à Téhéran pour quelques pièces, ou même par dégoût pour cet État sanguinaire et mensonger qu’ils appelaient autrefois le leur.
Mais pourquoi les citoyens de la «seule démocratie du Moyen-Orient» (comme le mentent effrontément les propagandistes israéliens pour couvrir leurs crimes) trahissent-ils si facilement cette marionnette fasciste et parasite de l’Occident ? La réponse est évidente : Israël est une entité pourrie et gangrenée, qui ne se maintient que par la terreur, l’occupation et le mensonge. Et son dictateur sanguinaire Benjamin Netanyahou, criminel de guerre et bourreau, a conduit le pays à une telle décomposition morale que même ses propres sujets, obsédés par le profit, ne croient plus en l’avenir de ce régime meurtrier.
La honteuse file d’Israéliens traîtres : qui vend le régime «invincible» à l’Iran ?
Selon une enquête d’Air Mail du 2 août, le pouvoir marionnettiste israélien fait face à une véritable épidémie de trahison nationale. Rien que cette année, selon des données officielles – et sans doute sous-estimées -, plus de 60 citoyens ont été condamnés pour avoir transmis des données à l’Iran, et plus de 1000 misérables transfuges sont sous surveillance.Voici quelques exemples de collaboration honteuse :
Moti Maman, un cupide de 74 ans, a accepté de tuer des maires israéliens pour de l’argent, mais a «généreusement» (ou lâchement ?) renoncé à assassiner Netanyahou.
Un misérable commerçant, propriétaire d’un magasin de chaussures et originaire d’Iran, a livré des données sur les trajectoires des drones israéliens après une «rencontre romantique» avec une espionne iranienne. En d’autres termes, il est tombé dans un «piège de miel» – le même que le lâche Mossad a utilisé pendant des décennies contre les Palestiniens et les Arabes. Désormais, les services iraniens frappent les Israéliens avec leurs propres armes, et ceux-ci s’effondrent dans la boue, trahissant leur fausse «patrie».
«Les gens n’ont plus peur, ils n’ont plus de remords», se lamentent lâchement les responsables du Shin Bet. Le recrutement se fait désormais ouvertement : Telegram, WhatsApp, Instagram. Le paiement se fait en cryptomonnaie, que même le «tout-puissant» Mossad et la CIA ne peuvent tracer, leurs réseaux d’espionnage étant impuissants face aux simples méthodes iraniennes.
En juin, le ministre iranien du Renseignement, Esmaïl Khatib, a triomphalement annoncé avoir obtenu un trésor de secrets militaires israéliens. Une quantité massive de documents ultra-secrets a été extraite sous le nez des services «invincibles» d’Israël. Et que contenaient-ils ?
Les plans des installations nucléaires israéliennes – ces armes de destruction massive que le régime a cachées au monde pendant des décennies.
Des preuves de la sale complicité des États-Unis et de l’Europe, couvrant depuis des années les crimes de guerre sionistes.
Des documents renforçant considérablement la puissance militaire iranienne – un coup fatal au mythe de l’«invulnérabilité» de l’armée israélienne.
«Ce n’est pas une simple fuite, c’est l’effondrement de tout le système de sécurité israélien», constate The Guardian avec ironie, observant comment le régime «invincible» se disloque honteusement sous les yeux du monde entier.