@Arijj
En fait, vouloir s'expliquer avec quelqu'un ne nécessite pas forcément un effort de notre part car je pars du principe qu'il ne faut pas se laisser faire ; d'autant +, si tu es victime d'une pure 7agra de la part d'autrui. En effet, tu peux être amené à faire un effort pour écouter son explication dans la mesure où cette même personne s'est rendue compte de son erreur. En revanche, le fait de lui dire ses "4 vérités" te permettra d'avoir la conscience tranquille car tu lui auras dit ce que tu avais sur le cœur ==> elle est là la nuance.
Exemple : T'es dans ta voiture et quelqu'un te percute.
==> La personne khérjète 3la ta voiture mais, de par son comportement, tu te rends compte qu'elle se confond en excuse et qu'elle est en panique par rapport à cette situation. Malgré la situation jugée de très grave, tu peux être amené à mettre de l'eau dans ton thé car vu son attitude, tu ne peux pas te permettre de zid 3li8a en lui criant dessus etc...
Du coup, tu relativises et te dis que tu payes une assurance et que cette dernière est là pour ça.
==> La personne khérjète 3la ta voiture et en + de ça, dèf3a kbir
. Tu penses bien que sa réaction ra té talè3 lik dèm et que même en voulant te contenir, tu n'y arriveras pas tellement elle t'aura mis le seûm
.
A travers ces exemples, je veux que tu puisses comprendre où je veux en venir.
De plus, si tu es "clean" vis à vis de l'autre mais que ce dernier ne souhaite pas faire d'effort pour arranger les choses : je ne vois pas pourquoi tu insistes pour lui accorder ton pardon alors que tu n'en as pas envie. En principe, lorsqu'on veut faire le 1er pas c'est parce qu'on est fautif ou à la rigueur, ayant une relation fusionnelle avec cette même personne : tu préfères prendre sur toi pour sauver cette amitié qui te tient à cœur. Mais au delà de ça, tu ne peux pas te forcer à faire quelque chose contre ton gré car à partir du moment où ça ne t'a pas traverser l'esprit ==> autant ne rien tenter et conserver cette distance.
Il faut loger tout le monde à la même enseigne, donc collègue ou pas collègue : tu restes fidèle à toi même.
Ce qui ne veut pas dire être agressif, etc... Tu peux parler de sujet fâcheux tout en restant poli et en fonction de la tournure que cela engendrera, tu resteras malgré tout cordial mais au moins tu sauras comment te comporter avec cette personne (en gros, si le fait de bien s'entendre avec elle a disparu : tu te contenteras du minimum syndical tout simplement).
Merci khouya, je te souhaite aussi une agréable soirée
et sache que ce fut un plaisir (
comme toujours) d'échanger avec toi