Avé à toutes et à tous. En réponse à votre question Tazana, nous nous devons, dans un premier temps, devoir insister sur le point suivant : Le SOMNAMBULISME est la manifestation d'un mal-être ambiant général ou personnel (phobie latente) et, plus subtile, d'une désapprobation identitaire (lutte entre le MOI et le SUR-MOI), familiale et/ou sociétale.
En contradiction avec la croyance populaire, vous pouvez converser avec le sujet, l'accompagner sur son chemin et le raccompagner vers son lit, si vous parvenez, par vos MURMURES, à apaiser son esprit. Certes, il ne faut pas chercher à réveiller le sujet en le contrariant dans son itinéraire. Un réveil brusque par l'autorité n'a pas lieu d'être et doit être proscrit l'usage de la force. La VIOLENCE étant criminelle, elle doit être bannie.
-Si vous connaissez un sujet dont l'attitude s'apparente à la description ci-avant, occupez-vous de lui/elle comme nous vous l'avons décris et surveillez-le, car en toute connaissance de ce fait vous ne pouvez laisser déambuler un sujet, sans contrôle conscient de lui même, aller au devant du danger (EXP : Lorsque le sujet se situe à l'étage du Rhyad ou de la Casbah), cela tombe sous le sens. Sachez aussi, même si cela est relativement très rare et non relaté dans des archives consultables, que lors de ces épisodes oniriques le sujet peut s'emparer d'un objet contondant, d'une arme blanche (EXP : Un couteau dans la cuisine. Et que dire de ces gents qui laissent des armes à feu chargées à la portée des enfants) et commettre un crime qu'aucune justice n'est en droit de pouvoir lui imputer.
-On ne peut mettre en place une prescription médicale, au sujet. Telle quelle soit ! On ne traite pas un sujet se manifestant ainsi par une prise INUTILE d'un somnifère, d'anxiolytique, d'antidépresseur ou pis de neuroleptique. Sauf lorsqu'il est avéré par l'observation clinique que le sujet montre des signes de trouble psychique que seul un psychiatre peut diagnostiquer. Et là, et uniquement dans cet exemple que nous venons de décrire, le psychiatre pourra envisager une psychanalyse par l'hypnose. Mais certainement pas utiliser l'hypnose thérapeutique comme moyen de contrôle d'un sujet car là il s'agirait d'une manipulation mentale.
En vérité, nous vous le disons, si vous avez connaissance d'un sujet somnambule, conseillez-lui de bien se dépenser physiquement au cours de ses journées et de boire, 45 minutes précises avant de s'en remettre dans les bras de Morphae, une tisane chaude ou froide (selon sa préférence, tant qu'elle a été infusée à chaud entre 3 et/ou 5 minutes, si bue froide, environ) sur base de Tilleul, de Verveine, de Camomille, très légèrement sucrée ou pas du tout (évitez tout de même de substituer au sucre un édulcorant, sauf s'il est extrait de la Stevia). Il est évident que le sujet est libre de choisir la plante, le mélange de deux d'entres elles ou les trois que nous préconisons tant que la pesée du substrat de plante(s) n'excèdes pas 1 gramme pour 20 centilitres d'eau (d'une source serait le plus adéquate).