Constitution : UN AN APRES

petitbijou

Casablanca d'antan
VIB
Il y a un an, le peuple marocain plébiscitait, dans l’effervescence des soulèvements populaires qui secouaient plusieurs pays de la région, un nouveau texte fondamental qui instituait un nouveau contrat politique pour le royaume. Cette nouvelle Constitution adoptée à la suite d’un processus participatif, a valu au Maroc le qualificatif «d’exception», au vu de la tournure qu’ont pris les événements qui ont secoué la région et qui ont été désormais inscrits dans l’agenda de l’histoire, sous le qualificatif de «printemps arabe». Dans la sérénité et avec la participation de l’ensemble de la classe politique et de la société civile, le Maroc a pu ainsi capitaliser sur les avancées réalisées depuis plus de deux décennies de transition démocratique, pour valider les contours d’une réforme politique et institutionnelle, qui marquait l’avènement d’un Maroc nouveau, en phase avec son époque. Il est vrai que la Constitution adoptée sous l’impulsion du souverain n’était qu’un acte fondateur d’une nouvelle génération de réformes politiques et institutionnelles, qui allait par la suite permettre le lancement d’une nouvelle dynamique de gouvernance, préalable à l’émergence économique que voulait le royaume pour assurer son développement économique et social. Au delà donc des mots, un an après l’adoption de la nouvelle Constitution, il est intéressant de revenir sur les actes qui ont été jusque-là posés et qui, seuls, peuvent illustrer la nouvelle dynamique prise par le royaume. Des actes, il y en a eu assurément et même si la construction d’un véritable État de droit, avec toutes les implications que cela suppose, est un long et complexe processus, le Maroc a pu en un an poser les jalons de l’édification d’une nation démocratique, tournée vers l’avenir et consciente de ses défis socioéconomiques qui, constituent l’objectif final, sinon l’idéal à atteindre. Qu’il s’agisse des élections du 25 novembre 2011, qui ont vu l’arrivée, pour la première fois, d’un parti considéré comme islamiste, le PJD, les débats sociopolitiques qui ont cours au sein de la societé marocaine et qui convergent à traduire en actes concrets les dispositions de la nouvelle Constitution, il va sans dire qu’une énorme étape a été franchie. La Constitution du 1er juillet 2011 ne constituait, en réalité, que l’acte fondateur d’une nouvelle génération de réformes. Cet évènement, comme l’a souligné le souverain à l’époque, servait de préambule à l’adoption d’une nouvelle série de lois et textes législatifs ou réglementaires, censés baliser le terrain à l’édification d’un Maroc moderne. C’est à l’aune de ce qui a été fait depuis qu’on pourra juger de la pertinence du processus historique qu’a connu le pays. C’est d’ailleurs à ce niveau que les acquis enregistrés par le Maroc ont été édifiants, surtout comparés au contexte régional actuel. Il va sans dire que sur le terrain, la situation du pays reste encore critique, tant sur le plan économique que social. Cependant, force est de constater que sur le plan politique et institutionnel, le Maroc a enregistré des progrès considérables.

http://lesechos.ma/index.php?option...tution-un-an-apres-&catid=2:les-echos-du-jour
 
Il y a un an, le peuple marocain plébiscitait, dans l’effervescence des soulèvements populaires qui secouaient plusieurs pays de la région, un nouveau texte fondamental qui instituait un nouveau contrat politique pour le royaume. Cette nouvelle Constitution adoptée à la suite d’un processus participatif, a valu au Maroc le qualificatif «d’exception», au vu de la tournure qu’ont pris les événements qui ont secoué la région et qui ont été désormais inscrits dans l’agenda de l’histoire, sous le qualificatif de «printemps arabe». Dans la sérénité et avec la participation de l’ensemble de la classe politique et de la société civile, le Maroc a pu ainsi capitaliser sur les avancées réalisées depuis plus de deux décennies de transition démocratique, pour valider les contours d’une réforme politique et institutionnelle, qui marquait l’avènement d’un Maroc nouveau, en phase avec son époque. Il est vrai que la Constitution adoptée sous l’impulsion du souverain n’était qu’un acte fondateur d’une nouvelle génération de réformes politiques et institutionnelles, qui allait par la suite permettre le lancement d’une nouvelle dynamique de gouvernance, préalable à l’émergence économique que voulait le royaume pour assurer son développement économique et social. Au delà donc des mots, un an après l’adoption de la nouvelle Constitution, il est intéressant de revenir sur les actes qui ont été jusque-là posés et qui, seuls, peuvent illustrer la nouvelle dynamique prise par le royaume. Des actes, il y en a eu assurément et même si la construction d’un véritable État de droit, avec toutes les implications que cela suppose, est un long et complexe processus, le Maroc a pu en un an poser les jalons de l’édification d’une nation démocratique, tournée vers l’avenir et consciente de ses défis socioéconomiques qui, constituent l’objectif final, sinon l’idéal à atteindre. Qu’il s’agisse des élections du 25 novembre 2011, qui ont vu l’arrivée, pour la première fois, d’un parti considéré comme islamiste, le PJD, les débats sociopolitiques qui ont cours au sein de la societé marocaine et qui convergent à traduire en actes concrets les dispositions de la nouvelle Constitution, il va sans dire qu’une énorme étape a été franchie. La Constitution du 1er juillet 2011 ne constituait, en réalité, que l’acte fondateur d’une nouvelle génération de réformes. Cet évènement, comme l’a souligné le souverain à l’époque, servait de préambule à l’adoption d’une nouvelle série de lois et textes législatifs ou réglementaires, censés baliser le terrain à l’édification d’un Maroc moderne. C’est à l’aune de ce qui a été fait depuis qu’on pourra juger de la pertinence du processus historique qu’a connu le pays. C’est d’ailleurs à ce niveau que les acquis enregistrés par le Maroc ont été édifiants, surtout comparés au contexte régional actuel. Il va sans dire que sur le terrain, la situation du pays reste encore critique, tant sur le plan économique que social. Cependant, force est de constater que sur le plan politique et institutionnel, le Maroc a enregistré des progrès considérables.

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Merci la constitution ,tout est si clair maintenant.
 
grace a notre fameuse consititution et notre roi , qui se tue pour rendre notre pays propsere , aujourdhui il n'y a plus d'analphabetisme dans notre pays , pas de pauverte , pas de misere .... 3acha lmalik et sa consititution .
 
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